Samedi 11 juin 6 11 /06 /Juin 18:18

le-vendeur-de-djellaba.jpg

 

Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

La ville où habitaient mes parents était jumelée avec une ville d’Algérie. C’est de cette façon que j’ai pu effectuer un voyage là-bas au cours de mon adolescence. Nous partions en groupe de jeunes et nous étions accueillis dans des familles, soit seul, soit par deux, en fonction des possibilités d’hébergement.

Pour ma part, j’ai été reçu seul mais, ce n’est pas là que j’ai le plus approfondi mes connaissances du pays. Pour ce voyage, j'avais 17 ans et demi et c’était mon premier grand voyage sans les parents et la première fois que je prenais l’avion. Rien que cela m’aurait suffit mais j’ai découvert bien d’autres choses.

Le voyage durait deux semaines mais dès le deuxième jour, nous avions le droit de pouvoir nous balader seuls à condition de prévenir et d’indiquer où nous allions. Le but était de nous immerger le plus rapidement possible dans la culture du pays. Dès la première sortie, nous avions repéré une place sur laquelle il y avait des animations. Outre le souk qui s’étendait dans les ruelles adjacentes, il y avait aussi des groupes de musiques et d'autres attractions.

Le troisième jour en fin d’après-midi, nous nous sommes retrouvés sur la place alors qu’il y avait plus de monde que d’habitude. J’appris par la suite que c’était un jour de fête et qu’à l’occasion, tous les habitants descendaient dans la rue. Il y avait de la musique partout, des danseurs et même des conteurs. Absorbé par un spectacle de musique, je n’ai pas vu les autres du groupe partir et me suis retrouvé seul. Cela n’était pas pour me déplaire.

Je pouvais rentrer quand je le voulais car nous avions quartier libre. De plus, je me sentais à l’aise au milieu de cette joyeuse pagaille, bousculé de droite et de gauche par cette foule au dialecte inconnu. Alors que le groupe faisait une courte pause, je me suis mis à observer un peu autour de moi et, c’est d’ailleurs à cet instant que je me suis rendu compte que les autres étaient partis.

Mon regard croisa celui d’un jeune homme d’une vingtaine d’années qui me regardait en souriant. Il était vêtu d’une djellaba, comme la plupart des autres hommes, pas très grand, et mince. Sur le moment je ne prêtais guère attention à lui, me disant inconsciemment qu’il devait s’adresser à quelqu’un d’autre, d’autant que la musique recommençait mais, sur un rythme un peu plus soutenu. Cela eut pour effet de faire bouger l’assistance, voir d’en faire danser certains. Coincé au troisième rang, je gesticulais timidement, d’une part faute de place et d’autre part pour ne pas paraître ridicule.

C’est alors que je sentis une présence derrière moi. Me retournant, je vis le jeune homme qui m’avait souri. Il avait les bras croisés sur le ventre et semblait écouter lui aussi la musique. Les mouvements de foule faisaient que de temps à autre, je me retrouvais plaqué contre lui. Étant encore bien innocent, c’est à la limite que je voulais m’excuser à chaque fois que je me cognais à lui, mais assez rapidement, je compris que nos contacts n’étaient pas essentiellement dûs à moi, et assez ambigus.

En effet, je sentais souvent ses mains frôler le bas de mon dos et mes fesses. Au bout d’un moment, pour en avoir le cœur net, je décide de changer de place discrètement. Et là je me suis aperçu qu’il me suivait. Intrigué de savoir ce qu’il voulait, je laissais faire les choses. De nouveau dans mon dos, ses attouchements se firent de plus en plus précis. Mon cœur s’accélérait à chaque fois qu’il me touchait. Je sentais parfaitement le dos de ses mains se placer sur mes fesses, n’étant vêtu que d’un maillot et d’un short de plage, pratiquement aussi fin qu’un caleçon sans rien dessous.

Sans que je m’en sois rendu compte, la nuit était tombée et les seuls éclairages qu’il y avait étaient ceux de la scène. Cela devait l’encourager au même titre d’ailleurs que le fait que je ne me sauve pas en courant. Je fus surpris lorsqu’il commença à me caresser plus directement.

Une de ses mains s’était plaquée sur mes fesses et je sentais ses doigts essayer de se diriger vers mon anus. De peur que cela ne se voie, je ne bougeais pas et serrais les fesses. Du coup, je sentis encore plus les doigts inquisiteurs tenter de forcer le passage mais sa détermination était bien plus forte et le faible rempart qui me protégeait était bien faible.

Rouge de honte, je jetais des regards aux alentours pour essayer de savoir si quelqu’un s’était aperçu de la chose mais dans l’obscurité, je ne distinguais que vaguement les visages de mes voisins et je n’osais pas me retourner. De plus la foule était devenue tellement compacte qu’il m’était difficile de m’en dégager. Le mec devait s’en douter et en profitait.

Il remonta sa main jusqu’à l’élastique de mon short et glissa la main à l’intérieur. Le contact de sa peau sur la mienne me donna la chaire de poule. Il me caressa longuement, puis ressortit sa main pour la glisser sous mon maillot et venir me caresser le ventre, me plaquant contre lui.

C’est alors que je sentis son sexe se frotter contre mes fesses au rythme de la musique. À priori, il ne portait rien sous sa djellaba. J’avais la tête qui bourdonnait et je me demandais jusqu’où il allait aller. À mesure qu’il bougeait, ses pressions se faisaient de plus en plus fortes et je sentais sa bite grossir dans mon dos.

Ensuite, je l’entendis discuter avec un autre jeune. Sa main me lâcha et il se recula un peu. Les deux jeunes rigolaient. Je me suis dis que c’était terminé et qu’il allait me laisser mais c’est alors que je sentis qu’une main avait attrapé l’élastique de mon short et qu’on me le descendait. Je voulus empêcher la chose mais une autre main saisit la mienne et me la tira en arrière pour venir la positionner sur un sexe. Je compris que c’était le deuxième jeune qui m’avait attrapé pour pouvoir laisser le champs libre au premier. Celui-ci ne se gêna pas et descendit mon short pour découvrir et exhiber mes fesses et ma bite. Pendant ce temps, l'autre me relevait mon maillot.

L’autre main de celui qui me déculottait glissa sur mon ventre pour y appuyer, m’obligeant à me plier légèrement pour bien exhiber mon cul. Les deux jeunes rigolaient de plus en plus fort à chaque fois que je tentais de me dégager. Je devais faire de l’effet car le sexe que l’on me forçait à toucher était de plus en plus dur et me paraissait énorme. On m’écartait les globes et je sentais des doigts venir tâter ma rosette.

Je n’osais imaginer le spectacle que je donnais et ne savais pas si d’autres hommes en profitaient. J’étais coincé entre ces deux mecs et je me faisais tripoter le cul et la bite. Enfin, je devrais plutôt dire que je me faisais doigter le cul car l’un d’eux avait réussit à faire entrer un doigt et s’amusait à le faire coulisser en moi.

Puis la musique prit fin et on me remonta mon short. La foule commença à se disperser. Je sentis que l’on me tirait en arrière. Les deux jeunes m’entraînaient avec eux. L’un m’attrapa par la taille et l’autre me passa un bras autour du cou, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Ils m’emmenèrent dans un endroit isolé, toujours en discutant et rigolant entre eux. À chaque fois que j’essayais de dire quelque chose, cela les amusait et ils répondaient en arabe des trucs que je ne comprenais évidemment pas.

Arrivés dans une cour de ce qui ressemblait vaguement à un garage, l’un d’eux me retira mon maillot alors que l’autre descendit complètement mon short. Je me suis retrouvé nu comme un ver en un rien de temps, car même les sandalettes que je portais avaient valsé.

Ils se mirent alors à me caresser tout le corps, en insistant bien sur mes fesses, ma bite et me pinçaient les tétons. J’essayais de me débattre mais je n’avais aucune chance. À deux, ils me bloquaient facilement, me faisant passer de l’un à l’autre, s’amusant avec moi, me plaquant contre eux pour me faire sentir leur sexe dressé sous leur djellaba .

Puis l’un d’eux souleva sa djellaba alors que l’autre me maintenait et je vis apparaître une bite énorme. Il m’attrapa par la nuque et m’obligea à me plier, aidé de l’autre qui m’avait saisi par la taille, les fesses plaqués sur son pieu. Après quelques ruades bien ridicules de ma part, le gland se positionna sur mes lèvres et d’une poussée m’écarta les lèvres pour s’enfoncer dans ma bouche. Son propriétaire entama des va-et-vient, s’enfonçant de plus en plus profond. Celui qui se trouvait dans mon dos ne restait pas inactif. Il avait lui aussi remonté sa djellaba et je sentis sa bite glisser entre mes jambes. Il la faisait coulisser au rythme des assauts de celui que je suçais.

Pris de panique je lui demandais dans un couinement et la bouche pleine de ne pas faire ça, mais c’était peine perdue. Plusieurs tentatives furent nécessaires, à grand renfort de salive, avant que je sente le gland commencer à entrer dans mes fesses.

La douleur était atroce, d’autant que c’était pour moi la première fois que je me faisais enculer. Le mec donnait des grands coups de reins pour faire pénétrer son pieu dans mes entrailles. À mesure qu’il avançait, son débit de parole s’accentuait et son souffle se faisait de plus en plus rapide. Alors que je pensais que le plus dur était passé, il s’enfonça complètement d’un coup sec et je crus que j’allais m’évanouir. Je sentais ses couilles venir battre contre mon cul. Il resta un moment comme ça puis se mit à me pilonner les intestins, m’attrapant bien par la taille pour s’enfoncer au plus profond à chaque fois. L’autre alternait en me faisant sucer sa bite et ses couilles rasées. J’étais pris en sandwich et j’avais bien du mal à garder mon équilibre.

J’avais mal aux joues, le cul en feu et les yeux embués de larmes. Mon calvaire s’arrêta lorsque celui qui m’enculait se retira d’un coup et que je sentis son sperme aterrir sur mon dos. L’autre se retira alors de ma bouche et se vida sur mon visage. Ils laissèrent retomber leur djellaba et après avoir retrouvé leurs esprits, s’en allèrent tranquillement, me laissant seul, avec du sperme dégoulinant de partout. C’est à cet instant que je me suis rendu compte que je bandais comme un porc. Rien que d’y penser, j’ai joui sans me toucher.

Je n’avais en mémoire qu’un seul visage, celui du premier jeune. Je le revis le lendemain matin. En fait, il faisait partie d’une famille de ceux qui hébergeait un des moniteurs et parlait très bien le français. Il me fit comprendre que si je ne voulais pas qu’il raconte ce qui c’était passé, je devais lui obéir et faire ce qu’il allait me demander.

Salim, c’était son prénom, s’arrangeait toujours pour faire partie du groupe dans lequel j’étais lors des excursions ou des activités. Il me tenait à l’œil et je sentais sans arrêt son regard et sa pression sur moi. Bien sûr, étant donné que je ne voulais pas qu’il raconte aux autres, je me pliais à ses moindres désirs.

La première des choses qu’il m’ordonna dès le début fut de ne jamais rien porter en dessous de mon short. Je devais être prêt à tout moment comme il disait, et dès qu’il me voyait arriver le matin, il m’attirait dans un coin isolé pour le vérifier.

Il attrapait mon short à pleine main et le descendait d’un coup sur mes chevilles, puis me demandait de remonter mon maillot. Il me caressait ensuite comme il l’avait fait la première fois, jusqu’au moment où il me donnait une claque sur les fesses et me demandait brusquement de me rhabiller. Il s’est vite aperçu que cela ne me laissait pas indifférent car dès qu’il commençait à me toucher, je me mettais à bander.

Le cinquième jour, nous avons fait une excursion dans une grande ville. Nous sommes partis en car de bonne heure, le voyage devant durer deux bonnes heures. Bien évidemment, il est venu s’asseoir à côté de moi après m’avoir indiqué où m’installer. Il me fit asseoir à côté de la fenêtre, un peu à l’écart des autres. Comme il faisait très frais, j’avais enfilé un survêtement avec mon short en dessous. D’ailleurs, on nous distribua des couvertures pour nous couvrir, le chauffage ne fonctionnant pas. À peine le car avait-il démarré qu’il me fit remarquer qu’il n’était pas content de moi. Je n’avais pas écouté ce qu’il m’avait dit. Je ne devais jamais rien porter sous mon short ou sous mon pantalon. J’allais devoir être puni pour avoir désobéi.

Il installa la couverture sur nous et, d’un ordre bref me demanda de retirer mon pantalon et mon short. Devant mon hésitation, il attrappa lui même les vêtements qu’il fit descendre sur mes genoux. Caché par la couverture et aidé par la pénombre matinale, je dus les retirer complètement. Une fois terminé, il se tourna vers moi et dirigea une main entre mes jambes, en direction de mon cul. Je me suis retrouvé très vite avec un puis deux doigts en train de me fouiller le cul. Il me les a enfoncés d’un coup sec sans préparation et malgré l’aventure de l’autre soir, je les sentis passer et me mordais les lèvres pour ne pas crier. Gêné par l’exiguïté de l’espace dans lequel nous nous trouvions, il me positionna une jambe sur lui pour faciliter l’accès. Penché au dessus de moi il me travailla le cul pendant un bon moment, en me caressant la bite et les couilles.

Puis il m’attrapa soudainement par la nuque et attira ma tête vers son pubis. Dans le noir et sous la couverture je n’avais pas remarqué qu’il avait relevé sa djellaba. Il bandait déjà comme un turc et je reçus sa queue et pleine bouche très vite. Il me recouvrit de la couverture et me força à le sucer et effectuant des pressions sur ma tête. Dans le car il n’y avait aucun bruit, les autres dormant sûrement, bercés par le ronronnement du moteur. À un moment, il s’arrêta et me bloqua la tête en ayant sa queue au fond de ma gorge. Je le sentis se tendre et sa queue gonfler encore plus. Il se vida et je fus obligé d’avaler sa semence. Il me redressa alors et me repoussa vers la vitre. Je me rhabillais mais en ne mettant que mon survêtement, car il s’était emparé de mon short. La fin du trajet se fit calmement et je me suis d’ailleurs endormi comme les autres, mais avec le goût du sperme en bouche et la queue bien tendue.

Arrivé à destination, il faisait déjà bien jour et le soleil était assez haut. La chaleur commençait à se faire sentir et je regrettais de ne pas pouvoir me mettre en short mais Salim l'avait gardé. La visite du matin se déroula sans encombre : musée, atelier de confection et de tissage, usine de dattes. Salim avait rejoint le groupe des adultes et moi celui des autres ados. Le midi nous avons effectué un pique-nique dans une palmeraie, à l’abri des rayons du soleil qui tapait de plus en plus fort.

Le programme de l’après-midi était quartier libre en ville avec retour vers les 17 heures. Nous avions 4 heures de libre devant nous. Le groupe s’est vite éparpillé et alors que je m’apprêtais à partir, j’entendis Salim qui m’appelait. Il allait m’accompagner en ville. Il marchait rapidement et savait où il allait. Obéissant, je le suivais. Après avoir parcouru quelques ruelles dans la vieille ville, il s’arrêta devant une échoppe. La spécialité de celle-ci était apparemment les djellabas. Je pensais qu’il voulait s’en acheter une mais après avoir discuté avec l’un des vendeurs, il me fit entrer dans le magasin. En fait, il voulait m’en acheter une et je devais l’essayer. Content, je le suivis docilement.

Il parcourut d’un œil connaisseur les différents modèles exposés. L'employé d’une vingtaine d’année que Salim devait connaître, nous accompagna. Il décrocha quelques modèles et nous les tendis. L’intérieur du magasin était frais et à mesure que nous reculions de l’entrée la lumière était de moins en moins présente. Le seul éclairage qu’il y avait était celui des rayons du soleil. Arrivé au fond de la boutique, la pénombre régnait. C'est là que Salim me tendit une djellaba pour me demander de l’essayer. Sans réfléchir, j’attrapais le vêtement et commençais à l’enfiler. Salim m’en empêcha bien vite. Je ne devais rien porter en dessous. D’un geste brusque, il tira sur mon maillot et me le retira. Le jeune employé nous regardait avec un sourire sur les lèvres.

Une fois torse nu, Salim me demanda de retirer aussi mon pantalon. Comme je ne portais rien en dessous, j’ai hésité. Je n’aurais pas dû car cela énerva Salim, qui m’attrapa par le bras et m’envoya une claque sur les fesses. Il fit descendre lui même mon survêtement jusqu’à mes chevilles. Il me tourna de sorte à montrer mon cul au vendeur et me plia en deux pour finir de me déshabiller. J’étais rouge de honte de me montrer ainsi devant un inconnu, ne sachant pas encore ce qui allait arriver.

Une fois nu, je me redressai et tentai de camoufler mon sexe avec mes mains. Je croisais alors le regard de l’employé qui me détaillait de la tête aux pieds comme une marchandise, en discutant avec Salim. Bien évidemment, je dus essayer plusieurs djellabas avant de trouver celle qui plaisait à Salim, et entre chaque essayage, je devais attendre nu, exposé aux regards du jeune vendeur.

Le choix de Salim se porta finalement sur un modèle simple. La toile était très légère et j’avais l’impression de ne rien avoir sur le dos tellement le tissu semblait fin. Content de son choix Salim parla avec le vendeur. Il devait certainement discuter le prix. Après quelques conciliabules, il sortit quelques billets et en me regardant, il me dit que je devais participer aussi à l’achat. N’ayant aucun argent sur moi, je ne voyais vraiment pas comment j’allais pouvoir faire.

Je compris très vite. Le vendeur m’entraîna dans l’arrière boutique, un espace assez restreint dans lequel étaient entreposés des rouleaux de toile et des cartons de marchandise. Sans préambule, il me retira ma djellaba et me plaqua face contre une pile de cartons. Il m’écarta les jambes et cracha dans sa main et sur mon cul. Sans un mot, il plaça son gland à l’entrée de mon cul et d’un coup de rein me pénétra. J’avais encore le cul en feu suite à ma correction de ce matin et la douleur se raviva.

Serrant les dents, je l’ai laissé me pilonner. Il faisait ça rapidement, comme un débutant, à la sauvage. Il éjacula en moi au bout de cinq minutes.  Je sentais son sperme glisser entre mes cuisses. Sans un mot, il me remis ma djellaba et me raccompagna dans le magasin où Salim était en train de discuter avec le patron. Je n’osais même pas lever les yeux et regarder qui que se soit. Tout le monde devait être au courant que je venais de me faire enculer par le jeune employé qui rigolait en me regardant.

Je fus content de me retrouver dehors. Le soleil m’éblouit quelques instants et du coup, je ne fis pas attention au fait que je portais la djellaba. Celle-ci était de couleurs beige et vraiment très légère. En fait d’être légère, et je pense que c’est pour cela que Salim l’avait choisie, elle était aussi transparente. Je m’en suis rendu compte en passant devant la vitrine d’un barbier. En me regardant devant une glace, je m'aperçu que l’on pouvait sans aucun problème distinguer que j’étais complètement nu sous le vêtement.

Cela me fit un drôle d’effet. Salim était en train de m’exposer au regard de toute la population, et les hommes que l’on croisait ne s’en privaient pas. Je sentais leur regards envieux se poser sur mes fesses. Je me serais balader nu,  je crois que le résultat aurait été pareil. Salim se tenait à côté de moi et se délectait de la situation. Il m'enmenait évidemment là où il y avait le plus de monde, s’arrêtant parfois, faisant semblant de regarder sur un étal ou pour discuter avec un autochtone.

À chaque fois que l’on s’arrêtait, je remarquais les gestes des mains qui venaient se placer sur ma bite, voir certaines venir effleurer mon cul en passant. Il faut dire que ma queue était tendue à craquer et que cela se voyait aussi. J’étais excité au plus haut point. Fort heureusement, nous ne croisâmes aucune personne du groupe et au moment de retourner au car, Salim me rendit mon pantalon de survêtement pour que je puisse le remettre.

Le retour se fit normalement. J’étais vanné et je m’endormis à peine installé, d’autant que je savais que la journée n’était pas finie. En effet, une soirée était organisée à la maison de la jeunesse avec l’ensemble du groupe et des familles qui nous recevaient.

La soirée s’éternisa jusqu’à 22h et puis les convives se séparèrent un à un. Pour ceux qui le voulaient, nous avions quartier libre jusqu’à minuit et pouvions profiter de la douceur de la soirée pour aller nous promener ou faire ce que bon nous semblait. Salim que je n’avais pratiquement pas vu de la soirée réapparut à ce moment-là comme par enchantement.

Il se rapprocha de moi et arrivé à ma hauteur, il me dit qu’il allait m’emmener voir des amis à lui. Le trajet ne fut pas long. Arrivés devant une porte cochère, il me fit comprendre que je ne devais bien entendu porter que ma djellaba. Soumis, je retirai alors mon pantalon que je portais en dessous et lui tendis pour qu’il le mette dans un sac. Une fois prêt, il frappa et un homme d’une vingtaine d’années vint nous ouvrir.

À peine avais-je passé la porte que, sans présentation : cela avait dû être fait bien avant, le mec me mit la main au cul et commença à me malaxer les fesses, tout le long du couloir que nous traversions. Nous arrivâmes dans une pièce faiblement éclairée, d’où s’échappait en sourdine de la musique. Deux autres jeunes étaient vautrés dans des canapés et fumaient tranquillement. Une odeur bizarre flottait dans l’air.

Sans préambule, Salim me plaça au milieu du salon et retira ma djellaba. Les autres me fixaient et applaudissaient. Une fois nu, il me fit tourner dans tous les sens pour bien me montrer comme une vulgaire marchandise. Il me demanda ensuite de me pencher en avant et de bien  écarter mes fesses pour que tout le monde puisse voir ma rondelle. Les jeunes échangeaient entre eux sur ce qu’ils voyaient dans mon dos. Je restais dans cette position en attendant la suite. Puis il me fit passer de mains en mains et chacun me pelota à sa guise, faisant des commentaires, me faisant m’asseoir sur eux. Je sentais leur grosse bite gonfler sous leur vêtement. Bien évidemment, la partie qui les intéressaient le plus était mon cul.

Mais quelque chose les gênaient, c’était les poils que j’avais. Alors celui qui semblait être le propriétaire des lieux se leva et alla chercher de la mousse à raser, un rasoir, une petite cuvette avec de l'eau et un gant de toilette. En moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, je me suis retrouvé allongé sur une table. Un des jeunes m'étalait la mousse, le second me passait le rasoir sur mes endroits les plus intimes, me dépouillant de toute virilité et le trosième me rinçait avec le gant. À mon âge, j’étais assez fier des poils pubiens que j’avais, mais pour le coup, je devrais attendre qu’ils repoussent. J’ai retrouvé une peau de bébé et cela sembla leur plaire.

Il me firent reprendre la pose pour bien me regarder jusqu’à ce que l’un d’eux se lève et vienne se positionner devant moi. Il souleva sa djellaba et attrapa sa queue tendue d’une main pour me la présenter. J’ouvris la bouche et avalai le morceau de chair. Il laissa retomber son vêtement et je me retrouvais à le sucer, toujours le cul bien offert, d’autant qu’il s’était penché au-dessus de moi et qu’il m’écartait les globes. Son sexe durcit rapidement et me remplit la bouche à fond. Bien enfoncé en moi, il ne bougeait pratiquement pas, trop occupé par mon cul sur lequel il assenait de grosses claques. À mesure que les coups pleuvaient, je sentais mon cul chauffer. J’avais du mal à respirer, avec cette bite enfoncée au fond de ma gorge.

Puis les coups s’arrêtèrent et je sentis que l’on présentait un objet à l’entrée de mon cul. Je ne voyais pas ce que c’était mais le contact était froid. En fait un autre mec était en train de m’enculer avec un concombre. Déjà bien ouvert, mon cul aspira le légume assez facilement à ma grande stupeur. Ils s’amusèrent à me préparer le cul avec pendant un bon moment et d’autres objets suivirent. Ils se relayaient chacun leur tour pour me travailler la rondelle, alors que j’étais toujours maintenu par le premier qui, imprimant des mouvements du bassin faisait entrer et sortir sa queue de ma bouche. Il éjacula une première fois et m’en colla partout sur la gueule.

Lorsqu’il se dégagea, je crus qu’il allait être remplacé par un autre mais, ils me firent mettre à quatre pattes devant eux et me laissant en l’état, firent une pause. J’avais toujours quelques choses dans le cul et le sperme me dégoulinait le long des joues. À mesure que la soirée avançait, ils se sont tous retrouvés nus avec la bite à la main. Ils se présentaient à tour de rôle pour que j’astique leur mandrin. Ils avaient tous des bites énormes, tendues à craquer, le gland  décalotté et bien reluisant.

Quand je les ai eu tous sucés, ils me firent m’allonger sur le dos. L’un deux se positionna au dessus de ma tête et après m’avoir enfourné sa bite dans la bouche, attrapa mes jambes pour les remonter vers lui. Ce fut ensuite une série d’enculade. Un par un, ils me défoncèrent le cul sauvagement alors que je devais toujours en avoir un en bouche, sûrement pour étouffer les cris de douleurs que je poussais. Cela se termina évidemment dans un bain de sperme. J’en ai reçu partout, même le mien est venu se répandre sur mon torse sans que je me touche.

J’étais épuisé, et le corps endolori de partout. Ce n’était que le début et je n’étais pas au bout de mes peines.

 

 

 

 

 

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