Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

Tous les vendredis, de 15h à 17h, nous avons EPS. Avant, j'avais plutôt horreur du sport, mais depuis cette année, je prenais de plus en plus de plaisir à me rendre au gymnase. Il faut dire que depuis mon entrée en première, j'avais Nicolas comme pote.

Ce vendredi, il fallait se mettre deux par deux pour une séance de badminton. Quel ne fut pas mon plaisir d'entendre Nicolas, à la sortie du vestiaire où nous venions d'enfiler nos baskets, me murmurer : Si tu veux, tu n'as qu'à te mettre avec moi.

- Pourquoi pas lui ai-je répondu en essayant de dissimuler mon plaisir.

Moi, je n'avais qu'un vieux survêtement pourri. Pour le peu de sport que je pratique, je n'ai jamais vu l'intérêt de foutre 80 euros dans un Nike ou un Adidas). Nicolas, lui, avait ce jour là un short blanc ample, un tee-shirt noir, une longue paire de chaussettes blanches et des baskets (un peu pourries).

Nicolas était un mec super sympa. Il avait 17 ans, comme moi. Pas très grand, encore imberbe, comme moi, les cheveux bruns, mi-longs, il était assez apprécié de toute la classe.

Ces deux heures de gym furent un régal. Il faut reconnaître que le badminton est le seul sport où j'assure pas mal. Lui était plutôt fort dans toutes les catégories. Nous échangions, tous les 2, nos balles. J'en profitais pour l'admirer : son visage en sueur, son tee-shirt mouillé dans le dos et au niveau des dessous de bras, ses jambes agiles.

Parfois, nous décidions de faire une pause. C'était l'occasion de s'écrouler, sur nos terrains respectifs, et de s'asseoir en regardant les autres. C'est là que je portais mon regard, quand le sien était loin, en direction de son short, par dessous lequel j'apercevais son slip noir. Comment dissimuler alors l'érection qui venait de naître ? C'est là tout l'inconvénient du survêtement. J'avais beau passer discrètement la main dans mon caleçon pour maîtriser ma bite, rien n'y fit et, il fallait bien reprendre le match.

17 heures,  coup de sifflet final de Monsieur Bertrand, le prof de sport. Il fallait regagner les vestiaires. Nico et moi nous serrions la main, elles étaient toutes moites, et décidions d'aller pisser. Dans les toilettes, j'essayais en vain de regarder sa bite mais, je n'osais pas, de peur qu'il s'aperçoive de quelque chose, étant très timide. Et là, la honte de ma vie : j'étais tellement excité par la présence de sa queue aussi près de moi, mon coeur s'est mit à battre très fort et, impossible de pisser même une goutte. Il a fait comme s'il ne s'en était pas aperçu et moi, je me suis senti rougir tout d'un coup.

De retour dans les vestiaires, les autres étaient déjà partis. Lorsqu'on a sport le vendredi, les copains rentrent chez eux directement pour prendre leur douche. À ce moment-là, Nico me dit :  je vais prendre ma douche, on n'a plus d'eau chaude à la maison cette semaine. Tu m'accompagnes ?

- Pas de problème !

Monsieur Bertrand traverse le couloir et jette un oeil à la porte et nous dit : je ferme la porte d'entrée, vous passerez par la porte du local à ballons. Salut les jeunes, à la prochaine !

Nous nous sommes assis pour délasser nos chaussures. Nico était assis sur le banc à côté de moi. J'étais soudain devenu très à l'aise. Nous étions les seuls dans ce grand gymnase sombre et froid. J'étais là, bien au chaud dans le vestiaire, la seule pièce qui restait éclairée, avec celui qui allait devenir mon meilleur ami. Je me sentais comme dans une voiture, la nuit, alors que l'orage éclate au dehors et que l'on se laisse bercer sur la banquette arrière.

Nicolas, se redressa et me dit : je t'ai vu tout à l'heure pendant le match. Tu avais la gaule, mon pote.

- Je lui passa ma main au niveau de son entrejambe, à travers son short et lui fit remarquer en souriant : tu as la gaule aussi !

- Nico : Tu as déjà fait ça avec un mec ?

- Moi : Non, mais...

- Nico : Tu veux qu'on essaye ?

J'avalais ma salive difficilement et j'ai fait oui de la tête.

Je me suis alors jeté à ses pieds. À genoux, je lui ai sauvagement arraché ses chaussettes blanches Je lui léchais la plante des pieds en remontant des talons aux orteils et, passant du pied droit au pied gauche. Nous bandions tous les deux comme des malades depuis un moment. Nico cria : tu me chatouilles, arrête !

Je me redressais alors pour l'embrasser. C'était la première fois que je roulais une pelle à un garçon, c'était trop bon. Nico était toujours assis sur le banc,  j’étais debout, en face de lui. Il en profita pour me caresser la tob à travers mon survêtement. C'est alors que j'ôtais mon tee-shirt avant de lui enlever le sien. Il me lécha les dessous de bras qui transpiraient un max, et je lui caressais la tête. Il baissa mon pantalon et mon caleçon et se mit à me branler. J'étais heureux, j'avais envie de gueuler tellement c'était bon ! Mais je mourrais d'envie, moi aussi de découvrir sa queue.

Nico me dit : si tu savais depuis combien de temps j'attends ce moment ! Tous les vendredis depuis trois mois, je crève d'envie de te proposer une douche dans les vestiaires.

- Moi c'est pareil Nico, on devrait se foutre à poil, on serait plus à l'aise !

Nous prenions un moment pour nous désaper l'un l'autre. On tremblait de bonheur tous les deux. Il me proposa d'aller sous la douche et j'acceptais.

Soudain, je fus pris d'une soudaine envie de pisser car je n'avais pas réussi tout à l'heure.

- Attends deux secondes Nico, je vais aller pisser avant.
- Pisse-là, me dit-il !

Je me décalottais et pissais pendant que Nico me caressait les fesses.

Je me suis ensuite appuyé contre lui et je lui ai rouler sauvagement une gamelle. Je me suis mis sur le dos, lui me bouffait les couilles avant de tout gober.

- Putain... J'aime ta teub ! J'aime ton gros gland !

Pendant ce temps, je pliais la jambe pour lui rentrer le panard dans le derrière. Il aimait ça:

- Continue... Fait glisser tes orteils dans ma raie... C'est géant !

Sa raie était toute moite, ça glissait tout seul. Je tentais alors d'introduire mon gros orteil dans son trou. Nous nous redressions et il se mit contre le mur des douches, le cul redressé. J'introduis alors ma queue dans son trou et le limai pendant quelques minutes. Je lui demandai de s'allonger sur le banc et j'ai saisi ses jambes. Il était plié en 2, à 90 degrés. Je pouvais ainsi continuer à l'enculer, en sentant ses plantes de pieds sous mes mains. C'était trop bon ! J'aurais voulu y rester mais le désir de goûter moi aussi à son sexe était plus fort.

Il se retourna et suça de nouveau ma queue. Je lui annonçai que c'était à mon tour et me lançai dans une longue partie de va-et-vient dans ma bouche. Nicolas a joui dans ma gueule et je n'en fut pas dégoûté. Au contraire, j'avalais tout d'un coup. Il proposa de me branler. Au lieu d'accepter, je lui ai demandé de s'asseoir par terre, et saisis ses pieds pour placer ma bite entre les deux. Je me branlais ainsi en gueulant pour éjaculer enfin sur ses pieds. Nicolas caressa ses pieds spermeux sur les miens et quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'il saisit mes pieds à son tour, pour les lécher dans tous les sens!

— Ouah ! C'est une partie du corps super bandante !

Après être retournés sous la douche, nous nous sommes embrassés une nouvelle fois, avant de remettre nos vêtements. Je lui proposais d'échanger notre slip et caleçon. Il accepta et nous voilà partis !

Le soir, je me suis branlé trois fois de suite, son slip sur le nez.

Nous avons recommencé cette expérience trois fois, le vendredi soir... Jusqu'à ce que Nico déménage et s'en aille à Lille.

Depuis, je ne cesse d'espérer un nouveau moment comme celui passé ce jour-là, après le badminton.

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