Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

Je m’appelle Rémy et j’ai été victime d’une mise à l’air une fois à la piscine. Moi qui pensais que cela n’arrivait qu’aux autres ! Je venais d’arriver dans un lycée en cours d’année et, je ne m’attendais pas à ce qu’il m’est arrivé.

 Après le cours de natation, dans les vestiaires, j’ai retirée mon maillot. Je n’avais plus que ma serviette autour de la taille. Tandis que je cherchais mes sous vêtements, j’entends pouffer derrière moi. Et là, deux mecs disent « et si on le foutait à poil le petit nouveau ? ». Je me suis retourné, le regard crispé : - Non les mecs, ne déconnez pas !

C’est alors qu’ils m’ont plaqué au sol, me tenant les bras et les jambes puis un troisième mec m’a arraché ma serviette. Ils étaient tous mort de rire de me voir me débattre à poil. Me voilà donc nu avec mon petit cul sur le carrelage froid. J’entends des commentaires sur mon sexe presque rasé !

- Regardez le nouveau qui se trémousse dit l'un des trois mecs !

Les deux mecs qui me tenaient au début en profitaient pour me photographier avec leurs portables. Beaucoup de rires et là, un de ceux qui m’avait « invité » à ce bizutage a chuchoté un truc aux oreilles des deux autres mecs qui, forcément se sont marrés. Ils ont ouvert la porte et m’ont enfermé dehors ! Je ne savais plus où me mettre et les mecs d’une autre classe qui passaient dans le couloir étaient morts de rire.

- Vite nos portables, dit l'un d'eux !

Il va leur falloir quelques minutes pour retourner dans leur vestiaire et revenir avec les portables. Manquerait plus que ça : être filmé à poil et que ça circule partout ! Je tambourine à la porte mais les mecs de l’autre côté riaient. J’entends : - Jeter ses fringues par la fenêtre !

- Non, allez ça suffit !

Je ne pouvais pas rester là complètement nu, risquant d’être filmé par les élèves de l’autre classe. Je fonce direct vers les douches et m’enferme dans une des cabines. J’entends les mecs dans les couloirs qui me cherchent.

- Il a dû se cacher aux toilettes !

Il n’y a donc pas de profs dans cette piscine, bordel ! Me dis-je. Je reste là en retenant mon souffle. J’entends les mecs du cours suivant discuter avec les mecs de ma classe. Quand soudain, ouf ! J’entends les voix du maître nageur et du prof qui arrivent et demandent ce que c’est que ce bordel.

- Rien, rien, monsieur, on chahute un peu, c’est tout répond l’un d’eux…
- Oui ben, ça suffit, filez en cours tout de suite ou des heures de colle vont tomber pour vous tous !

Je les entends filer et les mecs du cours suivant se calmer…

Je décide d’attendre qu’ils partent pour rejoindre le vestiaire et puis là, je verrai ! C’est toujours mieux que d’interpeller le prof en étant à poil et j’ai trop peur de la vengeance possible si je cafte !

Je me rends compte que cette situation, en plus de m’affoler, m’excite pas mal et que ma queue commence à gonfler et à se redresser !

Le silence fait, j’ouvre doucement la cabine et fonce vers le vestiaire. Je suis persuadé, qu’ils ont dû piquer mes fringues et les balancer. Mais non, sauf qu’en m’habillant vite fait, je me rends compte que, me voilà avec tout mes vêtements, mais sans les lacets aux chaussures ni la ceinture de mon pantalon !

J’hésite à retourner en cours mais, si je sèche ça risque de compliquer les choses. Mes parents sont plutôt tyranniques de ce côté-là ! Alors me voilà repartit en cours au lycée à 15 min de la piscine.

Je suis encore excité par le fait d’avoir été mis à poil et de perdre à moitié mon pantalon que je tiens le plus discrètement possible en mettant mes mains dans les poches !

J’arrive en retard en cours et je me fais engueuler par le prof.

- Tu t’es perdu me demanda t’il ?

- Je réponds oui monsieur ! C’est la première fois que j’allais à la piscine et je me suis trompé de rue sur le chemin du retour !

- File t’asseoir ! Et là, le prof m’indique une place libre tout au fond de la classe, entre deux  de mes bizuteurs !

Grand sourire : « ca va ? » me dit Olivier sur un ton très doux. Il me murmure : « c’était ton bizutage, t’aurais pas dû essayer d’y échapper, c’est vexant pour nous ».

- Je le regarde en colère en l’insultant de pauvre con.

- Chutttt mec, sinon on passe les photos aux autres.
- Non, ne faites pas çà  m’écriai-je !
- Silence, le nouveau me dit le prof. Décidément…
- Non ! Je reprends en murmurant. Déconnez pas, s’il vous plaît….
- OK, on n’est pas si mauvais mais, va falloir faire tout ce qu’on te dit maintenant…

Tu sais moi, pour mon bizutage, je m’étais réfugié dans les cabines….

Il me regarde…

- C’est là que tu étais ?

Il rit !

- Moi, les mecs m’avaient choppé en passant sous la porte et sortit cul nu par-dessous la porte en me tirant par les chevilles. Puis j’ai dû passer une inspection totale devant trois mecs ! Alors tu vois, le tien n’était pas si terrible !

- Cela veut dire quoi « va falloir faire tout ce qu’on me dit » ? Soyez pas vache, j’ai été bien humilié, non ? Rendez-moi mes lacets et la ceinture de mon fut.
- OK, mais tu vas d’abord me donner ton caleçon, c’est notre trophée et je dois ramener quelque chose aux autres !
- Quoi ? Mais ça ne va pas ?
- Tu oublies les photos ? Tu n’es pas en mesure de discuter !

Olivier se retourne vers le troisième de mes bizuteurs qui est juste derrière moi : - Sébastien, fais passer les photos.

- Non ! Ok c’est bon. Mais c’est tout ! Après, c’est fini ? Je suis à la fois excité mais, en même temps de plus en plus effrayé.

- Je te le file tout à l’heure mon caleçon Olivier, j’irais aux toilettes après le cours.
- Non, maintenant !
- Quoi ? Mais ça ne va pas ? On va se faire chopper !
- Sébastien …

Je me retourne vers Sébastien qui sort des ciseaux de sa trousse. Il les glisse par le bâillement de mon pantalon (comme je n’ai plus de ceinture) et, avec une adresse inattendue découpe mon caleçon sur un des deux côtés puis fait la même chose ensuite de l’autre côté. Je suis paralysé…  

- Tu vois Rémy ? Ce n'est pas compliqué...  Me dit Olivier !

Je le regarde, complètement anéantie. Quand les autres garçons sauront, ils risquent de vouloir s’en prendre aussi à moi ! Olivier devine mes pensées et sourit, satisfait.

Mon voisin de droite, Christopher me dit : – « Laisse toi faire » et, il tire doucement sur la partie avant de mon caleçon. Il me demande de lever un peu mes fesses de la chaise puis, continue doucement à tirer mon caleçon jusqu’à temps que tout le tissu sorte de mon pantalon.

En tirant sur le tissu de mon caleçon, celui-ci passant entre mes fesses, ça m’excite grave ! En plus, ma queue remonte avec le tissus et ressort de mon fut.

Alors que Christopher a récupéré mon caleçon découpé sur les deux côtés, me voilà à nouveau la bite à l’air qui est ressortie de mon pantalon.

Mon voisin de gauche, Olivier plonge sa main dans le bâillement du pantalon et atterrit sur mon sexe qui commence à prendre du volume. Il me l’empoigne fermement et commence à me branler la queue. Je baisse la tête en faisant mine d’écrire afin que les autres de la classe ne se doutent de rien.

Heureusement que la salle est biscornue, le prof est occupé et les autres élèves aussi ! Olivier continue de me branler et Christopher commence à me détacher les boutons de mon pantalon, puis me caresse les couilles et le bas du ventre.

- Arrêter les mecs, vous l’avez mon caleçon !

- Chut ! Un trophée, c’est un caleçon avec du sperme dessus me précise Christopher à voie basse. Là, c’est juste un caleçon de gamin, sans sperme dessus ! Laisse toi faire et ne parle pas sinon, les autres risquent de nous entendre et se retourner. Tu ne voudrais quand même pas que les autres profitent aussi du spectacle.

- Tu aimes ça, hein, le nouveau ? Oui tu aimes ça, c’est sûr me dit Christopher à voie basse !

Je ne dis rien, n’arrivant pas à l’en empêcher.

- Je vais te faire jouir… me dit Olivier, l’air dominateur.

Moi je souhaite qu’Olivier n’arrête pas, même si je le supplie de l’inverse.

Je n’en peux plus, je veux jouir. L’excitation de ses dernières heures m’emplit et je ferme les yeux, me mords fortement les lèvres pour ne pas faire de bruit. La mise à l’air dans le vestiaire de la piscine, mon caleçon découpé et retiré en plein cours, les caresses de Christopher, Olivier qui me branle de l’autre côté et Sébastien qui est derrière moi mais me mate depuis le début… 

Heureusement que je suis au fond de la classe avec mes trois bizuteurs !

" Je ne peux que penser à mon caleçon sur lequel, je vais éjaculer en pleine classe, j'ai l'impression d'être complètement nu en plein cours. Je n'ai jamais eu autant de plaisir même si cette situation me gêne".

Olivier me masturbe et me murmure qu’il adore ma queue. Christopher continue de me caresser. Le fait de ne pas pouvoir gémir augmente le plaisir. Ca y est, je finis par jouir sur mon caleçon !

Je reboutonne mon pantalon pendant qu’Olivier récupère mon caleçon plein de sperme, le roule discrètement et le mets dans son sac.

Le cours est finit, mes trois voisins se lèvent et me regarde :

On y va ? Tu veux récupérer tes lacets et ta ceinture !

Je les regarde et leur demande : - C’est finit, c’est promis cette fois ?

Promis, tu es des nôtres maintenant, viens avec nous ! dit Christopher sur un ton ferme et rassurant. On va te rendre tes lacets et ta ceinture.

Je tiens tant bien que mal mon pantalon avec mes mains dans les poches et, je ne peux que les suivre pour récupérer ma ceinture. Je n’ai pas trop le choix car mon pantalon large ne tient pas et je n’ai plus de caleçon dessous ! Je vais donc avec mes trois bizuteurs pour récupérer ma ceinture.

On les avait cachés dans la réserve me précise Christopher.

- C’est où leur demandais-je ?

- C’est une petite pièce au sous-sol.

Je les suis donc, car tous les autres élèves sont déjà sortis.

Christopher s’arrête devant une porte, sort une clé et ouvre la porte.

- Tu as la clé de la réserve lui demandais-je surpris ?

Je l’avais pris au gardien l’autre jour mais, de toute façon, personne ne rentre jamais dans cette pièce.

- Vous n’êtes pas croyable !

Olivier, Christopher et Sébastien rentrent, je les suis puis, Christopher referme la porte à clé derrière nous.

Je le regarde surpris et lui demande : - Pourquoi tu refermes à clé ?

Il sourit : - Désolé pour ce qui va t’arriver.

- Quoi ?

- Je te l’ai dis tout à l’heure, - « tu es des nôtres maintenant », me rappelle Christopher ! Comme on fait parfois des plans suce tous les trois, et bien cette fois, nous serons quatre. De toute façon, tu aimes bien la bite alors ne fait pas le timide avec nous.

Trop tard ! Je suis seul à l’autre bout du bâtiment et enfermé dans cette petite pièce isolée avec mes trois bizuteurs sans même avoir deviné le guet-apens. Pendant que Christopher et Olivier me tiennent, je tiens le plus fort possible mes mains dans les poches pour retenir mon pantalon. Sébastien  m’approche et fermement me les retire des poches. L’une, puis la deuxième !

- C’est ton bizutage ! dit-il, très fort.

Puis il me murmure :

Personne ne donnera les photos que nous avons prises ce matin. Pour ton caleçon, c’est pareil, c’était seulement une garantie si tu n’étais pas venu avec nous, me dit il en souriant.

Je suis tenu au sol, mon pantalon commence à glisser bien que j’écarte les jambes au maximum, mon sexe s’agite, tout le monde fait silence en me matant. Je suis de plus en plus excité. Olivier qui me tient avec Sébastien, me murmure « tu me fais bander Rémy ».

Christopher tire sur mon pantalon qui est au bas ventre et révèle mon sexe. Toujours ce silence et ces regards lubriques, c’est comme au ralentit. Sébastien continu de tirer mon pantalon qui est à arrivé à mi-cuisse : mon sexe dévoilé, mes fesses aussi…  J’ai resserré les jambes, mon petit cul se tortille mais, mon pantalon se retrouve quand même aux chevilles. Je vois que les trois mecs bandent à travers leurs futs.

Christopher demande à Olivier de m’enlever le haut. Je me retrouve torse nu pendant que Sébastien me retire mes baskets, mes chaussettes et mon pantalon. Je me retrouve comme à la piscine, complètement nu.

Mes trois bizuteurs se dessapent complètement aussi.

Je ne peux m’empêcher de les mater et cette situation m’excite. Je bande sans même qu’ils aient besoin de me toucher la queue.

Vous voyez les mecs dit Christopher à Olivier et à Sébastien, C’est une bonne recrue, il aime bien la bite et sait être docile.

Je me retrouve avec trois bites devant moi, je me mets à genou, je les branle et les suce l’un après l’autre en savourant ce plaisir partagé.

Puis les autres, chacun leur tour prennent ma place et j’ai kiffé grave la gorge profonde de Sébastien qui a rentré ma queue complètement dans sa bouche.

Ensuite, Olivier je le trouvai très doux, un peu maladroit, mais terriblement efficace. Au départ un peu gêné par la goutte qui perlait à l’extrémité de mon gland, il ne s’en formalisa plus ensuite. Quant à moi, j’étais super excité, je l’interrompis plusieurs fois pour calmer ma fièvre et éviter que je n’éjacule prématurément.

Puis le tour de Christopher, étant à poils, on pouvait sans difficulté se mettre dans toutes les positions pour jouer. Je le revois en train de relever mes cuisses en arrière pour me lécher les couilles. Un petit coquin lui !

Ca a terminé par une avalanche de jus ! Il y avait du sperme partout par terre. Avant de partir, nous avons essuyé avec un chiffon pour ne laisser aucune trace de notre passage.

Maintenant que j’ai joué le jeu avec eux, ils m’ont rendu mes lacets, ma ceinture, mon caleçon découpé et ont effacé les photos de leur portable devant moi. Mais, je retournais régulièrement dans ce local avec eux à chaque fois que l’occasion se présentait pendant toute cette année scolaire.

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