Dans les toilettes du lycée

Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 09:34

Dans les toilettes du lycée

Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

Je suis un jeune étudiant de 18 ans blond, les yeux marron, 1m70 pour 58kg. Plutôt sportif, je suis en dernière année de Bac dans un lycée professionnel. Dans ma classe, il y a une dizaine de garçons tous âgés entre 18 et 20 ans.

Certains sont vraiment très mignons. Sportifs et minces, on devine sous leurs T-shirts des torses musclés et fins. De plus, je sais que certains me reluquent.

Il y a dans ma classe deux jeunes métisses très sexy. L’un s’appelle Mehdi et l’autre Sofiane. Ils me font beaucoup fantasmer.

Comme chaque vendredi, à 10h30, j’ai le cours maths. Avant de me rendre en classe, je décide de prendre une pause pour fumer une cigarette. Je me rends donc vers la zone fumeur du lycée.

Je n’étais pas le seul à profiter de cet intercours pour assouvir un besoin en nicotine. Quatre autres étudiants étaient présents, réunis autour du cendrier. Deux filles et deux garçons, en pleine conversation.

Un peu à l’écart, Mehdi et Sofiane fumaient aussi leurs clopes, tenant chacun dans leur main un gobelet de café. Je me rapproche de ces derniers, pas trop près, juste assez pour entendre leur conversation.

Ils parlaient du cours de maths à venir et des difficultés de l’un d’eux dans cette matière.
C’est alors que Mehdi m’aperçut.

- Hé, Olivier ! Tu prends ta pause avant de te prendre la tête en maths? (Il se mit à rire).

- Ouais, petite pause ! Mais ça va, les maths je gère !

- Ben, tu devrais donner des cours à Sofiane, il plane complètement !

Après cette courte discussion, la sonnerie retentit, annonçant le cours suivant. Nous nous dirigeons tous les trois vers notre classe. Juste avant de franchir la porte, Sofiane se pencha à mon oreille et me dit :

- Pour les cours particuliers, c’est quand tu veux ! (Il me fit un clin d’œil au passage).

Je crois bien qu’à ce moment-là, j’ai rougi ! Il a sûrement dû le remarquer.
Avec son grand sourire sur le visage, il me propose de m’installer à côté de lui. Ce que j’accepte évidemment !

Le cours commence. Après une demi-heure d’équations, d’inconnues X ou Y et j’en passe et des meilleures, Sofiane se penche de nouveau vers moi.

- Et sans vouloir faire le lourd, tu es célibataire ?

Je lui souris et réponds que oui.

Quinze minutes plus tard, je le vois s’agiter un peu, sa main glissant sous la table.
Je fais mine de rien. Je continue de suivre le cours tout en le surveillant du coin de l’œil.
Il effleure ma cuisse du bout de ses doigts, se demandant sûrement s’il devait oser ou pas. Il finit par poser sa main sur le haut de ma cuisse et la laisse là, attendant une réaction de ma part.

Voyant que je ne fais aucune objection, il commence à me caresser la queue à travers mon jean.
Il retire soudainement sa main, approche sa bouche de mon oreille et me dit :

- Reste dans la classe à la fin du cours. Tout le monde va aller au self, on sera tranquille.

L’idée de me retrouver seul avec lui dans cette classe m’angoisse et m’excite en même temps. Un mélange de peur et de désir me provoque une érection.

La cloche sonne enfin. Cette fin de cours m’a paru une éternité.
Le brouhaha des élèves rangeant leurs affaires envahit la classe. Je regarde mes camarades de classe quitter la salle les uns après les autres.
Je prends mon temps pour glisser mes bouquins dans mon sac.
Mehdi s’approche de Sofiane :

- Alors tu viens ? Qu'est-ce que tu fous ?

- J’n’ai pas très faim, on se retrouve à 13h. Je vais bosser ma dissertation.

- Comme tu veux.

Et sur ses mots, Mehdi quitte la classe, suivi du prof, dernier à sortir.

Me voilà seul avec lui. Sofiane me regarde, les yeux remplis de désir.
Il s’approche de moi et m’embrasse fougueusement. Ses mains caressent mon dos pour descendre sur mes fesses qu’il prend à pleine main.
Sa langue chaude cherche la mienne. Son corps se colle contre le mien. Mon torse se retrouve appuyé contre son torse.
L’une de ses mains remonte et glisse sous mon pull. L’autre toujours accrochée à mon cul.
Je ne reste pas inactif, je lui caresse le dos.
Je presse mon intimité contre son entrejambe. Même à travers le tissu de nos deux jeans, je peux sentir son érection.

Ses lèvres ont quitté ma bouche pour venir se poser dans le creux de mon cou. Ce mec est en train de me rendre fou. J’ai envie de lui. Je caresse son entrejambe et m’apprête à défaire sa ceinture.

- Non, pas ici. On risque de se faire gauler (parvient-il à chuchoter entre deux soupires). J’ai envie de toi. Si tu savais comme je bande... Viens, on va dans un endroit plus tranquille.

Il me prend par la main. Nous quittons la classe pour nous rendre dans les toilettes. Il ferme la porte derrière nous.
Je n’ai pas le temps de parler qu’il me colle contre le mur.

- Oh si tu savais, comme tu m’excites !

Il défait un à un les boutons de mon jean, qui tombe à mes chevilles.
Je me retrouve en caleçon devant lui. Sans attendre, sa main glisse le long du tissu, caressant mon sexe à travers ce maigre rempart. Il écarte le bord de mon caleçon et je sens son doigt en contact avec ma bite. Je m’abandonne à lui, collée dos au mur, son corps bloquant le mien, son autre main passant sous mon pull et mon tee-shirt pour le remonter sur mon torse.

- Sors ma bite mec et branle- moi !

Je détache sa ceinture puis mes mains cherchent les boutons de son jean, tâtant sa braguette. Un à un, je commence à les enlever. Son jean ne tarde pas à tomber. Je caresse la bosse de son boxer. Je ne vois rien. Sofiane est toujours contre moi, ses doigts s’activant de plus en plus avec ma queue à mesure que je m’approche de sa bite. Au toucher, cette bosse m’a l’air énorme.

Je commence à baisser son boxer pour libérer sa queue. Ma main s’approche de son membre. Elle me semble énorme et j’ai du mal à en faire le tour. Je la branle, surpris par sa longueur.

Lui continue de me branler furieusement, me regardant dans les yeux, sa deuxième main sous mon menton me plaquant la tête contre la cloison.
Vas-si, crache ton sperme mec, ça fait du bien.

Mes mains se resserrent sur sa grosse bite. Je tente de contrôler ma respiration. Je transpire. Et là j’éjacule !

- T’as kiffé, coquin ?

Je reprends ma respiration.

- Oh oui, c’était vraiment bon !

Il approche ses doigts de ma bouche et me les fait lécher.
- Tiens, lèche, cochon. Regarde comme t’as bien éjaculé.

Il m’enfonce ses doigts dans la bouche. Je joue avec ma langue en le fixant dans les yeux.
Je remarque que ma main n’a toujours pas lâché sa bite.

- Suce-moi !

A ces mots, il me prend par la nuque et me fait mettre à genoux.
Je me retrouve nez à nez avec sa queue et j’en reste bouche bée ! Rien qu’au toucher, elle semblait impressionnante. Mais là, face à moi, se dresse une bite d’au moins 22 bons centimètres. Je la caresse un peu.

- Elle te plait ma queue?

Sans attendre ma réponse, il reprend tout de suite l'initiative. Il saisit sa queue circoncise et me tapote les joues et les lèvres.

Ses mains puissantes me maintiennent la tête contre le mur. Il pousse sa bite contre mes lèvres. J’ouvre la bouche. Aussi tôt son membre rentre à moitié à l’intérieur, faisant des allers et retours rapides. Il donne des coups de reins tandis que je caresse ses boules. Ma bouche est envahie par cette énorme bite. Il desserre son emprise.

Je peux m'occuper de lui comme je sais le faire : le sucer et le lécher. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa bite, léchant au passage ses couilles.

Il gémit, m'encourage.

- Ta bouche est trop bonne, Olivier.

Mes mains se promènent sur ses couilles et sur ses jambes. Je remonte aussi sur son torse. Il a toujours son pull mais je peux sentir ses abdos et son ventre sans un gramme de graisse.

Il me laisse faire.

- Allez, suce-moi. Suce ma belle queue.

Ses paroles m’excitent et me font sucer plus vite.

Il me reprend la tête et me fait accélérer le mouvement. Il râle plus fortement. Je sens qu'il va venir. Je veux me retirer pour le finir à la main mais il me maintien de force.

- Putain c'est bon, lâche pas, lâche pas, c’est trop bon.

Je sens son sperme jaillir dans ma bouche. Je veux reculer mais il est plus fort que moi. Il lâche tout ce qu'il a, ça n'arrête plus. Je n'avale pas et ça coule partout. Il ne me lâche toujours pas. A chaque aller-retour entre mes lèvres, du liquide chaud continue à sortir. Il gémit de plaisir. Je reste là, un moment à genoux sur le sol. Sofiane a sorti sa bite, reprend son souffle.

Il m’aide alors à me relever. Il attrape du papier toilette et m’essuie délicatement la bouche, le coin de mes lèvres, mon menton.

- Je suis vraiment désolé, je… j’étais… enfin avec l’excitation… je…

- C’est bon ça va, t’inquiète pas. (Je m’approche du lavabos pour finir de me nettoyer).

- C’n’est pas la première fois que tu…. Enfin sur le visage. (Me dit-Il très gêné).

Je lui souris en guise de réponse. Nous nous rhabillons et il m’embrasse une nouvelle fois. Un baiser sensuel, moins sauvage que les précédents.
Je réajuste mon pull en l’inspectant.
Ouf pas de tâche.

Il me regarde :

- Peut-être que l’on pourrait retenter l’expérience. Enfin pourquoi ne pas aller plus loin…

L’idée que son sexe vienne faire une intrusion dans ma bouche me rend fou d’avance.

- Pourquoi pas.

Je lui caresse la joue, y dépose un baiser et me dirige vers la sortie.
Je le laisse là, dans les toilettes, le temps pour lui de reprendre ses esprits, aussi troublé que moi par ce qu’il vient se passer.

Une cigarette et un café avant de reprendre une longue après-midi de cours.

J’ai eu l’opportunité de me retrouver à nouveau seul avec Sofiane, mais ceci est une autre histoire.