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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 03:15

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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

Chaque matin dès mon arrivée au bahut, je laisse vérifier Karim que je suis toujours nu sous mon jeans. Sur sa demande, je me présente à lui à chaque récréation. Hier, prétextant une information à me transmettre, il est même intervenu en plein cours, me pressant de le suivre dans le couloir. Et là de nouveau, dans ce lieu de passage, au risque d’être vu, j’ai dû baisser mon pantalon. Les profs et mes camarades ne suspectent rien heureusement.

J’aime de plus en plus le lycée. Je me fais chier chez mes parents le week-end. Kamel me manque. J’aime qu’il me mate, qu’il me touche. J’aime sucer sa queue. J’aimerai la sentir de nouveau dans mon cul. Le jour du sport est arrivé. De nouveau, j’ai mis un pull long ce matin. Dans le vestiaire, personne ne s’est rendu compte de ma nudité. Aujourd’hui, Samuel est absent. Il a dû flipper à cause de la dernière fois. Pendant la séance de sport, j’ai toujours du mal à me concentrer. En plus aujourd’hui, c’est séance de barres parallèles et de barres fixes. N’importe qui pourrait voir que je n’ai pas de slip sous mon short rouge.

Retour aux vestiaires, je file aux toilettes et je rejoins mes camarades. Certains sont déjà à poils sous les douches. Je me déshabille et je les rejoins. Je traîne un peu sous la douche. De retour dans le vestiaire, je m’essuie et je fais semblant de fouiller dans mon sac et je gueule qu’on m’a piqué mon slibard. Karim ne dit rien, il se marrerait presque. Je le vois qui enfile son jeans sans rien d’autre en dessous. Richard s’en rend compte lui aussi et dit : «  On t’a encore piqué ton slip Karim ? »
Karim : « Non, je ne voulais pas me faire avoir. J’étais sûr que ça recommencerai, alors j’en ai pas mis aujourd’hui. »

En sortant du cours, je croise Kamel, il me sourit et me demande d’être en salle 105 à 17 h. Il me demande de m’asseoir et d’attendre en silence, l’air coupable. Il me promet une jolie surprise. Ça m’intrigue. Je suis impatient et très excité.
Il est à peine 17 h, je suis dans la salle comme convenu. J’essaie d’avoir l’air coupable. Kamel rentre, poussant Karim devant lui. Je suis surpris, je ne comprends pas, mais je ne dis rien. Karim me regarde, il a l’air surpris et gêné à la fois.

Kamel s’assoit sur le bureau, un petit sourire en coin et nous dit : « Alors les petits branleurs ! »
Karim me regarde, je baisse la tête.
Kamel : « Alors, on ne trouve rien à dire. On préfère se branler dans les chiottes du bahut au lieu de parler ! » Cette scène me rappelle quelque chose. Je devine où Kamel veut en venir. Il a dû passer sa semaine à traquer Karim afin de le surprendre le pantalon sur les chevilles et la bite à la main.
Kamel : « Évidemment, je vais devoir en avertir le proviseur et vos parents. »

Karim : « Non, pitié, pas ça ! »
Kamel : « Je n’ai pas d’autre solution… »
Karim : « S'il te plait, j’accepterai n’importe quelle punition, mais pas ça, ne dis rien ! »
Kamel me regarde. « Et toi ? Tu accepterais n’importe quelle punition Adil ? »
Moi : « Oui, pareil ! »
Kamel fait semblant de réfléchir. Je me demande ce qu’il a en tête.
Kamel : « N’importe quelle punition Karim ? »
Karim : « Oui Kamel, je ferais ce que tu voudras. »
Kamel : « Ok. Alors, debout tous les deux. Vous allez au tableau avec le pantalon baissé et les mains sur le tableau. »

On se lève, et on obéit. Kamel donne un tour de clé. On ne sera pas dérangé. Il revient vers le tableau. Il passe sa main sur nos petits culs blancs.
Kamel : « Alors les petits branleurs, on ne porte pas de sous-vêtements ! C’est plus rapide pour vous branler ? »
Moi : « On m’a piqué mon slip en cours de sport. »
Kamel : « Et toi, on t’a piqué le tien aussi en sport, Karim ? »
Karim : « Pas aujourd’hui, mais la semaine dernière. »

Kamel s’empare de la règle en plastique qui est sur le bureau. Il la passe doucement sur les fesses de Karim. Il commence à faire pleuvoir les coups. Un coup sur la fesse droite, un coup sur la fesse gauche, et ainsi de suite. Karim ne dit rien, il serre les dents et me regarde. Au bout d’une dizaine de coups, Kamel s’arrête et viens vers moi. À mon tour de sentir la règle me chauffer le cul. À chaque coup, je ne peux m’empêcher de gémir. Du coin de l’œil, je crois deviner que la queue de Karim a pris du volume. Il a une belle bite épaisse avec des poils noirs coupés très courts, et un gland volumineux. En plus, il ne bande pas encore au maximum. Moi je ne bande pas, mais un filet de mouille s’échappe de mon méat.

Kamel ordonne à Karim de lui sucer le majeur, de s’appliquer pour que son doigt soit bien humide. Karim obéit. Il s’applique comme s’il aimait ça. Il me regarde en même temps. Ça m’électrise. Et puis je sens le doigt humide de Kamel sur ma rondelle. Son doigt est maintenant dans mon cul. Je commence sérieusement à bander. Pendant qu’il me doigte, de sa main libre, il continue à me fesser. Karim profite du spectacle, sa queue devenue bien raide touche le bois du bureau. Je gémis, je ne peux cacher mon plaisir. Kamel retire son doigt de mon cul. J’aimerai qu’il le remette ou qu’il y mette sa bite.

Mais il n’en fait rien. Il rapproche son doigt de mes lèvres. Je comprends sans qu’il ne dise rien et j’avale son doigt qui était encore dans mon cul il y a quelques secondes. Kamel me laisse faire puis retire son doigt d’entre mes lèvres. Karim semble avoir compris, il se penche un peu plus sur le bureau et écarte les fesses. Je le regarde se faire doigter. Il a l’air d’aimer ça lui aussi. Son gland est luisant d’excitation. Soudain, je le vois grimacer. Kamel a rentré un deuxième doigt. Le temps de s’habituer et Karim me sourit de nouveau. Kamel à capter notre complicité naissante. Il décide de s’en amuser.

Kamel : « Embrassez-vous, bande de petits branleurs ! »
Karim tend ses lèvres vers moi, et on se roule un super patin.
Kamel : « Continuez, petits pd ! » On obéit. J’adore ça, et je suis sûr que Karim aussi. De sa main libre, Kamel décide de me doigter en même temps que Karim. Puis, il retire ses doigts de nos culs.

Kamel : « Retournez-vous ! »
On obéit. On est là, devant lui, les queues raides et luisantes de plaisir.
Kamel : « Mettez-vous à poil complètement tous les deux ! »
Nous retirons nos chaussures, nos chaussettes, notre pantalon et notre tee-shirt.
Kamel : « Installez-vous sur le bureau en 69 ! »
On est maintenant sur le bureau. J’ai la queue de Karim qui me pilonne la bouche et je sens ses lèvres chaudes sur ma bite.

Kamel nous regarde. Il a sorti sa queue et se branle. Il se rapproche de mon cul. Je sens sa bite qui frotte contre ma rondelle.

J’ose un doigt dans le cul de Karim pendant qu’il s’occupe de ma queue. Je sens la bite de Kamel qui force le passage de mes fesses. Je ne suis pas inquiet, je sais qu’il a mis une capote. La queue de Karim dans ma bouche m’empêche de hurler le plaisir que me procure le pilonnage de Kamel et la pipe de Karim.

Kamel sort de mon cul, change de capote, et fait le tour du bureau. C’est au tour de Karim de se faire enculer. Il continue à me sucer pendant que, centimètre par centimètre, Kamel viole son intimité. Les couilles de Kamel viennent battre mon front à chaque va-et-vient dans le cul de Karim. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Kamel se retire. Avec Karim, on continue notre 69, en attendant les nouvelles consignes.

Kamel : « Stop ! Karim, mets toi debout, et toi, Adil, relève-toi et mets les deux mains sur le bureau. » Nous obéissons. Kamel tend une capote à Karim.
Kamel : « Enfile ça Karim, et fais-toi plaisir, Adil n’attend que ça, j’en suis sûr. » J’ai le cul bien ouvert par l’excitation et le passage de la bite de Kamel.
Karim me pénètre sans difficulté.
Il me susurre à l’oreille : « Excuse-moi, je fais ce qu’il me dit. » Moi, dans un soupir de plaisir : « Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas. »

Je sens ses couilles, il a rentré sa bite au maximum dans mon cul. Ses va-et-vient me procurent un plaisir inédit. Je l’entends maintenant grogner, et je sens tout son poids sur moi. Kamel est en train de l’enculer, et c’est lui qui donne la cadence. Karim m’encule au même rythme que Kamel l’encule. Les mains sur le bureau, je ne peux pas me branler. Karim a dû y penser, car je sens sa main droite se resserrer sur ma queue. Je vais bientôt jouir. Je ne maîtrise pas mon plaisir, et bientôt mon sperme se répand sur le bureau et sur le sol. En giclant, mon cul s’est resserré sur la bite de Karim qui continue à me pilonner. Tant que Kamel ne se retirera pas de son cul, il continuera lui aussi à m’enculer. Je sens son souffle chaud qui s’accélère, et dans un râle viril, je comprends qu’il vient de remplir le préservatif.

Kamel se retire. Karim et moi, nous nous écroulons sur le sol. On est tout transpirant et tout gluant. Kamel nous tend sa queue. Nos lèvres se rejoignent sur sa bite jusqu’à sentir la semence du surveillant s’écouler sur nos joues. On s’applique à bien nettoyer sa bite, qu’il n’y ai plus de trace de sperme.

Kamel range sa queue bien propre. Il porte un slip noir. Je suis sûr que c’est celui que j’ai piqué à Karim la semaine dernière. Il avait bien prévu son coup. Il s’assoit devant nous, il nous matent. On n’a pas bougé, on attend ses consignes, assis là, à poil, devant le bureau. Il ne dit rien. La situation se veut humiliante.

Kamel : « Rhabillez-vous et cassez-vous, mais sachez que je vous ai à l’œil et que je n’en ai pas fini avec vous. » On ramasse nos affaires et on se rhabille.

On quitte la salle et le lycée. Sur le chemin, je n’ose pas ni regarder, ni parler à Karim. Tout à coup, il se retourne vers moi, et me dit : « J’ai envie de pisser, tu m’accompagnes ? » Je le suis. Dans les chiottes publiques, on s’enferme ensemble dans une cabine. Karim sort sa queue et pisse à grands jets. J’en fais autant. Et là, il me dit : « T’as aimé ça ? Parce que moi, oui ! »

 

 

 

 

 

 

 

 

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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 01:59

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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

Ce matin, une nouvelle séance de sport m’attend. Je n’ai pas oublié les consignes de Kamel. Je dois lui rapporter le sous-vêtement d’un de mes camarades de classe, et je suis bien décidé à réussir ma mission. Je veux lui faire plaisir, et si ça me fait un peu peur, ça m’excite aussi beaucoup. Depuis une semaine, je réfléchis à la manière dont je vais m’y prendre. Il ne me reste plus qu’à mettre mon plan à exécution.

Aujourd’hui, j’arrive en cours en même temps que mes camarades. Ce matin, j’ai enfilé un pull un peu long. Dans les vestiaires, je m’installe à côté de Karim, il fait à peu près le même gabarit que moi. C’est à lui que j’ai décidé de piquer son slip ou son caleçon, selon ce qu’il porte aujourd’hui. Je sais qu’à chaque fin de séance, il prend une douche, ce sera l’occasion  idéale. Au moment de me changer, je garde mon pull, je baisse mon froc et je mets mon short. Personne ne soupçonne que je ne portais rien sous mon jeans.
Pendant le cours, j’ai un peu de mal à me concentrer. Je pense qu’à une chose, réussir ma mission, piquer son slip noir à Karim.

Retour au vestiaire. Les mecs chahutent, personne ne fait attention à moi.
Tony, Jérôme, et d’autres mecs dont Karim se dépoilent vite fait et filent sous les douches. En se déshabillant, Karim a balancé son slip juste à mes pieds. Discrètement, je le ramasse et le pose dans mon sac de sport. Personne ne m’a vu faire. Je rejoins les mecs à la douche. Deux autres types me suivent. Je ne suis pas le dernier, c’est déjà moins suspect, car je sais que tout à l’heure, quand Karim se rendra compte que son slip à disparu, il va accuser tout le monde. Je me douche, mais du coin de l’œil, je surveille Karim, je veux sortir des douches en même temps que lui.

Au moment où il sort, je le suis. En s’essuyant, on discute, on rigole. Devant lui, je plonge la main dans mon sac, et j’enfile son slip. C’est un slip comme on en porte tous. J’ai bien choisi ma victime, son slip est à ma taille. Karim m’a vu faire, il n’a pas reconnu son sous-vêtement. Je sais que j’ai réussi ma mission, mais dans ma poitrine, mon cœur bat à 100 à l’heure.

Les autres mecs sortent des douches. Karim enfile ses chaussettes, et sa chemise qu’il garde ouverte. À croire qu’il fait exprès de rester la bite à l’air pour qu’on le mate. Puis il commence à chercher son slip.

Maintenant, il est à genoux, et il cherche sous le banc sur lequel je suis assis. J’ai déjà enfilé mon jeans, et je suis en train de lacer mes pompes. J’en profite pour mater son cul, et ses couilles qui pendent. Puis il se relève et commence à gueuler :
« Putain ! Quel est l’enfoiré qui m’a piqué mon slibard ? » Personne ne dit rien.
Lui : « Déconnez pas les mecs, rendez-moi mon slip, merde, c’est pas drôle. » Et puis, il regarde Samuel, un garçon un peu timide qui ne prend jamais de douche et qui est resté là à nous attendre. Il se précipite vers lui, le cramponne par le col.
Karim : « Je suis sûr que c’est toi, qui me l’a piqué, j’ai vu comment tu me matais quand je me changeais. Rends-le-moi enfoiré ! »
Samuel bredouille : « Ce n’est pas moi, je te jure. »
Karim saisit le sac de Samuel, le vide sur le sol et fouille les fringues crades. Ne trouvant rien, il se retourne vers Samuel : « Défroque-toi ! »
Samuel : « Quoi ? »
Karim : « J’ai dit : défroque-toi ! »
Samuel ne bouge pas. Karim le force à s’allonger au sol et commence une mise à l’air. Samuel se tortille, mais bien vite, il a le jeans sur les chevilles, laissant apparaître son caleçon bleu et blanc à rayures.

Karim abandonne, et devant tout le monde enfile son jeans à même la peau.
On quitte les vestiaires. Je vais directement dans le bureau des pions à la rencontre de Kamel.
Ensemble, nous rejoignons la salle 105.
Kamel : « Alors, mission réussie Adil ? »
Moi : « Oui. »
Kamel : « Allez, vide ton sac et donne-le-moi. »
Moi : « -Il n’est pas dans mon sac, je le porte sur moi.
Kamel : « Tu es une petite salope mais tu es malin. » Ce compliment me fait rougir. Je me déshabille et je lui donne le slip de Karim. Je reste là, le cul à l’air devant lui. J’aime ça, et lui aussi, j’en suis sûr.

Kamel inspecte le slip de Karim. « Tu t’es branlé dedans Adil ? »
Moi : « Heu … non. Je viens juste de le mettre et je te l’ai apporté direct. »
Kamel : « Ok, mais c’est quoi ça ? » Il me tend le slip. Je peux alors voir à l’intérieur, sur le devant, des traces blanchâtres.
Kamel : « Celui à qui tu l’as piqué s’est fait plaisir avant de venir en cours ce matin. »

En imaginant Karim en train de se branler, ma queue se raidit.
Kamel se marre en me voyant ainsi.
« Tu as bien mérité une petite récompense. Allez, passe ta langue sur le foutre de ton pote. » Je m’agenouille et je commence à lécher le slip souillé.
Kamel : « Tu peux te branler en même temps, si tu veux. » Je n’attendais que ça. Je suis à genoux, aux pieds de Kamel, je me branle en léchant les traces de spermes que Karim a laissé dans son slip, et j’adore ça.

Kamel sort sa queue. Je ne demande rien et je l’engouffre. Je tête sa bite avec délectation. Ça lui fait de l’effet, je l’entends haleter et rapidement je sens son foutre tapisser ma bouche. J’avale tout et je jouis en même temps sur mon ventre. Kamel me regarde d’un air satisfait.
Il me tend le slip de Karim et me demande d’essuyer le sperme que j’ai sur le ventre et celui qui s’écoule encore un peu de mes lèvres avec. J’obéis en le regardant droit dans les yeux puis je lui rends le slip.

Maintenant, rhabille-toi, et casse-toi. » Je me refroque et je quitte la salle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 01:31

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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

Aujourd’hui, au lycée, la matinée commence par deux heures de sports. J’appréhende toujours le moment du passage aux vestiaires depuis que, respectant les consignes de Kamel, un des surveillants, je ne porte plus de sous-vêtement sous mon pantalon.

Ca fait maintenant cinq semaines que ma queue frotte directement contre le tissu de mon jeans. Cinq semaines que chaque jour, Kamel vérifie lui-même si je suis bien obéissant. J’ai pris l’habitude d’arriver un peu plus tôt le matin au bahut pour me rendre dans son bureau et subir son inspection.

Le premier jour, il était seul, il a exigé que je baisse mon futal, debout devant lui. J’ai obéi. Mais il est rarement seul le matin dans le bureau des surveillants. Le plus souvent, il guette mon arrivée au lycée, me bloque discrètement dans un coin, et selon son envie du moment, il passe sa main dans mon pantalon, ou il me défroque, ou il me demande de me défroquer.

Depuis quelques temps, il me soupçonne d’enfiler un slip ou un caleçon après son inspection matinale. Alors, il multiplie ses inspections dans la journée. Je sais qu’il peut me tomber dessus en permanence. Je dois avouer que cette situation, humiliante au début, m’excite de plus en plus. J’aime me foutre à poil devant lui, et je crois qu’il aime ça lui aussi, ses doutes ne sont qu’un prétexte pour me mater.

Si cette situation m’excite de plus en plus, pour les vestiaires de sport, je flippe de me faire griller par les autres mecs. Alors, depuis trois semaines, j’arrive volontairement en retard en cours. Le prof gueule un peu, mais il m’ouvre les vestiaires et je peux me changer tranquillement. A la fin de la séance, les autres gars se précipitent à la douche et ne font pas gaffe à moi. Alors, dès que j’entends l’eau couler, je vire mon short rapidement.

Aujourd’hui, de nouveau, j’arrive en retard. Une fois de plus, le prof de sport gueule et m’ouvre les vestiaires. Je me change et je rejoins le terrain. Le prof est furieux, je suis bon pour ramasser le matériel à la fin du cours.

Le prof : « Adil, j’en ai ras le bol de tes retards à répétition, je ne te veux pas en cours, tu files direct dans le bureau des pions. Tu passeras les deux heures qui viennent dans leur bureau, tu reviendras à la fin du cours pour te changer. Tu auras également deux heures de retenue. »

Je ne réponds pas et je me dirige vers le bureau des pions dans ma tenue de sport, un tee-shirt blanc, des baskets et mon short rouge sans rien dessous. Dans le bureau, Kamel est seul. Je lui explique la situation, la raison de mes retards.
Kamel : « Tricheur ! »
Moi : « Mais … »
Kamel : « Tais-toi. Tu es un tricheur, tu n’as pas respecté mes ordres. Je vais devoir te punir. En plus, je m’arrangerais pour que tes deux heures de colles, tu les fasses avec moi. »

Je ne dis rien. Sabine, une de ses collègues rentre. Elle demande ce que je fais là. Kamel lui explique et lui dit en me regardant :
« On a du boulot à faire, on peut pas le garder dans le bureau ici avec nous pendant deux heures. Je l’emmène dans une salle de classe libre, on passe par le CDI, je vais lui trouver du travail à faire, je reviens dans vingt minutes maxi. »

Kamel sort du bureau, je le suis. Passage éclair au CDI pour prendre deux ou trois bouquins. Puis direction une petite salle de classe isolée. Kamel ouvre la porte et rentre, je le suis.
Kamel : « A nous deux ! »
Il referme la porte et donne un tour de clé. Je suis enfermé avec lui.
Kamel : « Mains sur le bureau, jambes écartées. »
J’obéis. Il pose ses mains sur mes fesses, les malaxent. Ses mains descendent le long de mon cul. Sa main gauche passe dans l’échancrure de mon short et vient me saisir les couilles. Sa main se resserre.
Kamel : « Alors, tu as voulu jouer au malin, et tu as perdu. »

Je ne dis rien, je me laisse faire. J’ai toujours les couilles enfermées dans sa main. Il les relâche et me dit : « Retire ton short et pose le sur la table qui est à côté de la porte. » J’exécute ses consignes puis je reviens vers lui. Il se saisit d’une règle en plastique laissée sur le bureau. Il la passe sur mes fesses, et les coups commencent à pleuvoir. J’ai les larmes aux yeux. Je le supplie d’arrêter. Il rit et me précise : « Je n’arrêterais que quand ton cul sera aussi rouge que ton short. » Et il recommence à frapper. J’essaie d’esquiver les coups.
Kamel : « Tu veux jouer à ça, on va jouer. »

Il s’assoie sur la chaise du bureau, devant moi. Il sourit. Je n’ai pas bougé. Il y a juste le bureau qui nous sépare. Il joue avec la règle en plastique. Il la rapproche de mon sexe, de mes couilles. Il donne des petits coups. Je grimace.
Kamel : « Regardes, ça te fait bander ! Viens sur mes genoux. »
J’obéis. Je suis sur ses genoux, la bite à moitié bandée, entre ses cuisses. Il recommence à me fesser. Il me maintient d’une main, et fait pleuvoir les coups de l’autre.
Kamel : « C’est bien, tu as le cul bien rouge maintenant. Vas t’asseoir, et fais moi une dissertation sur les bénéfices du sport. Je reviendrais voir plus tard comment ça se passe, je n’en ai pas fini avec toi. »
Je retourne pour récupérer mon short.
Kamel : « Pas la peine de remettre de ton short, tu le laisse sur la table et tu poses ton cul là direct sur la chaise. Je ne fermerais pas la porte à clé derrière moi. On ne sait jamais, si quelqu’un voulait utiliser cette salle. »

Kamel sort et je reste là, seul, le cul à l’air, les fesses rouges et cuisantes. N’importe qui peut rentrer et me trouver là. Je risque une nouvelle humiliation et l’expulsion. Mon short est posé sur la table à côté de la porte, donc, si on me surprend dans cette tenue, je n’ai aucune excuse. Je n’arrive pas à me concentrer sur le travail que Kamel m’a donné à faire. Je bande toujours, mais je devine que je ne dois pas me branler. Je guette le moindre bruit venant du couloir. J’ai peur que la porte ne s’ouvre. Kamel doit revenir, mais je ne sais pas quand. Je n’ai pas de montre, je n’ai aucune notion du temps.

La sonnerie retentit, c’est la récréation. J’entends les allez et venues dans le couloir. Puis le calme revient. Et de nouveau des pas. Une main sur la poignée de la porte. Je retiens ma respiration. La porte s’ouvre mais je ne vois personne. Je suis figé sur ma chaise, je ne peux plus bouger. C’est trop tard, je vais me faire griller. Ces minutes d’attentes me semblent une éternité. Qui va rentrer ? Un élève, un prof ? Kamel ?

C’est Kamel : « Je t’ai fait flipper ! Mais ça t’excite, j’en suis sûr. Tu n’as pas remis ton short ? Tu es resté là à attendre mon retour, bien sagement ? »
Moi : « Oui. »
Kamel : « Tu as mérité une petite récompense, tu vas pouvoir te branler. Vas-y, je te regarde te faire du bien. Passes ton tee-shirt derrière ta tête, assis toi sur la table, ou allonges toi si tu préfère, et vides toi les couilles. »

Je n’avais pas vraiment débandé depuis son départ. J’étais prêt à lui offrir le spectacle qu’il réclamait. Assis sur la table, je me suis branlé devant lui. Il me regardait sans bouger. C’était excitant, humiliant. J’avais envie de jouir vite pour lui faire plaisir. Mais je voulais aussi que le spectacle lui plaise. Alors j’accélérais les mouvements sur ma hampe, puis je ralentissais. Je me caressais les couilles. Je me crachais sur les doigts pour les faire glisser le long de ma raie.

Kamel : « Vas-y. » Il m’autorisait à me doigter. Je rentrais alors un doigt. Le plaisir se diffusait dans mon bas ventre. Je jouais avec mon doigt. Je relevais les jambes, j’écartais bien les cuisses et j’osais un deuxième doigt. Cette exhibition était des plus excitantes. J’accélérais les mouvements sur ma bite, j’enfonçais bien les deux doigts dans mon cul. Une onde de chaleur m’a envahit. J’ai senti mon cul se resserrer sur mes doigts, et la jouissance dans un râle non contenu.

Mon corps entier s’est détendu, laissant retomber la pression. J’avais les joues en feu. Et dans une dernière provocation, je décidais de récolter ma semence. Je passe alors mes doigts sur mon ventre, sur mon torse, puis je passe ma langue sur mes doigts. Je répète l’opération jusqu’à ne plus n’avoir que des traces luisantes sur le ventre. J’avale tout mon sperme. Je lèche encore ma main et mes lèvres. Le plaisir s’estompe, la honte de mon exhibition et de mes provocations apparaît, et avec elle, je réalise la situation. Je me suis fait plaisir devant un homme qui est resté imperturbable.

Kamel : « Tu peux t’asseoir. » Je remets mon tee-shirt en place, et je m’assoie. Je n’ai pas remis mon short mais j’essaie de cacher mon sexe avec les mains. Je n’ose pas regarder Kamel.

Kamel : « J’ai apprécié le spectacle. Si tu veux en être sûr, touche ma braguette. » Alors, timidement, j’ai tendu la main vers son sexe, que je l’ai découvert tout dur à travers le tissu. Je me suis senti soulagé. Je n’étais pas le seul à être excité.
Kamel : « Je reviendrais tout à l’heure avec ton prof de sport, mais attends la prochaine sonnerie pour remettre ton short. Pour l’instant tu restes comme ça, et tu finis ton devoir. » Et il est sorti.

Le temps m’a paru long jusqu’à son retour. J’entends la sonnerie, j’enfile mon short. A peine le temps de m’asseoir, que mon prof et Kamel rentrent dans la salle.
Kamel : « Je ne pouvais pas le garder avec nous dans le bureau, alors je l’ai mis ici, et je lui ai donné du travail à faire. »
Le prof : « Vous avez bien fait. Vous voulez que je vous dise, de mon temps, une telle attitude aurait mérité une bonne correction. Mais on a plus le droit.»
Kamel me regarde et sourit : « Pourtant, une bonne fessée ne fait pas de mal. »
Le prof : « En effet … » Et il quitte la salle. Je reste seul avec Kamel.

Moi : « Tu veux que je te suce ? »
Kamel : « Tu y prends goût. »
Moi : « Oui. »
Kamel : « Tu auras l’occasion de me sucer plus tard. Pour l’instant, écoutes bien mes nouvelles consignes : tu te démerdes comme tu veux, mais la semaine prochaine, après le sport, tu me ramène un slip ou un caleçon que tu auras piqué à un de tes camarades de classe pendant qu’ils seront sous la douche. »
Moi : « Ok. »
Kamel : « Tu veux vraiment me sucer maintenant ? »
Moi : « Oui. »

 

Le dos contre la porte, il ouvre son jeans et sort sa queue. Je me mets à genoux, et je le prends en bouche direct. Je m’applique, j’avale tout. Je veux la prendre en entier, je veux sentir sa sève couler dans ma gorge. Alors, je suce, j’aspire, je lèche son gland, puis reprend sa queue. Mais il ne laisse pas faire, il retire sa queue et la range. Je reste là devant lui sans rien dire. Il me prive de sa bite.
Kamel : « C’est tout ce que tu auras aujourd’hui. » Et il sort. Je reste là quelques secondes, toujours à genoux. Puis je quitte la salle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Samedi 21 mai 6 21 /05 /Mai 22:29

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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

A 18 ans, c’est tous les jours que j’ai envie de me branler. Mais, je ne peux pas toujours attendre d’être dans ma chambre. Dès que je bande, il faut que je m’astique la bite et que je me vide les couilles. Alors régulièrement, je me branle dans les chiottes au bahut, et dans les vestiaires en sport.

Hier, pour un travail non fait, le prof d’anglais m’exclut de son cours, et m’ordonne de rejoindre le bureau des pions pour faire mes devoirs en retard. Je sors de la classe, mais je ne suis pas pressé d’aller retrouver les pions, j’ai bien le temps de me faire un petit plaisir solitaire. Alors, je me dirige vers les toilettes du 3ème, comme très souvent.

D’habitude, je sors juste ma queue ou je baisse mon froc et mon caleçon. Mais aujourd’hui, je veux m’offrir une super séance. Je me mets complètement à poil. Je me caresse, je joue avec ma bite, mes tétons. Tout mon corps est transpirant. C’est super bon.

Tout à coup, j’entends des pas dans les chiottes. Pas grave, tranquille dans ma cabine, je continue. Je fais gaffe à ne pas faire de bruit. La situation m’excite.
Une voix : « Adil »
C’est quoi ce délire, qui c’est qui m’appelle ? Je ne réponds pas !

 

La voix : « Adil, je sais que tu es là, je t’ai vu rentrer ! C’est Kamel le surveillant, on t’attend dans notre bureau. »
Je ne réponds pas. Il va se casser. Je ferme les yeux et je continue à me branler tranquillement.
La voix : « Alors c’est là que tu te caches ! »

J’ouvre les yeux. Il est au dessus de moi, les murs de la cabine ne vont pas jusqu’au plafond. Et Kamel se tient là, en équilibre au dessus du mur. Il sourit.
Kamel : « Les mains en l’air ! »
J’obéis. J’ai l’air con à poil, la queue bandée, et les bras en l’air. Je ne dis rien.
Kamel : « Allez, habilles toi, et sors de là. Et tu me suis dans le bureau des surveillants.
Encore à poil, j’ouvre la porte de la cabine, je m’habille devant lui.
Kamel : « Allez, suis moi »
Moi : « Tu ne diras rien ? »
Kamel : « Je n’ai pas le choix, je suis bien obligé »
Moi : « S’il te plait, j’aimerais que ça reste entre nous. »
Kamel : « Je dois en avertir le proviseur, qui va certainement t’exclure plusieurs jours, après avoir prévenu tes parents. »
Je commence sérieusement à flipper. J’imagine la tronche de mes parents.
Moi : « Tu n’as pas d’autres solutions ? »
Kamel : « Non …. A moins que… »
Moi : « A moins que quoi ? »
Kamel : « Je ne sais pas trop, il faut que je réfléchisse, je peux toujours attendre avant d’en parler au proviseur. Rendez-vous demain en salle 115 à 17h30, j’en saurais plus à ce moment là, on verra ce qu’on peut faire. »
Putain, plus de 24 heures à attendre. C’est super long, et je ne sais pas du tout comment ça va se finir.

Aujourd’hui, à 17h30, je suis devant la salle 115, droit comme un piquet. Kamel arrive, le sourire aux lèvres.
Moi : « Tu as une solution pour moi ? »
Kamel : « Peut-être … allez, rentre ! » Il referme la porte à clé derrière moi. Il s’installe au bureau. Je suis devant lui, debout, et j’attends. »
Kamel : « Tu dois être puni pour ce que tu as fait, on est d’accord ? »
Moi : « Oui. »
Kamel : « Tu es donc prêt à accepter ta punition ? »
Moi, timidement : « Oui »
Il recule sa chaise.
Kamel : « Viens là, allonges toi sur mes genoux, je vais te punir comme on doit punir les vilains garçons comme toi. »
J’obéis et il commence à me fesser.
Kamel : « Le tissu absorbe les coups. Relèves toi, et défroques toi ! »

Debout devant lui, je défais ma ceinture, puis les boutons de mon pantalon qui tombe sur mes chevilles.
Kamel : « Baisse ton caleçon aussi ! »
J’hésite, et puis je baisse mon caleçon. Je ne bande pas encore tout à fait, mais un filet de mouille s’écoule de mon gland. Je reste là comme ça devant lui quelques instants. Il me fait signe de reprendre ma position sur ses genoux. De nouveaux les coups pleuvent sur mes fesses. Je grimace et je gémis. Le filet de mouille s’écoule toujours de mon gland, entre ses cuisses. Il écarte mes fesses, me crache sur la rondelle, et m’enfonce un doigt, puis deux, en continuant la fessée. J’essaie de me branler.

Kamel : « Les mains sur la tête, tu n’es pas là pour te branler, mais pour être puni. Tu veux branler une bite, tu vas branler la mienne, tu vas même la branler avec ta bouche. A genoux ! »
J’obéis. Je suis à genoux devant lui, j’ai toujours les mains sur la tête.

Il déboutonne son jeans, et sort sa queue. Sa queue est large, son gland est gros, ses couilles bien lourdes. Ses poils sont bruns et coupés courts. Je commence à le sucer, je m’applique. Mais je ne dois pas aller assez vite, il appuie sa main sur ma tête, et me baise carrément la bouche. Il m’impose son rythme.
Kamel : « Marre de te baiser la gueule, je vais te baiser le cul. »

Je ne dis rien, mais j’ai la trouille. Je suis encore puceau du cul. J’ai peur mais j’ai envie. Derrière moi, je devine qu’il enfile une capote. Il avait tout prévu. Sa bite glisse le long de ma raie humide. Son gland pointe contre mon cul. J’écarte autant que je le peux. Son gland est en moi. Il marque une pause. Puis, il reprend, et je sens chaque centimètre de sa queue rentrer en moi. Je sens ses couilles contre mon cul. Il est à fond en moi. Il commence à se retirer, puis revient. Il me baise, il m’encule. Je commence à aimer ça. Puis, il se retire complètement.

Kamel : «  Mets toi à poil complètement comme hier dans les toilettes. »
J’obéis. Je retire tous mes vêtements.
Kamel : « Retournes toi, et allonge toi sur le bureau. Relève les jambes. »
J’obéis. Il est face à moi, il ôte son tee-shirt. Je découvre un torse plat, des abdos saillants, des poils bruns courts. Je regarde son visage, il me sourit, quelques gouttes de transpiration dans ses boucles brunes. Il se rapproche, m’embrasse, et recommence à m’enculer, mais cette fois, tendrement.
Kamel : « Tu peux te branler maintenant, si tu veux. »

Alors pendant qu’il me baise tendrement, je me branle doucement. Puis, il accélère. Le plaisir m’envahit. Je lâche ma queue, mais je jouis dans un râle. Il continue ses va-et-vient, de plus en plus vite, puis se retire, vire la capote. Une grimace sur son visage, il se branle frénétiquement. Je glisse à genoux devant lui, je veux qu’il me gicle sur la gueule. Bientôt son sperme se répand sur mon visage. J’adore ça. Il me sourit, me rejoint sur le sol et m’embrasse.

Kamel : « Voilà, tu as été puni. Mais te connaissant, ce n’est que la première séance. Essuies la tronche avec ton caleçon, et donne le moi, c’est mon trophée. Et dorénavant, tu ne porteras plus de sous-vêtements sous ton pantalon. Tu passeras tous les matins dans mon bureau pour que je vérifie. »
Moi : « Tous les jours, mais quand j’ai sport, Kamel ? »
Kamel : « Pareil, ces jours là, tu te débrouilleras, ce n’est pas mon problème ! »

 

Cette histoire s’est passée quand j’étais en terminale, en février. Jusqu’au mois de juin, je suis passé tous les matins dans le bureau de Kamel.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Jeudi 19 mai 4 19 /05 /Mai 21:37

branlette dans les toilettes publiques

 

Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

 

 

 

Voici ma dernière aventure qui s'est déroulée pendant un voyage :

 

 

Je m'arrête sur une aire de repos. Il y avait un mec devant les chiottes en train de faire des va-et-vient en fumant une clope.

Quand il m'a vu arriver en voiture, il m'a regardé fixement.

Lorsque je suis sortis de la voiture, il est allé en direction des toilettes et a commencé à se caresser la bite au travers de son short. Il est ensuite entré dans les chiottes en regardant derrière lui, pour voir si j'allais le suivre.


Je suis entré et il était là, devant les urinoirs, la bite sortie de son short, en train de se branler.

J'ai commencé à bander. Je me suis placé en face de lui, j’ai ouvert ma braguette, extirpé ma queue et me suis branlé aussi.

Il s’est alors tourné vers moi en continuant à se branler jusqu’à ce qui devait arriver arriva...

 

Plusieurs jets de sperme sortirent de sa bite puis, il remonta son short et sortit des toilettes.

 

La-branlette-decomplexee.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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