Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

Il s’appelait Damien, il avait environ 20 ans et cela faisait un peu plus d’un mois qu’il venait d’emménager sur le même palier que moi. Mon appartement se trouvait près de l’ascenseur, le sien était situé à l’autre bout du long couloir. On se croisait assez régulièrement et on avait un peu sympathisé.

Comme c’était le cas pour de nombreuses personnes qui venaient de s’installer dans un nouveau logement. Il lui manquait parfois des petites choses et,  il faisait de temps en temps appel à son voisinage pour le dépanner. Bien entendu, je répondais toujours présent. Oubli d’achat de sucre pour son café, du sel pour ses pâtes… Et j’en passe… Il prenait un malin plaisir à ne pas prendre au sérieux sa liste de courses. A moins qu’il ne fut réellement tête en l’air. Il avait apparemment remarqué que j’étais très conciliant avec ses oublis et que je le dépannais toujours avec le sourire, il en profitait un peu probablement.

Malgré nos 12 ans d’écart, j’étais particulièrement attiré par ce jeune homme, beau comme un dieu. Sportif, il faisait tous les jours son jogging. Lorsqu’il allait courir, vêtu de son short et son T-shirt assez moulant, je devinais son corps fabuleusement dessiné. Ses cheveux blonds et ses yeux bleu clair lui donnaient un visage d’ange qui ne faisait qu’accentuer sa beauté. Et ce sourire… Mon dieu… Des dents si blanches… Et ces petites fossettes. Ses yeux pétillaient et son visage s’illuminait dès qu’il se mettait à sourire. Je ne pense pas qu’il se doutait de mon homosexualité et, encore moins du fait que je me masturbais souvent le soir en pensant à lui et à son corps divin. Je savais qu’il n’avait pas de petite amie mais, il n’avait pas non plus de petit copain. Était-il comme les anges à qui il ressemblait tant ? Asexué ? Je ne le pensais pas non plus. Mais bon, il fallait bien que je me résigne de toute façon. Trop beau et trop jeune pour moi.

Damien avait beau avoir un physique de rêve, il n’en demeurait pas moins qu’il avait ses faiblesses, l’une d’entre elles était l’informatique. Le jeune homme venait de s’acheter un ordinateur et il ne savait pas l’installer correctement. Un jour où je le croisais dans le couloir, il me demanda si je m’y connaissais en informatique et si c’était le cas, si je pouvais lui venir en aide pour l’installation. Je lui répondis aussitôt que ce serait avec grand plaisir et qu’il n’avait qu’à venir sonner à ma porte lorsqu’il souhaiterait que je passe le dépanner. Il me demanda si j’étais disponible en fin de journée après le travail. Ce à quoi je lui répondis par l’affirmative. Il me dit alors qu’il passerait me chercher après son jogging quotidien.

La journée me sembla interminable et j’attendais avec impatience la venue de Damien. J’allais, bien entendu, essayer de lui en mettre plein la vue. C’était la seule façon que j’avais de l’épater et de le séduire un peu. Forcément, je ne pus m’empêcher d’y penser toute la journée. Je m’étais mis à imaginer trente-six mille scénarios érotiques plus qu’improbables… Mais bon, comme on dit, l’espoir fait vivre !

Il était presque 18h00 lorsqu’on sonna à ma porte. Bien sûr, je me précipitais pour ouvrir à mon voisin qui hantait mes rêves les plus fous. Je découvris un Damien tout en sueur qui revenait de son jogging. Son visage était assez rouge et des gouttes de sueur coulaient le long de son visage. Son T-shirt semblait lui aussi avoir souffert de la sueur. Il respirait très rapidement et semblait à bout de souffle. J’avais à peine ouvert la porte qu’il me fit un de ces sourires complices qui ne pouvait que me faire craquer. Il me dit simplement :
- Alors, tu es prêt pour venir à mon secours ?
- Bien entendu ! Tu verras, l’informatique, ce n’est pas si compliqué que cela. En quelques clics de souris, tout fonctionnera. Je te montrerai quelques petits trucs sympas.

Nous sommes rentrés chez lui et, il me précisa que son ordinateur se trouvait dans sa chambre. Il retira ses baskets et je fis la même chose puis, il me conduit directement dans sa chambre où se trouvait son ordinateur. Il alluma la machine et m’expliqua rapidement ce qui ne fonctionnait pas. Ce n’était pas grand-chose et le problème serait réglé assez rapidement. Je me suis alors installé devant le PC et je me suis mis à explorer les fichiers. Damien me demanda de l’excuser mais il avait besoin de prendre une douche. Il me dit qu’il y resterait un petit moment pour me laisser le temps de dompter sa machine…

Si seulement j’étais sous la douche avec lui, ce serait autre chose que j’essaierais de dompter en fait… Mais bon, mon rôle était d’être dépanneur informatique et je m’attelais à la tâche pendant que mon superbe athlète se rendait dans sa salle de bain. Quelques instants plus tard, l’eau se mit à couler pendant que mes doigts glissaient sur le clavier de son PC. Bien que mon attention fût rivée sur l’écran de l’ordinateur, je ne pouvais m’empêcher de l’imaginer complètement nu sous sa douche. Assis devant son ordinateur, je pouvais apercevoir la porte de sa salle de bain qui était restée ouverte ! Cela déclencha une érection que je ne pus contrôler et qui resta présente pendant toutes mes manipulations informatiques.

Damien resta un bon moment sous la douche. Espérait-il que je vienne le rejoindre ? S’était-il masturbé ? Avait-il joui ? Je m’en voulais de penser à ce genre de choses mais, quand l’eau cessa de couler, mon érection était toujours là et commençait même à devenir un peu douloureuse.

Damien revint dans la chambre et là, ce fut la surprise. Il était presque nu et j’avais l’impression de vivre un véritable rêve éveillé. Il s’était essuyé assez rapidement et des gouttes lui coulaient encore le long de la nuque. Ses épaules étaient encore mouillées. Il ne portait qu’une serviette blanche qu’il avait rapidement nouée autour de sa taille et qui ne descendait que jusqu’à mi-cuisse. Une véritable vision des cieux. J’étais convaincu qu’il souhaitait ma mort et qu’il faisait tout pour déclencher un arrêt cardiaque. Dans mon caleçon, mon sexe était prêt à exploser. J’essayais de ne pas montrer à quel point j’étais troublé et je profitais du spectacle sans trop me trahir. Il avait vraiment un corps de rêve. Des pectoraux et des abdominaux très développés. Des cuisses puissantes. Des biceps bien ronds et gonflés. J’avais envie de lui sauter dessus et lui faire l’amour sans attendre une seconde de plus. Il était clair que ses activités sportives ne devaient pas se limiter au jogging. Il devait faire aussi pas mal de musculation.

Il me demanda si tout se passait bien avec le PC et je lui dis que le plus gros était réglé et que j’avais apporté quelques petites touches personnelles qui lui faciliterait la vie et qui rendrait l’outil plus agréable. Il s’approcha de moi pour regarder l’écran. Il n’était plus qu’à quelques centimètres. C’était un véritable supplice. Comme j’étais assis et qu’il était debout près de moi, il me suffisait de tourner un peu la tête pour avoir une vue directe au niveau de sa serviette. Je remarquais alors la bosse qui se trouvait au niveau de son entrejambe et il devint clair qu’il avait un début d’érection.

Je l’invitais à cliquer sur quelques icônes. Il n’y avait rien de tel que le maniement seul de l’outil informatique pour s’y habituer. Certes, ce serait plus simple et plus rapide de tout lui montrer moi-même, mais je trouvais plus pertinent qu’il comprenne lui-même les manipulations à effectuer. Il se pencha alors vers le clavier et la souris. Je ne bougeais que très peu afin de provoquer le contact de son corps avec le mien et, à ma grande surprise, cela ne sembla guère le déranger. En fait, il me semblait qu’il forçait lui-même le contact mais, je devais sans doute  rêver. Ce serait trop beau ! Je bougeais volontairement ma main gauche pour qu’elle vienne cogner son torse. Je m’excusais aussitôt, tout en ajoutant :
- Wow… Quels pecs ! Tu dois passer des heures en salle de muscu.
Damien se redressa, le sourire aux lèvres. Je compris aussitôt qu’il devait apprécier qu’on lui fasse des compliments sur sa musculature. Il me confirma qu’il passait en effet de longues séances en salle de musculation. Puis il ajouta :
- Tiens, regarde comment ils sont durs. Touche-les !
Je ne me fis pas prier et je posais aussitôt ma main droite sur son pec droit. C’était un véritable régal. A la fois la douceur de sa peau imberbe et lisse et la dureté de son muscle qu’il bandait volontairement. Je sentais le muscle bouger sous mes doigts. Je fis glisser mes doigts sur son pec droit, comme si je le caressais tout en dessinant le contour. Puis je déplaçais ma main à gauche pour explorer son autre muscle pectoral. J’étais aux anges mais, c’est alors qu’il me surprit en ajoutant :
- Et encore, tu n’as rien vu. Tâte mes abdos, c’est du béton !
A ces paroles, mon érection sembla atteindre un seuil de non-retour. Je levais les yeux vers Damien et lui rendis un grand sourire. Je le regardais droit dans les yeux tout en faisant descendre ma main droite pour la poser délicatement sur son ventre au niveau de ses muscles abdominaux. En effet, je pouvais sentir sous mes doigts les fameuses « tablettes de chocolat » dures comme la brique. Je lui caressais alors le ventre, doucement, appréciant chaque centimètre de sa peau lisse. Un fin duvet de poils blonds descendait de son nombril pour aller se réfugier sous la serviette. Instinctivement, je me mis à laisser glisser mes doigts le long de son duvet jusque la limite de la serviette. Je baissais le regard pour apprécier son ventre musclé et je remarquais au passage deux choses importantes. Tout d’abord, la bosse qui dissimulait son pénis avait doublé de volume et, il était évident qu’il était maintenant en parfaite érection. Apparemment, il n’était pas resté insensible à mes caresses. Ensuite, je remarquais que le nœud qu’il avait fait à sa serviette n’était pas si serré que cela et il ne faudrait pas grand-chose pour que je puisse lui enlever, par mégarde.

J’ôtais alors mes mains, mais bien décidé à passer à l’étape suivante. Je le félicitais pour son superbe corps, me lamentant sur mes quelques kilos en trop et mes rondeurs disgracieuses. Puis, je passais du coq à l’âne en me retournant soudainement vers le PC et, en lui expliquant une des modifications que j’avais apportées. Comme précédemment, je l’invitais à vérifier par lui-même, mais cette fois ci, je bougeais de façon stratégique pour lui laisser un peu de place afin qu’il vienne se pencher complètement sur moi. Je pouvais maintenant sentir son sexe bien dur appuyé sur mon bras. Je posai donc  ma main gauche discrètement, pour quelle vienne coincer un bout de sa serviette entre ma paume et ma cuisse gauche. Et l’effet attendu fut un véritable succès. Lorsqu’il se redressa, il tira un peu sur sa serviette. Le nœud se défit immédiatement et la serviette tomba sur le sol libérant, à quelques centimètres de mon visage, sa verge fièrement dressée. Son sexe était la continuité parfaite du reste de son corps. Un véritable régal pour mes yeux. Il devait mesurer environ 18 centimètres et je mourais d’envie de le goûter. Je relevais le regard vers le visage de Damien. Ses joues étaient un peu rouges mais il assumait parfaitement sa nudité. Je lui dis alors en souriant :
-  Et bien dis donc, là aussi ça semble être dur et ferme. Tu as aussi dû bien travailler cette partie-là de ton anatomie !
Il ne se démonta pas le moins du monde et ajouta simplement :
- Dur comme la brique ! Vas-y ! Vérifie par toi-même.
Il n’eut pas à me le dire deux fois. Dans la seconde qui suivait je tenais fermement son pénis dans ma main droite. J’effectuais une légère pression et je sentais son sexe réagir sous mes doigts.

Damien émit un léger soupir et trembla un peu. Je compris alors qu’il était en pleine excitation. Je me mis à faire glisser mes doigts vers la base de son pénis pour tirer la peau le plus possible en arrière, puis doucement, je faisais glisser mes doigts vers la tête de son sexe pour recalotter complètement son prépuce. Damien ferma les yeux et prit une profonde inspiration. Je le décalottais de nouveau puis le recalottais. Damien posa sa main droite sur ma tête et commença à me caresser les cheveux. A cet instant, je comprenais que mon rêve allait devenir réalité et que ce soir, Damien serait mon amant. J’effectuais plusieurs mouvements de va et vient sur sa verge puis je me décidais de fondre sur ma proie. Je me penchais alors en avant et je laissais son sexe pénétrer ma bouche. Je me mis alors à le savourer, jouant avec ma langue sur son gland. Damien se mit à gémir. Ma main gauche se mit à caresser ses testicules, tout durs et remontés dans leur scrotum. Puis j’enfonçais sa verge un peu plus profondément dans ma bouche. Je savourais son goût. Damien me caressait les cheveux avec passion. Il tressaillit plusieurs fois puis se retira soudainement.
- Vas doucement, je suis à deux doigts d’éjaculer !
Puis, il ajouta, en rougissant un peu :
- Excuse-moi, mais c’est ma première fois.

Cette nouvelle me surprit. Comment un petit gars beau comme un dieu pouvait-il n’avoir encore eu aucune expérience sexuelle ? Comment un garçon aussi bien fait pouvait-il être encore vierge et n’avoir subi aucune convoitise d’autres garçons ? En plus, il m’avait semblé si sûr de lui et si direct que je n’aurais pu imaginer qu’il s’agissait de sa première fois. Ce n’est que bien plus tard que Damien m’expliqua combien cela avait été difficile pour lui d’assumer son homosexualité et qu’il n’avait jamais osé franchir le pas avec quelqu’un, simplement par peur d’admettre qui il était. J’avais réussi, d’une certaine façon à le rassurer et à le mettre en confiance pour sa première fois. Et j’allais tout faire pour que cette première fois soit un fabuleux souvenir pour lui. Je me suis alors levé de ma chaise. Je lui ai posé ma main droite sur sa joue gauche que j’ai caressée tendrement tout en le regardant droit dans les yeux. Puis je me suis avancé vers lui et j’ai posé mes lèvres contre les siennes. Dans un premier temps, sans chercher plus. Puis j’ai recommencé en entrouvrant légèrement ma bouche. Je goûtais ses lèvres du bout des miennes. Puis je laissais le bout de ma langue lui caresser les lèvres. Celle du bas en premier puis celle du haut. Puis ma langue s’aventura un peu plus profondément. J’enlaçais le corps musclé de mon jeune voisin. Il me serrait lui aussi dans ses bras et il commença à me rendre le baiser que je lui offrais. Je sentais son sexe dur contre mon ventre.

Je n’avais qu’une hâte : libérer mon propre sexe qui ne demandait plus qu’à s’exprimer. Mes mains découvraient chaque centimètre de son corps alors qu’à son tour, sa langue s’offrait un voyage dans une bouche inconnue.
Au bout d’un moment, je me suis écarté. Je l’ai pris par la main et je l’ai emmené près de son lit. Là, je lui ai simplement dit :
- Déshabille-moi.
Il commença simplement par me retirer les chaussettes. Ses joues étaient désormais marquées de rouge. C’était amusant de voir cette montagne de muscles montrer autant de douceur et de fragilité. Il se releva puis ôta mon t-shirt. Contrairement à lui, je n’avais ni les muscles pectoraux ni les abdominaux bien dessinés. Ses mains commencèrent alors à explorer mon torse avec plaisir.
- Tu aimes ?
- J’adore !
Au bout d’un moment, je lui pris la main droite et la guidais vers mon sexe qu’il commença à caresser au travers du tissu de mon pantalon.
- Libère-moi...
Il déboucla ma ceinture. Ses gestes étaient un peu hésitants, voire maladroits mais il ne s’en sortait pas si mal que cela. Il dégrafa ensuite mon pantalon qui se retrouva rapidement près de mes autres vêtements. Damien caressa de nouveau ma verge au travers de mon caleçon. Je ne pus m’empêcher de saisir son sexe et de commencer à le masturber. Au bout de quelques secondes, il ne put attendre plus longtemps et me retira mon dernier vêtement, libérant enfin ma verge qui se dressa triomphalement devant lui. Il ne la quitta pas des yeux et se mit à la caresser puis, à son tour, à recouvrir puis découvrir mon prépuce. Il soupesa aussi mes testicules mais se concentra principalement sur mon pénis. J’ai alors entrepris de stopper son exploration en le serrant contre moi. Nos deux corps enfin nus, l’un contre l’autre. Nos sexes se rencontrant enfin. Je l’ai alors embrassé goulûment et il me répondit tout aussi goulûment. Puis je l’ai tiré en arrière pour nous laisser tomber sur le lit. Cela l’amusa beaucoup puis je me remis à l’embrasser goulûment. Alors que nos langues menaient un combat sans merci, nos doigts se livraient à une expertise sérieuse et minutieuse du corps de l’autre. Je me suis ensuite un peu écarté et je l’ai guidé vers mon pénis toujours aussi dur et prêt à exploser.
- Vas-y ! Il n’est rien que pour toi. Fais-toi plaisir…

Après quelques hésitations, il a alors commencé à lécher ma verge et à faire courir sa langue sur mon gland. Puis il le fit entrer dans sa bouche en enfonça le plus profondément possible mon sexe turgescent dans son appendice buccal. C’était un véritable délice. Sa bouche allait et venait le long de ma verge. Il suça mes testicules avec passion. Il savourait pleinement ce nouveau territoire qu’il venait de découvrir. Je le fis s’arrêter quelques instants, afin de me contenir et de ne pas éjaculer, mais aussi pour changer de position et lui faire découvrir les joies de la double fellation. Son premier 69. Il s’acharnait sur mon sexe pendant que je lui dévorais le sien. Je sentais qu’il était à deux doigts de venir et moi aussi. Je ne souhaitais pas que cela s’arrête maintenant. Je me suis alors retiré de sa bouche et j’ai cessé de sucer sa verge plus dure que jamais.

Je pris Damien dans mes bras et on s’est embrassé. Il m’a remercié pour ce moment de bonheur. Je l’ai remercié aussi d’avoir partagé ce moment agréable avec moi. Nous avons passé ensuite un bon moment dans les bras l’un de l’autre à simplement profiter du moment présent puis nous sommes allés nous doucher ensemble. Cette nuit-là, nous avons dormi ensemble et nous avons refait l’amour… Mais sans pénétration, à défaut de préservatifs.

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