Le blog de Olivier75

 

 

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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

J'avais 20 ans et je venais de passer la soirée chez des amis. J'avais bu quelques bières et je devais reprendre le dernier train vers 0h 45 pour rentrer chez moi.
C'était l'été, il faisait très chaud, j'avais juste un maillot sans manche un peu long et un short de plage sans rien dessous.
Habituellement, il n'y avait pratiquement personne à cette heure sur le quai de la gare. Ce soir là, une dizaine de jeunes rentraient d'une fête et avaient l'air assez joyeux.
Mon regard croisa celui d’un des jeunes d’une vingtaine d’années qui me regardait en souriant. A chaque fois que je le regardais, je pouvais voir qu'il me regardait également. Ils parlaient en arabe, je ne comprenais donc rien.

À ce moment arriva enfin un train dans lequel tous s’engouffrèrent précipitamment dès que les portes s’ouvrirent. Le train était vide comme d'habitude à cette heure là.
Au moment d'aller m'assoir, je me trouvait bloqué, encerclé par le groupe de jeunes. J'essayais de me frayer un passage mais ils m'en empêchait. Le jeune qui me regardait en souriant sur le quai s'avança face à moi.

Le train se mit en marche, son impulsion donnant une bonne secousse et le jeune en profita pour me toucher de la main mon bas ventre. Mais bien sûr il n’en resta pas là. Il me matait en souriant et, après une minute de voyage, il commença à placer sa main droite au niveau de mon entrejambe. Je ne bronchais pas, son mouvement pouvant tout à fait passer pour un geste involontaire.

Mais, il ne retira pas sa main, au contraire. Il entreprit de commencer un léger va-et-vient, une pression discrète contre l’emplacement de ma queue. Là encore, il restait prudent et accordait son mouvement aux soubresauts du train. Je commençait à bander avec le contact de sa main. Le train s’arrêta à une gare mais personne ne bougeaient et j'étais toujours encerclé par le groupe de jeunes.

Trois jeunes, s'appraitaient à monter mais, quand ils nous ont vu, ils se sont dirigés vers le wagon suivant où il y avait moins de monde. De ce fait, je me retrouvais seul dans cette voiture avec ce groupe de jeunes.
Le jeune me regardait toujours en souriant et entreprit alors d’accélérer les choses. À la faveur d’un virage serré, il se colla encore plus à moi, remonta rapidement le bas de mon maillot et de son autre main, mis ses doigts autour de l’emplacement supposé de ma queue. Il accentua son va-et-vient et commença à faire aller ses longs doigts fins de haut en bas, s’appuyant légèrement sur les couilles qu’il sentait au travers de mon short.
Je n’osais pas bouger et, même si j'aurai voulu, je ne pouvais pas. Ce dernier s’amusait de cette situation, ce qui ne faisait qu’ajouter au sentiment d’interdit et d’excitation qu’il savourait pleinement.

Encore une gare, je jeune s'arrêta de me toucher et, une fois de plus, le même rituel, personne ne monta dans notre wagon, puis il remit de l’ardeur à la tâche. Il s'avait comme moi, que le train ne marquerait plus d’arrêt dans les prochaines gares, ce qui lui laissait environ quarante minutes. Au détour d’une nouvelle secousse, il ose carrément palper avec insistance ma bite.
Le jeune savourait un sentiment de puissance et de victoire en sentant mon sexe devenir bien dur et ferme entre ses doigts experts. Il remonta sa main jusqu’à l’élastique de mon short et glissa sa main à l’intérieur. Le contact de sa peau sur la mienne me donna la chaire de poule. Il me caressa longuement, puis ressortit sa main pour la glisser sous mon maillot et venir me caresser le ventre. Je ne distinguais que vaguement les visages de mes voisins et je n’osais pas me retourner. Le mec devait s’en douter et en profitait.
Etant plaqué contre une paroie du train et serré contre eux, ma position leur semblait bonne. Le jeune attrapa à nouveau l’élastique de mon short pour dégager ma queue en érection et me descenda mon short complètement. Je voulus empêcher la chose mais les autres me tenait et j'était immobilisé. Pendant que je me débattais, les autres en profitaient pour me retirer mon maillot. Je me suis retrouvé complètement nu en un rien de temps.
En les regardant, je leur dis : mais, vous faites quoi là ?
Le jeune me dit : quand je te regardais sur le quai, j'ai vu que tu bandais et que ne portais rien sous ton short.  Tu nous a excité et on va s’amuser avec toi. Ils se mirent alors à me caresser tout le corps, en insistant bien sur mes fesses, ma bite et me pinçaient les tétons. J’essayais de me débattre mais je n’avais aucune chance.
Ensuite, tout s’est passé très vite, le jeune m'attrapa la queue et commença  à me masturber. J’avais envie de me débattre mais, en même temps, je ne pouvais rien faire. De toute façon, que pouvais-je faire seul contre ces dix jeunes ? Il continuait à me branler, en faisant quelques pauses pour faire durer le plaisir. Ma bite était son jouet, avec lequel il s’amusait. Les autres me regardait sauf un qui filmait la scène depuis le début. Je finis par éjaculer devant cette dizaine de jeunes.
Le train venait d'arriver en gare, les dix jeunes partirent en courant vers la porte de sortie à l'extrémité du wagon. je me suis rhabillé et je suis partis aussi. 

 

 

 

 

 

 

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Lun 4 jui 2016 1 commentaire
Le minet juste avant le récit est très bandant.
Pervert - le 14/08/2016 à 14h11