Photos et articles divers

Dimanche 7 juillet 7 07 /07 /Juil 19:33

urinoirs-1.jpg

 

 

 

Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

Le lundi est mon jour de repos et j’en profitais pour faire quelques courses au centre commercial. Comme chaque lundi matin, je rentrai dans le centre mais j’avais une envie pressante d’aller aux toilettes. Je me dirigeai donc vers les sanitaires puis j’allai aux urinoirs.

 

Un jeune, qui avait à peu près mon âge était derrière moi et, viens se placer à l’urinoir juste à côté de celui où je me trouvais. Je ne prêtai pas attention à ce détail tellement j’avais envie de pisser. Je détachai les boutons de mon pantalon et commençai à uriner.

 

Le jeune avait fait la même chose juste à l’urinoir d’à côté. A plusieurs reprises, je regardais dans sa direction et il faisait la même chose, puis baissait la tête quand je le regardais. Je m’assurai alors qu’il urinait et regarda discrètement en direction de son urinoir. Il pissait effectivement mais quand j’ai relevé la tête dans sa direction, je m’aperçu qu’il regardait en direction de mon urinoir.

 

A ce moment là, nos regards se sont croisés et nous avons échangé un sourire amical. Sans rien dire, nous nous sommes dirigés vers les lavabos et en se lavant les mains, il me demanda si je voulais boire un café à la cafétéria du centre commercial. 

 

Je lui précisai que je n’étais pas pressé comme je ne travaillais pas le lundi et j’acceptai son invitation. Nous avons parlé de diverses choses. Il s’appelait Rémy, avait 19 ans et demi et bossait la nuit dans une entreprise proche du centre commercial mais habitait dans une commune à 15 kilomètres. Comme il n’avait pas de grands magasins, il faisait parfois ses courses en sortant de son travail.

 

Je me présentais à mon tour, mon prénom est Olivier et je viens tout juste d’avoir 20 ans. Le dialogue passait bien, il était cool et parlait beaucoup. Il m’avoua qu’il préférait les mecs et qu’il était venu dans les toilettes car il me trouvait beau gosse et qu’il avait kiffé direct sur moi quand nous sommes rentrés dans le centre commercial. Nous avons échangé nos numéros de portable et je lui dis que j’habitais à 3 minutes, que s’il n’était pas pressé, après avoir fait nos courses, je lui montrerai mon studio, ça sera plus tranquille pour parler. Il a souri et accepta volontiers ma proposition. Nous nous étions donné rendez-vous à la sortie après avoir fait nos courses.

 

Je trouvais cette rencontre plutôt sympa, c’était la première fois que je me faisais draguer par un mec et j’étais impatient de terminer mes courses. Après le passage en caisse, je le retrouvai comme prévu à la sortie. J’étais venu à pieds et Rémy était en voiture. Nous avons donc chargé les sacs dans sa voiture puis je lui indiquais où j’habitais. Un fois arrivé chez moi, je lui proposai un café puis nous nous sommes installés dans le salon.

 

Après quelques discussions et blagues, le sujet est venu sur le sexe et nos connaissances en la matière. Rémy me proposa de se montrer le sexe et de se le toucher. Ce que j’acceptai car je l’avais juste aperçu vite fait au urinoir mais, j’étais excité à l’idée de ce partage. Nous voilà donc à nous caresser la bite et nous branler mutuellement. Le contact de sa bite dans ma main était très agréable.

 

Rencontre-d-un-mec-aux-urinoirs-1.jpg

 

Rencontre-d-un-mec-aux-urinoirs-1b.jpg

 

 

Rencontre-d-un-mec-aux-urinoirs-2.jpg

 

Les respirations se sont faites plus fortes et saccadées, la discussion laissant place au plaisir puis nous jouissons à tour de rôle. Après avoir jouis, nous avons bavardé encore un peu puis nous sommes allés nous nettoyer aux lavabos. Avant que Rémy ne parte, nous nous donnons rendez-vous le lundi suivant.

 

La semaine passait mais, j’avais complètement oublié que Sylvain, un ami d’enfance venant de province devait passer une semaine chez moi pour un entretien professionnel dans ma région ! Pas grave, je trouverai bien une excuse pour justifier la visite de Rémy le lundi suivant. Vendredi soir, comme c’était convenu, Sylvain arriva et je l’installais dans le salon comme je n’avais qu’une chambre. Pendant que je préparais un truc pour dîner, Sylvain prenait une douche puis nous avons mangé en discutant. En fin de soirée, nous avons regardé un film puis j’allais me coucher dans ma chambre le laissant s’installer sur le canapé du salon. 

 

Arrivé le lundi, après avoir fais quelques courses, je me dépêchais de rentrer pour la visite de Rémy en fin de matinée. Comme prévu, à 10 heures 30, on sonna ! J’avais prévenu Sylvain, qu’un collègue de travail devait m’apporter un dossier super important sur lequel je devais bosser. On s’installera dans ma chambre avec mon collègue mais, que ça ne sera pas très long.

 

Après avoir présenté Rémy à Sylvain, j’invitais Rémy à me suivre dans ma chambre. Sylvain était occupé à mater un film, ça tombait super bien ! Comme la semaine précédente, nous avons parlé un peu puis, Rémy commença à me caresser l’entre jambe, je fis la même chose puis nous avons baissés nos futs et nous nous sommes caressé et branlé mutuellement. Après, nous sommes resté un moment à parler et Rémy me demanda un peu plus de détails sur Sylvain. Je lui expliquais qu’il était là pour une semaine car il avait un entretien d’embauche, que c’était un ami d’enfance mais qu’il n’était pas du tout attiré vers les mecs. Tu lui a déjà demandé me lança Rémy en souriant ? Je lui dis que non car jamais je n’avais abordé ce genre de sujet avec Sylvain. Tu as vu comment il m’a regardé, je suis sur que ton pote aime bien les mecs mais n’a jamais osé tant parler. Oh non, ce n’est pas possible, Sylvain regarde plutôt les filles que les mecs.

 

Il est peu être bi, il aime les deux me lança Rémy en souriant. Je rigolais aussi mais, je ne voyais pas du tout mon pote d’enfance homo. Nous avons parlé de diverses choses puis Rémy m’a remercié et est partis. Quand Rémy a salué Sylvain, je m’aperçu en effet d’un regard prolongé, cela m’a fait sourire en repensant à ce que Rémy venait de me dire mais, ne le prenait pas du tout au sérieux. Toute la journée s’est passée avec Sylvain sans que nous parlions de la visite de Rémy. Je suis sûr qu’il a gobé que c’était un collègue de travail.

 

Comme chaque soir, je préparais le dîner et Sylvain prenait sa douche, Au moment de passer à table, Sylvain a quitté la douche, non pas en se rhabillant comme il le faisait habituellement mais était juste vêtu de son caleçon. En voyant ma surprise, il prétexta le fait qu’il faisait super chaud. J’étais à la fois surpris et content, c’était la première fois que je voyais mon pote d’enfance en caleçon et il était avantageusement bien monté le garçon. Je voyais la bosse dans son caleçon et je commençai à avoir un début d’érection. Sylvain était très à l’aise et me lança en souriant, tu peux te mettre en caleçon aussi, il fait super chaud ce soir. C’est vrai que c’était un temps orageux mais je n’osais pas, j’avais trop peur qu’il me voit bander dans mon caleçon.

 

Sylvain insista pour je me mette en caleçon mais devant mon refus, il me précisa : tu sais, je t’ai vu à poil ce matin avec ton collègue Rémy, je vous matais pendant que vous vous branliez. Ca ne me déplairait pas que tu me branle aussi ! Interloqué j'essaie de nier, Sylvain me donne des détails de nos branlettes mutuelles avec « mon collègue » de ce matin. Il m’a dis que c’était un dossier super intéressant et qu’il aimerait bien le regarder aussi.

 

Sylvain me précisa qu'il regardait par le trou de la serrure mais n'avait pas osé rentrer parce qu'il avait envie de se faire branler mais pas de branler quelqu'un. Avant même de pouvoir lui répondre, Sylvain commençait à me dessaper mais j’étais tellement surpris que je me laissais faire. Il enleva mon tee-shirt et mon pantalon, je me retrouvais comme lui en caleçon.

 

J’étais à la fois surpris et heureux, Sylvain avait presque 20 ans comme moi, c’était un beau mec mais je n’aurai jamais pensé qu’il était attiré aussi par les mecs.  Rémy s’était douté de cela et avait senti un truc alors que moi, je n’avais jamais imaginé un instant cela. Sylvain me confia qu’il avait regardé par le trou de la serrure car il avait tout de suite compris que « mon collègue » était gay.

 

Je me positionne devant lui, je le caresse au travers de son caleçon et je sors son sexe plus gros que le mien et lui demande s'il veut aussi me branler, il me dit que non il veut seulement que je le branle. J'ai une énorme envie de tenir son sexe dans la main et je n’insiste pas. Je lui enlève son caleçon et il me dit, enlève ton caleçon aussi si tu veux, tu seras plus à l’aise, il fait super chand !

 

Rencontre-d-un-mec-aux-urinoirs-4.jpg

 

J'ai sa bite qui grossit dans ma main qui est à plat, je la referme et je commence les va-et-vient. Je trouve ce contact génial, agréable, je le branle, de temps en temps je change de main, je mets un peu de salive sur sa bite. Je lui malaxe délicatement les bourses, je vois ma main qui branle ce manche de chair. Sa respiration s'accélère, il gémit faiblement, je stoppe un peu pour faire durer le plaisir.

 

Rencontre-d-un-mec-aux-urinoirs-3.jpg

 

Je le branle à nouveau, il apprécie et sa respiration s'accélère, tenir sa bite me plait (gland décalotté, grosseur juste ce qu'il faut, bref une bonne queue). Cela me donne une envie subite, mon estomac se contracte et je sais ce que j'ai envie de lui faire.

 

Je lui dis : « je vais essayer quelque chose, tu me diras ce que tu en pense, après ».

Je me mets à genoux devant lui et tout en le branlant j'embrasse son gland, je le lèche tout autour, je lèche sa bite de bas en haut en lui suçotant le frein. On dirait qu'un arc électrique traverse son corps au moment ou ma langue le lèche. Il gémit et me dit : « oh oui c'est bon ... encore s’il te plait ».

 

Je mets sa bite dans ma bouche, je le suce, je le tète, il me tient la tête et son bassin fait des mouvements de va-et-vient, me baise littéralement la bouche. Je le sens se raidir et il dit : ahhh c'est bon heummm, je jouis. Il commence à reculer mais je lui bloque les hanches pour que sa bite reste bien dans ma bouche et il jouit, je le regarde droit dans les yeux, j'avale son sperme, puis je reprends sa bite en bouche et je lui nettoie sa bite. Il a les jambes qui flageolent. Il me dit merci, je ne sais pas comment te remercier tellement c'était bon.

 

Reste à poil, tu m’as excité grave et il faut que je me tape une queue. Je continue à la caresser d’une main en tenant ma bite de l’autre et me masturbe. Sylvain me mate et cela m’excite davantage. Je me place face à lui, frotte mon sexe contre le sien. Il a l’air d’apprécier le contact de nos bites car il bande à nouveau. Je me branle encore en accélérant les mouvements de vas et viens. Sylvain décide de se branler également face à moi. Nous éjaculons ensemble lui en direction de mon ventre et moi en direction du sien. Nous avons pris une douche ensemble avant de remettre nos caleçons.

 

 

 

 

 

 

 

Live Webcams : gay chatroulette et CamZap.com

 

Les photos sont triées par catégorie :

 

Photos dans la douche   Photos dans la chambre   Photos au travail

Photos à l'extérieur   Photos dans les vestiaires   Photos en diaporama

Photos devant un miroir  Photos en gros plans   Photos devant l'ordinateur

Par Olivier75 - Publié dans : Photos et articles divers - Communauté : gay video
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 2 juin 7 02 /06 /Juin 19:46
Par Olivier75 - Publié dans : Photos et articles divers - Communauté : gay video
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 16:36

Jeunes-mecs-a-l-internat.jpg

 

 

 

Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

Je m'appelle Olivier, J'ai 17 ans, je mesure 1m70 et pèse 60 kg.

Rémi est dans ma classe, il a le même âge que moi, mais nous ne sommes pas du tout pote. Il est plutôt loubard et traîne toujours avec les "durs" de l'école.

Les premiers temps ne se passent pas trop mal. J'essaie d'éviter Rémi et il en fait de même. Mais comme je suis meilleur que lui en classe et qu'il est plus fort que moi (il mesure 1m75, pèse 65Kg), il fait beaucoup de sport et il est musclé. Donc, il en profite pour me demander de lui donner les résultats des devoirs, ce que je fais à contre coeur car la première fois où j'ai refusé, il m'a plaqué au sol, s'est mis à califourchon sur moi, puis m'a attrapé la bite à travers mon jogging, me la tordue et m'a dit que si je n’obéissais pas, il m'éclaterait les couilles. Je sais que lui et ses potes ont déjà fait subir pas mal de "supplices" à ceux qui ne leurs plaisent pas (mise à l'air, attaché nu dans les couloirs, même quelques fois des coups).

Un jour, notre prof de gym a trouvé Matthieu, un de mes meilleurs copains, attaché entièrement nu à un poteau de basket dans le gymnase. Il avait une capote sur la bite, remplie de sperme. Il m'a raconté que Rémi et sa bande l'ont choppé sans raison, puis ils l'ont mis à poil, attaché, ils lui ont bandé les yeux, puis sans rien dire, ils l'ont fait bander. Ensuite ils lui ont enfilé une capote et ils l’ont masturbé jusqu'à ce qu'il éjacule. Ils l'ont laissé comme ça jusqu'à ce que le prof arrive. Donc, je fais les devoirs et lui les recopie, il change seulement quelques petites choses pour que les profs ne voient rien. Ses résultats scolaires progressent, il est félicité par tout le monde, et il continue à profiter de la situation et de moi.

Un jour à l’internat, Rémi m'appelle dans sa chambre. Je vais le voir et il me demande si j'ai été invité à la soirée de Magalie. Je lui dis que oui et il me dit que lui aussi. Comme il aime m'humilier, il me dit qu'il fera tout pour que je ne puisse pas me faire une fille. Il est prêt à me faire passer pour un pédé s’il le faut. D'ailleurs, une demi-heure plus tard, je rentre dans les WC, il est en train de pisser. Je lui dis qu'il pourrait fermer la porte mais lui se retourne, m'exhibe sa bite et me dit tout en se caressant (il se branle presque, mais il ne bande pas):

— Tien petite salope, régale toi, regarde une belle queue, une vraie.

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---toilette.jpg

 

Puis il continue à se branler carrément devant moi, lentement, en se décalottant bien à fond pendant une ou deux minutes. Il a enfin la bite droite, elle mesure 17 ou 18 cm. Alors il remonte son pantalon, sort en me disant:

— Branle-toi bien en pensant à ma queue.

Je ne réponds rien. Je l'ai déjà vu à poil sous les douches au lycée mais jamais bandé et encore moins en train de se caresser comme il vient de le faire, et j'en reste surpris. C'est vrai qu’en plus, j'ai apprécié de le voir faire, mais ça, il ne le sait pas.

En retournant dans sa chambre pour prendre un CD, je le trouve devant sa commode, il a une boîte de capote à la main.

— Tu sais ce que c'est?

— Oui, bien sûr!

— C'est pour samedi car moi, je ne suis pas pédé et je compte bien baiser.

— Moi non plus, je ne suis pas un pédé.

— Ah bon! Pourtant tout à l'heure, tu m'as bien regardé faire, ça avait l'air de te plaire!

— Pauvre con, tu m'as surpris c'est tout. Si ça te plaît de te branler devant moi, c'est ton problème, pas le mien!

— Oui mais c'est toi qui m'as regardé. En tout cas, dégage! Je ne vais pas te montrer comment on les met.

Je repars dans ma chambre en me disant qu'il est de plus en plus taré, mais que j'aurai ma vengeance. Après le repas, je vois Rémi avec une boite de somnifères. Je ne dis rien mais me demande bien ce qu'il compte en faire.

Le samedi soir, chez Magalie, il veut se faire accepter par les mecs du lycée, plus âgée que nous, et je vois qu'il leur propose les somnifères dans de l'alcool pour les faire "planer". Ces cons acceptent. Sylvain part une demi-heure après, et il a un grave accident avec sa voiture. Il est dans le coma.

Le lendemain, je rentre dans la chambre de Rémi, sans frapper, il est encore couché:

— Qu'est-ce que tu veux conard? On ne t'a pas appris à frapper?

— Ta gueule, et écoute!

Il bondit du lit, il porte juste son caleçon, il vient à moi prêt à me frapper, mais je sors la boîte de somnifères de derrière mon dos, ça l'arrête net.

— C'est quoi ça?

— Tu le sais très bien, tu sais que Sylvain est dans le coma, je t'ai vu faire, je sais que tu es responsable, alors à partir de maintenant, c'est toi qui vas obéir à tous mes ordres, ou je te dénonce!

— Non, fait pas ça, s'il te plaît, excuse moi pour tout, mais ne dis rien je t'en prie!

— J’n’excuse rien! Tu acceptes d'obéir à mes ordres ou pas?

— Jusqu'à quand?

— Ça on verra, selon mon humeur...

— Et qu'elle genre d'ordres tu veux me donner?

— Bien par exemple, l'autre jour tu m'as traité de pédé, et tu as commencé à te branler devant moi, et bien puisque tu es en caleçon et que la dernière fois tu t'es pas fini, tu vas le retirer et continuer ta branlette mais jusqu'au bout cette fois. Je veux te voir juter, puisque je suis pédé, ça va me plaire.

— Tu déconnes?

— Absolument pas, tu choisis: ou tu t'exécutes immédiatement ou je vais te dénoncer. Si tu es OK, tu récupères ton foutre dans ta main!

Il ne répond rien, me regarde, il voit que je ne plaisante pas. Il enlève son caleçon, il est complètement nu en face de moi et a la bite mole. Il se touche pour se faire durcir et se branle. Il devient dur en 30 secondes puis il continue. Il finit par éjaculer dans sa main. Il récupère 6 giclées de foutre devant mon regard. Il se retrouve avec son sperme et la queue encore en main.

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---branlette.jpg

 

— C'est bon, ça te va? Tu as l'air d'aimer me voir, vu la bosse à ta braguette. T'es bien un pédé alors!

— Tu t'imagines que tu vas reprendre le dessus car tu as obéi à un ordre, tu rigoles! Puisque tu le prends comme ça, tu vas lécher ta main. Il faut bien nettoyer ton foutre.

— Non, pas ça!

— Ok; je vais te dénoncer!

Je me retourne, laisse Rémi comme ça. Je vais pour sortir de sa chambre.

— Non, ne dis rien, j'ai obéi.

— À un ordre, j'ai dit à tous mes ordres! Tant pis pour toi.

— Non, c'est bon... Regarde.

Il est toujours à poil. Il ne bande plus mais sa bite est restée en semi érection. Il approche sa main de son visage, il lèche son sperme. Il nettoie tout méticuleusement, il se lèche les doigts, les suce les uns après les autres puis vient me montrer sa main qui n'a plus une trace de foutre. Il avale, je le vois déglutir.

— C'est bon pour cette fois. Mais ne recommence jamais à discuter un ordre, et en plus avale ta salive, t'as du sperme sur les lèvres.

Je le plante là, complètement nu, en me demandant ce que je vais pouvoir lui demander maintenant.


Le lendemain, je croise Rémi seul dans le couloir du lycée, je l'appelle:

— Oui me répond t-il.


Regarde la bosse que j'ai à ma braguette!

— Tu veux quoi encore?


— Je veux que tu sortes ta bite et que tu te tapes une queue devant moi!


Tu es malade, n'importe qui peut arriver, viens dans ma chambre si tu veux mais pas ici!

Tu discutes mes ordres encore?

Voyant que je ne lui laissais pas le choix, il se retourne pour surveiller si personne n'arrivait, sort sa bite et se branla devant moi dans le couloir. 

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---branlette-couloir.jpg


Quelques jours plus tard, on va bientôt aller manger au réfectoire et j’appelle Rémi.

— Oui.

 

Il se lève et me suis dans ma chambre.

— Pourquoi t'as voulu que je vienne?

— Tu n'as quand même pas oublié que tu dois exécuter mes ordres, Non? Ça fait plusieurs jours que je t'ai rien demandé.

— Ok, et tu veux quoi cette fois?

— Monte dans ta chambre, enlève ton caleçon, et tu viendras t’asseoir à côté de moi à table en short et nu dessous. Tu vas te branler sous la table et tu vas te faire jouir. Je regarderai le résultat tout à l'heure dans ma chambre et si tu n'as pas joui, je parle.

— Mais t'es dingue, je ne peux pas faire ça à table devant tout le monde!

— Si. Discrètement bien sûr, ça restera entre-nous.

— Pauvre malade!

— Tu m'as traité de pédé, et bien tu vois, j'agis comme tel!

Il se tait puis il part dans sa chambre.

Rémy revient, il s’assoit à côté de moi, d’autres élèves en face. Il met ses mains sous la nappe et je devine ce qu'il fait. À la fin du repas, je monte ma chambre et Rémy me suit.

— Alors, tu l'as fait?

— Oui.

— Montre-moi!

Il baisse son short et me montre sa bite, molle, mais recouverte de sperme; ses poils sont tous collés.

— Bien et maintenant?

— Pour aujourd'hui, rien, mais demain, je veux que tu mettes ton short noir pour aller en cours.

— Si tu veux mais pourquoi?

— Pour une fois, tu t'assoiras à côté de moi et pendant le cours, quand je te le dirai, tu te branleras de nouveau.

— T'es un vrai malade toi!

— Oui mais tu le feras. Allez, bon après-midi. Réfléchit bien pour demain!

Le lendemain, je déjeune quand Rémi arrive. Il a mis son
short. On rentre en cours. Comme je le lui ai dit, pour une fois, il ne se met pas avec ses potes mais au dernier rang, avec moi. Les cours se déroulent pendant deux heures et je ne dis rien. Rémi me regarde de temps en temps, il appréhende. Le dernier cours de la matinée est commencé depuis une demi-heure, quand je dis à Rémi:

— Maintenant!

— Quoi?

— Tu le fais maintenant!

Il ne discute pas, il passe sa main droite dans son
short et commence à se branler. Je le laisse faire cinq minutes puis je pause ma main sur sa queue, pour voir s’il bande bien. Il me laisse faire, il n'a pas le choix, je lui touche la bite pendant deux minutes et je le branle, il est encore plus dur !

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---classe.jpg

 

— Continue et jouis!

À peine 5 minutes après, il sort sa main. Elle a du sperme dessus.

— Ça te va?

— Oui, mais lèche ta main!

Il obéit et nettoie sa main. Le soir venu, je vais le voir dans sa chambre.

— Rémi.

— Oui Olivier?

— Demain, on a piscine.

— Oui.

— Dans les vestiaires, quand on se changera, je veux te voir bander devant tout le monde.

— Mais, je ne peux pas, pas devant les autres!

— Si tu peux, ou alors...

Le lendemain, on arrive à la piscine, on se change, je regarde Rémi. Il me regarde aussi, il se déshabille, met son maillot, mais il ne bande pas, pendant la séance de natation, je m'approche de lui:

— Tu n'as pas obéi, tant pis pour toi!

— Non, ne dis rien!

— Tu ne respectes pas les règles.

— Ce que tu veux, mais pas devant les autres!

— Si, c'est justement ce que je veux, que tu aies honte devant tous!

— Salope!

— Oui, mais ou tu obéis ou je dis tout et arrête de m'insulter ou ce sera pire pour toi. Moi aussi j'ai des potes, et Matthieu serait assez heureux de te laisser nu, attaché en salle de gym, une capote sur la queue!

Au retour aux vestiaires, je me dirige vers les douches avec tous les autres. Rémi est là, il quitte son maillot, il bande pas, tout les autres se foutent à poil et se lavent. Je regarde Rémi, il comprend. Je ne le lâche plus du regard, alors il commence à se laver la bite de plus en plus jusqu'à ce qu'il se mette à bander. Bien sûr, les autres le voient et c'est son pote Nicolas qui lui dit:

— Bien Rémi, t'es en manque on dirait!

Rémi est rouge, il bande de plus en plus, il se cache le sexe avec les mains, alors Nicolas reprend:

— Bien non, si tu bandes devant tout le monde, il faut te soulager, allez, branle toi!

Tous les autres mecs sont d'accord. Rémi fait mine de sortir des douches, alors Nicolas le bloque.

— Non, ne sors pas. Allez, on va t'aider, si tu ne veux pas le faire, on va trouver un volontaire. Qui veut le branler?

C'est Gabriel qui répond:

— Bien c'est évidant, c'est Olivier qui va le faire. Ils m’attrapent et me forcent à m'approcher de Rémi. Je ne veux pas, mais comme je suis moi aussi, nu comme tous les autres, Gabriel me choppe les couilles, me serre et me dit:

— Ou tu le fais, ou on t'éclate tes couilles?

Alors, devant tous, je branle Rémi jusqu'à l'éjaculation. Tous les mecs bandent et moi aussi bien sûr. Plusieurs se caressent et partent vers les chiottes.

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---piscine.jpg

 

J'ai été pris à mon piège, mais Rémi va me le payer dès ce soir.

Le soir venu, je rentre dans la chambre de Rémi:

— Alors ça t'as plu tout à l'heure?

— C’n’est pas ma faute, tu l'as bien cherché!

— Oui, mais comme tu n’as pas voulu te branler, j'ai dû te branler devant tout le monde, alors maintenant déshabille toi complètement et viens te mettre à genoux devant moi.

— Pour quoi faire?

— Tu discutes encore?

— Non, c'est bon (il dit ça en enlevant tous ses vêtements et s'agenouillant devant moi).

— Maintenant, tu vas me baisser mon jeans et mon caleçon.

Il s'exécute: il défait ma ceinture puis les boutons de mon jeans un à un. Il baisse mon froc puis attrape mon caleçon et le baisse aussi. Il se retrouve avec ma queue devant les yeux.

Je me retrouve avec mon jeans et mon caleçon aux chevilles. J’enlève mon tee shirt et je lui dis :

— Régale toi, regarde ma belle queue, maintenant, tu vas me la sucer!

Il ne répond rien, il prend ma queue, me branle un peu, puis se la met dans la bouche. Il me suce. Je lui ordonne de me caresser en même temps qu'il me suce. Il obéit et avec ma queue dans la bouche, il me caresse le bas de mon ventre, mes cuisses et mes fesses. Ce petit cochon bande comme un âne!

— Tu vois, tu aimes ça sucer une bonne queue comme la mienne. Tu bandes bien. Alors tu vas continuer à me sucer en me caressant. Ça me prouvera que tu adores avoir ma queue en bouche.

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---felation.jpg

 

Il continue sa fellation et, comme je le regarde faire, je lui ordonne d'ouvrir les yeux, je veux qu'il voit ce qu'il est en train de faire et qu'il voit aussi que je le regarde en train de me sucer.

Il est toujours à genoux, ma bite dans sa bouche et quand je sens que je vais éjaculer. Je lui dis:

— Rémi, redresse ta tête et regarde!

Je lui attrape la tête, lui bloque contre moi et me branle à deux centimètres de son visage, je lui éjacule dessus. Je l'arrose avec mon foutre. Il est toujours nu à genoux devant moi, les mains le long du corps. Je me vide sur son front, son nez, ses joues, ses lèvres. Ensuite avec ma bite, j'étale mon jus sur tout son visage.

Pour me prouver que tu as aimé ça, je veux que tu jutes aussi :

— Lèves toi Rémi et caresse-moi pendant que je te branle. Il exécute mes ordres sans rien dire et je le masturbe pendant qu'il me caresse jusqu’à ce qu’il éjacule à son tour.

Tu vois Rémi, tu m'avais traité de pédé et bien maintenant, nous sommes deux!

Je m'allonge sur le lit de Rémy, et je lui dis:

— Viens t'allonger à côté de moi et continue à me caresser en pensant à ma queue, tu m'as fait bander et j'ai besoin de me vider les couilles.

Rémy s'exécute et continue à me caresser tout le corps pendant que je me tape une queue. Je ne tarde pas à éjaculer sur lui.

Depuis ce jour là, Rémy était devenu plus qu’un copain et n’hésitait pas à partager d’agréables moments à moi et nous continuons le partage des devoirs ensemble.

 

Jeunes-mecs-a-l-internat---chambre.jpg

 

 

 

 

 

 

Live Webcams : gay chatroulette et CamZap.com

 

Les photos sont triées par catégorie :

 

Photos dans la douche   Photos dans la chambre   Photos au travail

Photos à l'extérieur   Photos dans les vestiaires   Photos en diaporama

Photos devant un miroir  Photos en gros plans   Photos devant l'ordinateur

Par Olivier75 - Publié dans : Photos et articles divers - Communauté : gay video
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 21 février 4 21 /02 /Fév 22:01

montre-ta-bite-2.jpg

 

 

 

Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

Au collège, pas question de laisser quoi que ce soit transparaître, et encore moins lorsque quelqu'un faisait des blagues sur les gays ou s'amusait à provoquer d'autres mecs dans les vestiaires, après le sport.


Justement, les vestiaires. Plutôt banal et cliché, comme endroit pour fantasmer, et pourtant...

Un jour, dans ces fameux vestiaires, j'ai eu comme un flash : jamais avant je n'avais remarqué que Quentin était si bandant !


Quentin, c'était un mec viril, sportif, jeune mais déjà l'allure et le comportement d'un homme, musclé sec avec des poils naissants entre les deux pecs bien dessinés, et une gueule d'ange avec quelques taches de rousseur, bien qu'il fût brun.


Dès lors, après chaque cours de sport, je le matais discrètement lorsqu'il se foutait torse nu... Et un jour, il a décidé de m'en montrer plus : journée de printemps plutôt chaude, retour aux vestiaires après le cours d'endurance, et Quentin décide de changer plus de vêtements que d'habitude. Du coup, le pantalon y passe aussi, ce qui fait qu'il se retrouve presque à poil, en caleçon. Et là, le choc, presque électrique, que j'ai ressenti le long de mon dos : son caleçon laissait deviner une bite de poney, je n'avais jamais vu ça ! Un véritable monstre, d'autant plus suggestif que je ne pouvais pas le voir réellement.


Deuxième choc, moins agréable cette fois, Quentin a surpris mon regard. J'ai été trop lent à dissimuler que je le reluquais, ce jour-là, et il l'a bien vu. Mais contre toute attente, rien. Il n'a rien dit, n'a pas fait de blague, ne m'a pas humilié devant tous les autres comme il aurait pu le faire... Mais je suis sûr d'avoir perçu, ce jour-là, un petit sourire en coin, avant qu'il ne se tourne pour enfiler son t-shirt.

La suite prouva que je n'avais pas rêvé.

Malheureusement, la suite ne vint pas avant deux ans ! Pendant ces deux longues années, je me suis fréquemment branlé en pensant à lui. Après ce premier épisode au vestiaire, je pris toujours soin de ne jamais me mettre près de lui, de ne plus le regarder, et d'éviter, si possible, de me changer en même temps que lui mais, j'ai toujours fantasmé sur lui.

Les mois défilaient, et j'eus mes premières expériences avec les hommes !
En terminale, je me retrouvais dans la même classe que Quentin, pour la première fois. Il avait sans doute tout oublié, mais pas moi ; comme le temps avait passé, j'ai repris mon habitude de le mater dans les vestiaires ; jamais il n'a donné l'impression de le remarquer.

Jusqu'au jour où ...

Grande pause du midi, nous remontons en cours, et l'on nous annonce que la prof est absente : bilan, la moitié de la classe se barre, sauf les pauvres loosers qui font latin et qui doivent rester jusqu'à 17h, pour attendre le cours. Dégoûté, je me balade au hasard dans le bahut, et au bout d'un quart d'heure, je redescends dans la cour, vu que je n'ai rien de mieux à faire. Les autres latinistes sont allés au CDI pour bosser, mais je n'ai pas le coeur à ça.
J’arrive sous le préau, et là, dans le carré de bitume désert, je vois Quentin assis sur un banc, à écouter de la musique sur son iPod. Je m'immobilise sur place. Mais trop tard.
Lui, il m'a vu. Je le vois retirer ses écouteurs et me faire signe. Plus le choix, je vais vers lui, histoire de parler vite fait.

- Alors, t'as Latin ce soir ? me demande-t-il.
- Ouais, c'est assez relou de devoir rester là à rien faire jusqu'à 17h.
- Pourquoi tu ne vas pas bosser au CDI ?
- Bof, la flemme.
- Ouais, pareil, me répond-il.
- Mais au fait, pourquoi t'es là, toi ? Je lui demande.
- Moi j'ai le badminton avec l'AS, après, vers 16h.
- Ah, ok.

Ca s'arrête là pour le moment. Il s'étire un bon coup, puis il se lève.

- Tu viens, on va à l'intérieur, me dit-il.
- Euh, ouais, si tu veux, je réponds.

Je savoure l'instant, je suis seul avec lui, ça ne va pas durer, d'un moment à l'autre, on va tomber sur un de mes potes latinistes, ou sur un de ses potes du badminton. Alors je savoure.
On monte les étages, et arrivé au dernier, toujours vide puisqu'il n'y a que les salles d'art plastique et de techno, il se tourne vers moi, et me dit :

- En fait, je ne sais pas où on va, je suis monté sans réfléchir.
- On n'a qu'à se poser là, je lui dis, en montrant le haut des marches.
- Non, j'ai envie de pisser, je vais aller aux chiottes, d'abord.
- Ok.
Comme il voit que je ne bouge pas, il me dit :
- Bah tu viens ?
- Pas envie de pisser, moi, je lui réponds.
- Et alors, on s'en fout.
Là, je ne sais pas trop quoi dire. Alors je hoche la tête, et je le suis. Une pensée me vient ; s'il pisse devant moi, j'aurai peut-être la chance de mater sa queue. J'en bande d'avance.

Bref, on rentre dans les chiottes, et moi je m'adosse au lavabo, l'air de rien. Lui, il choisit une pissotière en oblique par rapport à moi. Génial, ça me facilite la tâche.
Il pisse, et j'attends qu'il soit bien en plein milieu pour pencher la tête et risquer un regard furtif. Sauf que ce salaud se retourne à ce moment précis et surprend mon regard, une fois de plus. Je fais mine de rien, mais lui, après avoir fini de pisser, s'adresse à moi sans se retourner.

- Je savais bien que tu me matais.
- ...
- Ba quoi, tu dis plus rien ? Tu me matais, oui ou non ?
- Ou...Ouais, je bafouille.
- Voilà, ce n’est pas si difficile de répondre.

Et là, il se retourne la queue à l’air.
Je pose mes yeux pour la première fois sur le monstre qui hantait mes nuits : elle est énorme, comme prévu. Ou du moins, de belle taille, flasque, et super appétissante. Avec mon excitation et ma trouille, elle a dû me paraître plus grosse encore.
Il suit mon regard, et il sourit.

- Alors, elle te plaît ?
- ...
- Ho ! Réponds ! Je t'ai demandé si elle te plaisait ?
- Oui.
- Voilà, c'est mieux !

J'en crois à peine mes oreilles, le mec de mes rêves me montre sa bite, et j'adore ça ! Ma bite est déjà au garde-à-vous dans mon froc, et ça m'en ferait presque mal.
Lui, il reste devant moi à savourer ma dépendance naissante.

- Touche, me dit-il.
Je n'ose pas.
- Touche !
Alors j'avance lentement la main vers sa queue, et je la touche. Il me prend la main et me force à le branler ; sa bite durcit et grandit à vue d'oeil : au final, on doit bien dépasser les 20 cm ! Je plane totalement, une bite dans la main, un beau mec devant moi qui ferme les yeux et savoure ma branlette....

- Maintenant mets toi à genoux.

Inutile de dire que cette fois, je m'exécute sans broncher. Une fois à genoux, il m'observe de toute sa hauteur, et me dit :
- Ouvre grand ta bouche !
Et il m'enfourne alors son engin dans la bouche, que je m'empresse de sucer.
- Hummmmm, mais dis-moi, tu suces mieux que ma copine, mec, haaaan, hummmm.
En même temps, j'aurais dû m'en douter, tu as une petite bouche de suceuse !

Il me lime la gueule un moment, puis il arrête, et pendant plusieurs minutes, je reste immobile à genoux tandis qu'il s'amuse à me frotter sa queue sur la gueule en tournant autour de moi. Il continue ce petit manège jusqu'à ce qu'il en ait marre, et décide de passer à autre chose. Il se déshabille et me pousse dans une cabine. Il ferme la porte et me demande de me déshabiller aussi. Je le fais. Alors il se penche vers moi, et son corps d'athlète, comparé à mon corps ordinaire et sans muscles, me maintient fermement plaqué contre la paroi tandis qu'il me roule une pelle ultra virile, dans laquelle je m'abandonne complètement comme si j'étais sa femelle.
Je le caresse, je palpe ses muscles, ses pecs de folie, et je titille ses tétons.


- T'aimes ça, mes muscles, hein ? Tu voudrais être comme moi, pas vrai ? Alors bouffe !
Et il me force à lui lécher le torse, les pecs, les tétons... Je me retrouve le nez plaqué à sa poitrine, et je me délecte de son odeur de mâle, de son odeur musquée et poivrée, je lui lèche les tétons...
Je repasse à sa queue, qui a du encore grossir tellement elle m'emplit la bouche, et je le suce pendant un bon quart d'heure, jusqu'à ce qu'il m'arrête, au bord de la jouissance.


- Arrête, arrête, tu suces trop bien, je vais jouir, arrête... Je veux faire durer ça, il nous reste encore deux bonnes heures à occuper.
Ces mots me font plus bander ; malgré la taille de sa bite, je suis sûr que je vais adorer me faire ramoner, sachant que c'est lui.
On souffle un peu, lui il laisse retomber la pression, moi j'en peux plus à force de bander sans m'être touché, alors je décide de me faire plaisir et je commence à me masturber.

- Allez, suce-moi encore !
- Oui.
- C'est mieux.
Il recommence à se palucher, et sa bite qui avait débandé à moitié, reprend du volume.
Je me dépêche de le sucer. J'adore sa queue, elle me rend fou, je sens ma bite qui me fait mal à bander dans le vide.
Il se laisse faire et apprécie, puis soudain, il me fait arrêter.


- Attends, tu aimes la queue, tu vas en avoir ; ouvre bien grand, je veux aller jusqu'à ta gorge.
Je proteste faiblement, parce que je n’ai jamais fait ça ; ça l'amuse, il se marre.
- Ba y'a un début à tout, dit-il. Ouvre grand, tu vas en bouffer de la saucisse.
Il me penche la tête légèrement en arrière, et me fait coulisser sa teub dans le gosier. J'ai beaucoup de mal, au début, j'ai des renvois, je n'arrive pas à engloutir toute sa bite. Il y va doucement, pour une fois, et me laisse prendre le rythme. Au bout d'un moment (quand même un bon quart d'heure) je m'y fais, et il prend grave son pied ; il me laboure la gueule jusqu'à la gorge, parfois je suis sur le point d'étouffer, mais j'adore. D'ailleurs, ses couilles battent sur mon menton, et il pousse des râles de plaisir comme une bête, ce qui me fait bander encore plus (ma bite était sur le point d'éclater !)


- Tu es encore mieux que ma meuf, me dit-il. Elle dit toujours qu'elle est folle de ma queue, mais elle n'arrive jamais à me l'avaler entièrement.
J'ai un peu la gorge en feu, et c'est d'ailleurs pas le seul endroit ; ça doit bien faire une heure que mon cul se dilate de plaisir.


Comme s'il avait lu mes pensées, il m'a fait relever, et m'a roulé un patin d'enfer, à nouveau, avant de me dire à l'oreille :
- Maintenant que tu m'as bien lubrifié, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, me glisse-t-il sur un ton lubrique. Retourne-toi, tu vas déguster.
Je me retourne, mais je lui fais timidement remarquer que ce n’est pas ma première fois... Il saisit le message.
- J'aurais dû m'en douter, avec ta gueule de suceuse, tu t'es déjà fait choper. Dommage, j'aurais bien aimé te dépuceler, mais tant pis, ton petit cul m'ira très bien quand même.
Il a sorti une capote de sa poche de jeans, et s'est équipé la queue.
- J'en ai toujours au cas où, m'a-t-il précisé.


Décidément, c'est une vraie bête de sexe ! Je me demande si je suis le premier à y être passé ... Je lui pose la question.
- Je ne te demande pas où tu t'es fait fourrer, toi, si ?
Je me retourne et je cambre bien mon cul, pour lui faciliter la tâche.
- Tu en veux de la bite, hein ? Ba tu vas être servie !
Je me prépare à souffrir, vu la taille de son chibre, et j'attends qu'il me déchire.
Il y va très doucement, étonnamment, et je le sens progresser dans mon cul avec précaution ; il me fait quand même mal, tant sa queue est énorme.
- Humm, t'as le cul bien dilaté ! Toi tu t'es déjà fait tirer, ça c'est sûr !


Maintenant, tout son membre est rentré. Il ne bouge plus, le temps de s'habituer à la chaleur de mon boyau. Moi, je savoure, je me fais monter par le mec de mes fantasmes, en plein coeur du lycée !


Il commence de lents va-et-vient, et il accélère de plus en plus. Bientôt, je me fais labourer le cul en bonne et due forme, et je commence à gémir, moitié par douleur, moitié par plaisir ; mes petits couinements ne font que l'encourager et l'exciter davantage, et il redouble la cadence.
- Hummm, haan, oui, haaaan, haan, t'aimes ça, hein ? Haan, haaan, réponds-moi, haaan....
- Oui, oui !
Je me surprends à hurler.
- Oui, défonce-moi, oui, j'adore ça, haaan, oui.
- Chut, tu veux que tout l'étage rapplique ? Haan, t'as un cul de rêve, mec, haaan, putain !


Je souffre un peu de ne pas pouvoir me branler, mais je n'ai pas besoin de le faire, lui-même saisit ma queue et commence à me masturber en rythme, tout en continuant à m'enculer profondément.
Je mets à peine cinq minutes à jouir, et j'éclabousse toute la paroi des chiottes. Les contractions de mon anus semblent lui procurer des sensations incroyables, mais il ne jouit toujours pas ; endurant, le salaud !


Au total, il m'a limé pendant une heure, peut-être un peu plus, avant de jouir en poussant des grognements bestiaux qui m'ont fait triquer de nouveau.
Il s'est retiré lentement (j'avais le cul complètement ravagé, en feu, mais j'adorais ça !) et a retiré la capote, qui contenait une quantité impressionnante de sperme. Puis il m'a demandé de lui nettoyer la queue. Là, j'ai hésité mais il m’a précisé :
T'inquiète, mec, je suis clean, je fais des tests régulièrement, et je baise toujours avec capote.
Alors je me suis emparé de sa queue qui commençait à ramollir, et j'ai aspiré le peu de jus qui restait ; un vrai nectar, légèrement sucré.


Il s'est reposé cinq minutes (je l'avais épuisé, en quelque sorte) et il a commencé à se rhabiller. J'ai suivi son exemple, et nous avons pris le temps de discuter un peu avant de sortir.
- Tu as aimé ? M’a-t-il demandé.
- J'ai adoré. En vérité je fantasme sur toi depuis deux ans au moins, ai-je ajouté.
- Ouais, je l'avais deviné, m'a-t-il dit. Je t'ai grillé quand tu me matais dans les vestiaires.


T'inquiète, mec, t'es pas le seul que j'aie chopé comme ça ; y en a d'autres qui ont flashé sur moi. Mais c'est toi le meilleur coup jusque là, a-t-il ajouté.
Je lui ai alors roulé un patin, je n’ai pas pu m'en empêcher. Il ne m'a pas repoussé.
Ne te fais pas d'idées, non plus, a-t-il dit. Je suis avec une meuf, et je suis plus hétéro que gay, la plupart du temps. Sauf quand je rencontre un bon petit cul à bourrer, a-t-il ajouté avec un clin d'oeil.
Mais entre nous, tu devrais prendre du muscle, tu as du potentiel, t'as les épaules carrées. Faudra que je t'entraîne, mec.

J'ai souri ; pourquoi pas, ai-je pensé.
On est sortis des chiottes, il était quatre heures moins vingt. Il m'a filé son tél, histoire d'être "toujours joignable si j'ai les couilles trop pleines". Il m'a dit ça en faisant mine d'être macho, mais ça m'a fait sourire.

- Evidemment, ça reste entre nous, mec, m'a-t-il dit. Toute façon, ça fait deux ans que je suis avec ma meuf, et tous mes potes la connaissent ; si tu dis quoi que ce soit, tu seras grillé en tant que pédale, mais moi je n’aurai pas de problème, personne te croira.
- Je ne risque pas d'en parler à qui que ce soit, ai-je dit.
- Ouais, tu serais trop déçu de devoir te passer de ma bite !

Et le pire, c'est qu'il avait entièrement raison.
 

 

 

 

Lien de la vidéo 

 

 

 

 

 

 

 

 

Live Webcams : gay chatroulette et CamZap.com

 

Les photos sont triées par catégorie :

 

Photos dans la douche   Photos dans la chambre   Photos au travail

Photos à l'extérieur   Photos dans les vestiaires   Photos en diaporama

Photos devant un miroir  Photos en gros plans   Photos devant l'ordinateur

Par Olivier75 - Publié dans : Photos et articles divers - Communauté : gay video
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 21:00
Par Olivier75 - Publié dans : Photos et articles divers - Communauté : gay video
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Prévention

sortez-couverts.jpg

 

 

Ce blog ne doit pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle non protégée.
Utilisez des préservatifs

(infos : www.sida-info-service.org)

Présentation

Prévention

SIDA-condom.jpg

 

Ce blog ne doit pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle non protégée.
Utilisez des préservatifs

(infos : www.sida-info-service.org)

Profil

  • olivier75 gay
  • Le blog de Olivier75
  • gay photos voyeur bite videos
  • Gay, sur mon blog perso et non commercial (photos et vidéos) de jeunes sexy, minets imberbes, plans cam et des exhibitions. Ce blog est réservé à un public majeur et averti pour échanger, partager sans tabou le plaisir au travers de mes articles

Prévention

sida.jpg

 

 

Ce blog ne doit pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle non protégée.
Utilisez des préservatifs

(infos : www.sida-info-service.org)

Recherche

Communautés

Images Aléatoires

  • sammy 30
  • h
  • harry jesus Album-10 n
  • Juju 1 50
  • Mec-blond-4
  • Deux minets au lit - q

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés