Le blog de Olivier75
Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !
Chaque matin dès mon arrivée au bahut, je laisse vérifier Karim que je suis toujours nu sous mon jeans. Sur sa demande, je me présente à lui à chaque
récréation. Hier, prétextant une information à me transmettre, il est même intervenu en plein cours, me pressant de le suivre dans le couloir. Et là de nouveau, dans ce lieu de passage, au risque
d’être vu, j’ai dû baisser mon pantalon. Les profs et mes camarades ne suspectent rien heureusement.
J’aime de plus en plus le lycée. Je me fais chier chez mes parents le week-end. Kamel me manque. J’aime qu’il me mate, qu’il me touche. J’aime sucer sa queue. J’aimerai la sentir de nouveau dans
mon cul. Le jour du sport est arrivé. De nouveau, j’ai mis un pull long ce matin. Dans le vestiaire, personne ne s’est rendu compte de ma nudité. Aujourd’hui, Samuel est absent. Il a dû flipper à
cause de la dernière fois. Pendant la séance de sport, j’ai toujours du mal à me concentrer. En plus aujourd’hui, c’est séance de barres parallèles et de barres fixes. N’importe qui pourrait voir
que je n’ai pas de slip sous mon short rouge.
Retour aux vestiaires, je file aux toilettes et je rejoins mes camarades. Certains sont déjà à poils sous les douches. Je me déshabille et je les rejoins. Je traîne un peu sous la douche. De
retour dans le vestiaire, je m’essuie et je fais semblant de fouiller dans mon sac et je gueule qu’on m’a piqué mon slibard. Karim ne dit rien, il se marrerait presque. Je le vois qui enfile son
jeans sans rien d’autre en dessous. Richard s’en rend compte lui aussi et dit : « On t’a encore piqué ton slip Karim ? »
Karim : « Non, je ne voulais pas me faire avoir. J’étais sûr que ça recommencerai, alors j’en ai pas mis aujourd’hui. »
En sortant du cours, je croise Kamel, il me sourit et me demande d’être en salle 105 à 17 h. Il me demande de m’asseoir et d’attendre en silence, l’air coupable. Il me promet une jolie surprise.
Ça m’intrigue. Je suis impatient et très excité.
Il est à peine 17 h, je suis dans la salle comme convenu. J’essaie d’avoir l’air coupable. Kamel rentre, poussant Karim devant lui. Je suis surpris, je ne comprends pas, mais je ne dis rien.
Karim me regarde, il a l’air surpris et gêné à la fois.
Kamel s’assoit sur le bureau, un petit sourire en coin et nous dit : « Alors les petits branleurs ! »
Karim me regarde, je baisse la tête.
Kamel : « Alors, on ne trouve rien à dire. On préfère se branler dans les chiottes du bahut au lieu de parler ! » Cette scène me rappelle quelque chose. Je devine où Kamel veut en venir. Il a dû
passer sa semaine à traquer Karim afin de le surprendre le pantalon sur les chevilles et la bite à la main.
Kamel : « Évidemment, je vais devoir en avertir le proviseur et vos parents. »
Karim : « Non, pitié, pas ça ! »
Kamel : « Je n’ai pas d’autre solution… »
Karim : « S'il te plait, j’accepterai n’importe quelle punition, mais pas ça, ne dis rien ! »
Kamel me regarde. « Et toi ? Tu accepterais n’importe quelle punition Adil ? »
Moi : « Oui, pareil ! »
Kamel fait semblant de réfléchir. Je me demande ce qu’il a en tête.
Kamel : « N’importe quelle punition Karim ? »
Karim : « Oui Kamel, je ferais ce que tu voudras. »
Kamel : « Ok. Alors, debout tous les deux. Vous allez au tableau avec le pantalon baissé et les mains sur le tableau. »
On se lève, et on obéit. Kamel donne un tour de clé. On ne sera pas dérangé. Il revient vers le tableau. Il passe sa main sur nos petits culs blancs.
Kamel : « Alors les petits branleurs, on ne porte pas de sous-vêtements ! C’est plus rapide pour vous branler ? »
Moi : « On m’a piqué mon slip en cours de sport. »
Kamel : « Et toi, on t’a piqué le tien aussi en sport, Karim ? »
Karim : « Pas aujourd’hui, mais la semaine dernière. »
Kamel s’empare de la règle en plastique qui est sur le bureau. Il la passe doucement sur les fesses de Karim. Il commence à faire pleuvoir les coups. Un coup sur la fesse droite, un coup sur la
fesse gauche, et ainsi de suite. Karim ne dit rien, il serre les dents et me regarde. Au bout d’une dizaine de coups, Kamel s’arrête et viens vers moi. À mon tour de sentir la règle me chauffer
le cul. À chaque coup, je ne peux m’empêcher de gémir. Du coin de l’œil, je crois deviner que la queue de Karim a pris du volume. Il a une belle bite épaisse avec des poils noirs coupés très
courts, et un gland volumineux. En plus, il ne bande pas encore au maximum. Moi je ne bande pas, mais un filet de mouille s’échappe de mon méat.
Kamel ordonne à Karim de lui sucer le majeur, de s’appliquer pour que son doigt soit bien humide. Karim obéit. Il s’applique comme s’il aimait ça. Il me regarde en même temps. Ça m’électrise. Et
puis je sens le doigt humide de Kamel sur ma rondelle. Son doigt est maintenant dans mon cul. Je commence sérieusement à bander. Pendant qu’il me doigte, de sa main libre, il continue à me
fesser. Karim profite du spectacle, sa queue devenue bien raide touche le bois du bureau. Je gémis, je ne peux cacher mon plaisir. Kamel retire son doigt de mon cul. J’aimerai qu’il le remette ou
qu’il y mette sa bite.
Mais il n’en fait rien. Il rapproche son doigt de mes lèvres. Je comprends sans qu’il ne dise rien et j’avale son doigt qui était encore dans mon cul il y a quelques secondes. Kamel me laisse
faire puis retire son doigt d’entre mes lèvres. Karim semble avoir compris, il se penche un peu plus sur le bureau et écarte les fesses. Je le regarde se faire doigter. Il a l’air d’aimer ça lui
aussi. Son gland est luisant d’excitation. Soudain, je le vois grimacer. Kamel a rentré un deuxième doigt. Le temps de s’habituer et Karim me sourit de nouveau. Kamel à capter notre complicité
naissante. Il décide de s’en amuser.
Kamel : « Embrassez-vous, bande de petits branleurs ! »
Karim tend ses lèvres vers moi, et on se roule un super patin.
Kamel : « Continuez, petits pd ! » On obéit. J’adore ça, et je suis sûr que Karim aussi. De sa main libre, Kamel décide de me doigter en même temps que Karim. Puis, il retire ses doigts de nos
culs.
Kamel : « Retournez-vous ! »
On obéit. On est là, devant lui, les queues raides et luisantes de plaisir.
Kamel : « Mettez-vous à poil complètement tous les deux ! »
Nous retirons nos chaussures, nos chaussettes, notre pantalon et notre tee-shirt.
Kamel : « Installez-vous sur le bureau en 69 ! »
On est maintenant sur le bureau. J’ai la queue de Karim qui me pilonne la bouche et je sens ses lèvres chaudes sur ma bite.
Kamel nous regarde. Il a sorti sa queue et se branle. Il se rapproche de mon cul. Je sens sa bite qui frotte contre ma rondelle.
J’ose un doigt dans le cul de Karim pendant qu’il s’occupe de ma queue. Je sens la bite de Kamel qui force le passage de mes fesses. Je ne suis pas inquiet, je sais qu’il a mis une capote. La
queue de Karim dans ma bouche m’empêche de hurler le plaisir que me procure le pilonnage de Kamel et la pipe de Karim.
Kamel sort de mon cul, change de capote, et fait le tour du bureau. C’est au tour de Karim de se faire enculer. Il continue à me sucer pendant que, centimètre par centimètre, Kamel viole son
intimité. Les couilles de Kamel viennent battre mon front à chaque va-et-vient dans le cul de Karim. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Kamel se retire. Avec Karim, on continue notre
69, en attendant les nouvelles consignes.
Kamel : « Stop ! Karim, mets toi debout, et toi, Adil, relève-toi et mets les deux mains sur le bureau. » Nous obéissons. Kamel tend une capote à Karim.
Kamel : « Enfile ça Karim, et fais-toi plaisir, Adil n’attend que ça, j’en suis sûr. » J’ai le cul bien ouvert par l’excitation et le passage de la bite de Kamel.
Karim me pénètre sans difficulté.
Il me susurre à l’oreille : « Excuse-moi, je fais ce qu’il me dit. » Moi, dans un soupir de plaisir : « Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas. »
Je sens ses couilles, il a rentré sa bite au maximum dans mon cul. Ses va-et-vient me procurent un plaisir inédit. Je l’entends maintenant grogner, et je sens tout son poids sur moi. Kamel est en
train de l’enculer, et c’est lui qui donne la cadence. Karim m’encule au même rythme que Kamel l’encule. Les mains sur le bureau, je ne peux pas me branler. Karim a dû y penser, car je sens sa
main droite se resserrer sur ma queue. Je vais bientôt jouir. Je ne maîtrise pas mon plaisir, et bientôt mon sperme se répand sur le bureau et sur le sol. En giclant, mon cul s’est resserré sur
la bite de Karim qui continue à me pilonner. Tant que Kamel ne se retirera pas de son cul, il continuera lui aussi à m’enculer. Je sens son souffle chaud qui s’accélère, et dans un râle viril, je
comprends qu’il vient de remplir le préservatif.
Kamel se retire. Karim et moi, nous nous écroulons sur le sol. On est tout transpirant et tout gluant. Kamel nous tend sa queue. Nos lèvres se rejoignent sur sa bite jusqu’à sentir la semence du
surveillant s’écouler sur nos joues. On s’applique à bien nettoyer sa bite, qu’il n’y ai plus de trace de sperme.
Kamel range sa queue bien propre. Il porte un slip noir. Je suis sûr que c’est celui que j’ai piqué à Karim la semaine dernière. Il avait bien prévu son coup. Il s’assoit devant nous, il nous
matent. On n’a pas bougé, on attend ses consignes, assis là, à poil, devant le bureau. Il ne dit rien. La situation se veut humiliante.
Kamel : « Rhabillez-vous et cassez-vous, mais sachez que je vous ai à l’œil et que je n’en ai pas fini avec vous. » On ramasse nos affaires et on se rhabille.
On quitte la salle et le lycée. Sur le chemin, je n’ose pas ni regarder, ni parler à Karim. Tout à coup, il se retourne vers moi, et me dit : « J’ai envie de pisser, tu m’accompagnes ? » Je le
suis. Dans les chiottes publiques, on s’enferme ensemble dans une cabine. Karim sort sa queue et pisse à grands jets. J’en fais autant. Et là, il me dit : « T’as aimé ça ? Parce que moi, oui !
»
Les photos sont triées par catégorie :
Photos dans la douche Photos dans la chambre Photos au travail
Photos à l'extérieur Photos dans les vestiaires Photos en diaporama
Photos devant un miroir Photos en gros plans Photos devant l'ordinateur