Le blog de Olivier75
Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !
Je m’appelle Enzo et comme beaucoup d'autres, j'ai découvert que j'étais gay, sans vouloir me
l'avouer.
Il faut dire que, vers l'âge de 16 ans mes parents m'avaient mis dans un internat. C'est là que j'ai connu ma première pelle avec un mec et naturellement, cela s'est renouvelé. C'est aussi à
partir de ce moment que j'ai découvert et, que j'ai aimé la branlette mais aussi l'intérêt pour les autres garçons.
Mais là où c'est devenu plus intéressant, c'est quand j'ai eu 18 ans. J'habitais dans une petite ville où il y avait un groupe de jeunes mecs de mon âge et, très souvent nous
faisions des pique-niques ensemble dans la forêt. Après avoir mangé et bu quelques bières, nous parlions un peu de tout mais, cela dérivait très souvent sur le sexe. Un jour, après un pique-nique
bien arrosé à la bière, nous avons poursuivi notre chemin vers une clairière où se trouvait une vieille cabane fabriquée avec du bois mort et des planches.
Nous étions un groupe de six jeunes, Léo rentra dans la cabane en premier suivit de Lucas, Gabriel, Jules et Louis. Au moment où je commençais à rentrer, je fus renversé et maintenu par le groupe
de 5 jeunes dont Léo. Ils me plaquèrent au sol et commencèrent à me palper. Au début, je me débattais, mais dans un certain sens, cette situation m’excitait. Léo me caressa la bite au
travers de mon fut et s’exclama : Oh putain, il a une belle gaulle Enzo !
Avant même que je puisse réaliser qu’ils avaient l’intention de me mettre à poil, Léo passa à l’action. Il commença par desserrer le cordon de serrage de mon pantalon de survêtement. Après avoir
rentré sa main dans mon caleçon, il me caressa la bite alors que les autres passaient leurs mains partout sur mon corps. Cela me faisait bander encore plus. Ensuite, tout s’est passé très vite,
deux m’ont tenu les bras et les deux autres les jambes pendant que Léo sortait ma queue et commença à me masturber.
J’avais envie de me débattre mais, en même temps, je ne pouvais rien faire. De toute façon, que pouvais-je faire seul contre cinq ? Léo continuait à me branler, Lucas et Gabriel me tenaient les bras et relevaient mon
tee-shirt puis me le retirait. Jules et Louis me tenaient les jambes en faisant descendre mon pantalon et mon caleçon jusqu’aux chevilles. Jules me tenait ensuite les deux jambes pendant que
Gabriel me retirait mes tennis, mon pantalon de survêt et mon caleçon. Je me retrouvais ainsi complément nu en l’espace de quelques instants devant mes 5 potes. Léo continuait à me branler, j’étais leur jouet, avec lequel ils
s’amusaient. Sous ces caresses, je ne fus pas long à éjaculer et, 5 longs jets sortirent de ma queue.
Je pensais qu’ils allaient me lâcher mais non. Ils m’ont installé sur une grande serviette. Quand j’aperçu les bouteilles d’eau, les rasoirs et la mousse à raser, je compris ce qui allait
m’arriver !
Lucas commença à me mettre de la mousse au-dessus de la bite pendant que Jules me l’étala sur le bas ventre puis saisissait mon sexe pour le recouvrir également de mousse. Lucas
continuait à me rajouter de la mousse sur les couilles et sur mon entrejambe, Léo souri en étalant la mousse sur mes couilles puis sur mon entrejambe jusqu’à l’anus. J’avais de la mousse
partout et Léo en profita pour me glisser 1 doigt puis 2 dans mon cul.
Je commençais à être à nouveau excité et bandait. Jules pris un rasoir et commença à me raser la bite, le bas-ventre puis les couilles. Il poursuivi ensuite le rasage sur toutes les parties de mon corps où il y avait des poils, même sur les jambes.
Une fois le rasage terminé, Gabriel pris les bouteilles d’eau et un gant de toilette et me rinça le corps pour enlever la mousse. Au contact de ses mains, je bandais à nouveau. Je pensais qu’ils allaient me lâcher mais non.
Putain, il est trop excitant avec sa bite rasée dit alors Louis puis, il m’attrapa la queue et commença à me branler jusqu’à ce que j’éjacule de nouveau.
Plusieurs fois nous avons refait cela mais, à chaque fois avec un autre car chacun devait y passer. Chacun de nous s’est donc retrouvé à poil et branlé dans cette cabane puis, après le rasage intégral, sans poil.
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