Samedi 21 septembre
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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et
quelques passages ont été modifiés volontairement !
Ayant toujours habité une des plus grandes régions viticole de France, la saison des vendanges est sacrée chez nous, tous les
jeunes ont au moins fait les vendanges une fois.
À l'heure actuelle, les vendanges se font à la machine dans les grandes propriétés mais nombre de petits récoltants vendangent encore à la main, à condition de trouver de la main-d’œuvre bien
sûr.
Si le temps est au beau, pas de problème pour les machines, elles passent facilement dans les rangs mais s'il pleut et que la pluie persiste, elle rend la terre boueuse et il est impossible d'y
faire passer la machine.
Compte tenu de mon gabarit, je ne coupais pas les grappes mais je portais la hotte, travail qui se fait debout mais qui oblige à se baisser une bonne centaine de fois par jour pour vider la hotte
dans les comportes.
Les deux premiers jours sont horribles, toutes les parties du corps font mal puis ça s'arrange, la forme reprenant le dessus.
Mes dernières vendanges, je les ai faits à 18 ans, pour la rémunération bien sûr, mais aussi pour l'ambiance qui, bien qu'elle ait changé au cours des ans, est quand même restée conviviale.
Habitant à 15 kilomètres du château, je pouvais rentrer chez moi tous les soirs avec mon scooter mais comme il restait des places au dortoir, j'ai décidé de coucher sur place, les soirées entre
vendangeurs ne sont pas triste en général. Nous étions 20 en tout, des jeunes pour la plupart dont 14 couchaient sur place.
La chambrée des hommes était bien conçue, chaque lit était séparé du voisin par un lourd rideau tendu, le même coulissant fermait ce qui ressemblait à un box.
Nous disposions d'un petit placard d'une table de nuit et d'une lampe de chevet, les toilettes communes étant situées d'un coté du dortoir pour les hommes de l'autre pour les femmes dont la
partie couchage nous était interdite d'accès.
Mes deux copains avaient décidé de rentrer chez eux le soir avec possibilité de coucher sur place en cas de besoin.
Le troisième soir, n'ayant pas forcé dans la journée, j'étais en pleine forme. Après mangé, en compagnie d'un des vendangeurs super sympa, je décide d'aller faire un tour au clair de lune.
Au détour d'un chemin, Franck se précipite vers un arbre pour pisser :
- Je n'en pouvais plus dit-il en se tournant légèrement vers moi.
Dans le peu de lumière prodigué par la pleine lune, j'ai eu le temps de voir son sexe dépassant de sa main.
Revenant vers moi en fermant sa braguette, il me demande :
- J'ai vu que tu me regardais, tu voulais voir ma queue ?
- Euh. Non, tu t'es tourné vers moi, mais si tu veux me la montrer.
- Ça ne me gêne pas du tout, tu veux vraiment la voir ?
- Si tu veux me la montrer.
- Ok si tu me montres la tienne.
- Franck, nous ne sommes pas des gosses, ''je te la montre si tu me la montre !''.
- Sylvain, c'était pour rire, tu veux voir ma queue je te la montre, dit-il en baissant pantalon et slip en même temps. Voilà, tu es satisfait ?
- Oui, tu as une belle bite au repos, lui dis je, en baissant mon pantalon à mon tour.
- Oh mais la tienne n'est pas mal non plus, dis-donc, je peux toucher ?
- Si tu touches ma bite Franck, tu vas me faire bander.
- J'y compte bien et je vais même te sucer.
Franck me branle doucement pour faire raidir ma pine qui monte par saccade quand il retire sa main :
- Oh la vache, quel morceau ! Tu es bien plus gros que moi.
Il se recule et me montre sa pine déjà raide, une bite longue mais assez fine.
S'avançant, il fait se toucher nos deux bites et les tiens serrées l'une contre l'autre, son gland touche mes poils mais le mien ne touche pas les siens, manque un bon centimètre.
Il se penche, embouche ma pine et me taille une pipe géniale en fourrageant dans ma raie pour y chercher ma rosette.
Faisant glisser ma main sur son dos découvert, je descends jusqu'à la raie et je fourre deux doigts dans son cul sans difficulté.
Il me suce la bite et me titille le cul, j'ajoute un doigt et je branle son cul en même temps.
De sa main libre, il astique son manche et se bloque pour jouir, je décharge au même moment.
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