Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

La soirée se passa normalement puis il se retrouvait, comme la veille, obligé de rester à poil dans la tente, assis avec les garçons. Son cousin prit alors son air un peu gêné qui n'annonçait rien de bon. Il se racla la gorge puis dit :
– Bon, on a discuté avec Mathéo, tu es notre esclave. Tu te rappelles qu'on montrera les photos à tes potes si tu n'obéis pas. Alors voilà, comme on aimerait savoir ce que ça fait, euh voilà, et bien tu vas nous sucer !

Kévin n'en croyais pas ses oreilles. Ces petits pervers voulaient que je leur fasse une pipe. Je ne pouvais pas prononcer un mot.

C'est Mathéo, le plus déluré des deux qui prit l'initiative. Il s'allongea sur le matelas et baissa son short, j'aperçus alors son sexe blanc, assez long, fin, imberbe. Il me dit :
– Ben allez, vas-y, viens me sucer la bite !

Kévin s'approcha doucement, mit sa tête vers son sexe, le pris entre ses doigts et le mis dans sa bouche. C'était bizarre de sentir cette bite dans la bouche, il pouvait tâter la peau fine avec sa langue. Mathéo riait nerveusement, Kévin commença alors à le sucer vraiment, il pouvait sentir la peau glisser et le gland qui avait une toute autre texture contre sa langue et son palais. Le sexe se raidit pour devenir tout dur et occuper plus de place dans sa bouche. Mathéo frissonnait un peu. Lucas demanda à Mathéo :
– Ça fait du bien ?

Mathéo répondit, un peu troublé :
– Euh oui, c'est pas mal, faut juste imaginer que c'est une fille hein ...

Kévin se sentait quand même fortement humilié, tout nu, allongé sur le ventre, les fesses à l'air, en train de sucer le copain de son cousin. Il avait par contre une érection qu’il cachait contre le matelas. Au bout de quelques minutes, Mathéo dit :
– Je vais juter !

Lucas, toujours aussi vache avec Kévin, enchaîna très vite :
– Ce n'est pas grave, il doit tout avaler !

Kévin était dégouté. Mathéo eut un frisson et un petit soupir puis il sentit un liquide chaud dans sa bouche. Il se retira rapidement laissant Mathéo un peu surpris, le sexe raide, mouillé de salive et de sperme, un peu gêné devant mon cousin qui regardait l'engin de son copain avec insistance. Puis, enfin ils regardèrent Kévin droit dans les yeux. Il avait encore le sperme dans la bouche et ne savait quoi faire puis dans une respiration, il avala.

Il n'avait même pas, dans la confusion, pris conscience qu’il était assis face aux garçons. Presque en même temps, ils posèrent leurs yeux sur son sexe raide. Son cousin en profita évidemment et dit :
– Et bien, il a aimé ! J'ai toujours su qu’il aimerait sucer des bites.

Kévin se cachait et dit confus :
– Ouais ... euh ... C'est que ça frottait contre le matelas.

Son cousin ne lui laissa pas beaucoup de répit, il s'allongea à son tour et retira complètement son short. Je connaissais sa bite, assez petite et imberbe. Je la touchais cependant pour la première fois, la mie en bouche, la fit durcir et à nouveau, je dus avaler le sperme, laissant mon cousin tout extatique, le sexe raide, pas très long mais bien mouillé de salive et de sperme, qu'il ne cachait même pas.

Les deux garçons rirent en regardant Kévin puis, se mettant d'accord seulement avec un regard complice, ils dirent quasiment en chœur :
– C'était bon quand même, c'est mieux que de se branler tout seul !

Puis, son cousin pour qui Kévin devenait vraiment l'esclave à tout faire dit :
– Bon ben on va recommencer. Tu peux nous le faire chacun notre tour mais en même temps, comme j'ai déjà vu dans un film.

Il devait donc enchaîner de nouvelles fellations, allant d'un sexe à l'autre. Ca durait bien plus longtemps cette fois. A un moment, Mathéo, maintenant tout excité et pas gêné du tout lança :
– J'ai vu un truc une fois dans un film, les deux mecs mettent leur bite ensemble dans la bouche de la meuf, on essaie ?

Kévin se retrouva donc avec les deux bites ensemble dans sa bouche, suçant difficilement, la bouche distendue, alors que les garçons riaient beaucoup, leurs sexes raides et collés l'un à l'autre dans sa bouche.

Ils lui firent recommencer encore une fois puis tout le monde alla aux sanitaires avant d'aller se coucher. Ils obligèrent Kévin à y aller vêtu seulement de son T-shirt. Deux ados que nous avons croisés avaient bien aperçu que Kévin était complètement nu sous son T-shirt.

Les photos sont triées par catégorie :

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Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et quelques passages ont été modifiés volontairement !

Il se faisait tard, on devait aller aux sanitaires puis partir se coucher.

Raphaël dit alors :
– Au fait, c'est lui qu'on a vu l'autre jour avec juste un T-shirt et rien dessous aux toilettes ?

Mathéo répondit :
– Ouais, pour lui foutre la honte, on l'oblige à aller aux sanitaires comme ça la nuit.

Les garçons rirent de bon cœur puis Raphaël dit :
– Et si on l'obligeait à y aller à poil, sans le T-shirt ?

Kévin refusa catégoriquement, c'était impossible d'autant qu’il savait que le gardien faisait des rondes et qu'on y croisait pas mal de monde.

Raphaël proposa alors :
– OK, tu viens avec nous en T-shirt mais tu dois te branler à l'urinoir et ne pas t’arrêter même si quelqu'un vient,  jusqu’à ce que tu éjacules.

Kévin accepta de mauvaise grâce sous la menace de l'envoi des photos, comme toujours.

Nous partîmes tous aux sanitaires. Arrivé à l'urinoir, les autres se placèrent aux divers urinoirs et Kévin se mit à se masturber en essayant de faire vite de peur que quelqu'un ne vienne, d'autant que Raphaël lui soulevait le T-shirt et qu’il avait les fesses bien à l'air.

Les garçons riaient à côté mais tout d'un coup, Raphaël qui était à côté de moi partit et Kévin sursautait car quelqu'un d'autre venait à mes côtés. C'était le garçon que j’avais déjà croisé aux urinoirs une nuit et qui riait derrière moi.

Kévin était pétrifié, son sexe raide qui pointait sous son T-shirt. Il partit finalement en courant vers la tente mais le garçon avait eu le temps de le voir en pleine action. Il le regarda partir en souriant, le sexe encore raide sortant dessous son T-shirt et les fesses à l'air.

Une fois rentré à la tente, les quatre garçons étaient pliés de rire sauf Kévin, ça va sans dire. Raphaël qui décidément allait se montrer bien plus pervers encore que les deux tourmenteurs habituels dit :
– Bon, tu n'as pas fait ce qu'on t'a dit, tu aurais dû continuer. On va devoir te punir. Puis il ajouta : on lui fait quoi comme punition ?

Mon cousin dit :
– On lui met une fessée cul nu !

Raphaël dit :
– On l'encule ...

Tous se mirent à rire mais Mathéo reprit :
– Ouais pourquoi pas, ça lui apprendra à ne pas exécuter les ordres.
Kévin se sentait tout petit, assis sur ses fesses nues, il se voyait déjà les fesses en l'air, obligé de se faire sodomiser par les garçons.

Mathéo dit alors :
– Ouais, mais il faut de la vaseline et des capotes ...

Raphaël reprit :
– Demain, j’irai en acheter.
– Ouais bonne idée, répondit Mathéo.

Les garçons repartirent et Kévin s'endormi donc sur cette idée qui ne le réjouissait pas du tout et dans la peur de se faire sodomiser dans les prochains jours.

Le lendemain nous partions donc avec Mathéo, Lucas, Raphaël, et Nathan vers le village. Pour ça, nous dûmes traverser toutes les rues commerçantes du village. J'étais toujours vêtu de mon seul maillot slip blanc alors que tous les garçons autour portaient bermudas, T-shirts et baskets ou tongs. Raphaël entra dans une boutique et rapporta la vaseline et des capotes.

Ne voulant pas attendre, les garçons décidèrent de rentrer tout de suite au camping pour lui donner sa punition immédiatement après le repas. Le repas fut pour Kévin assez léger. Les garçons semblaient très excités.

On rentra à la tente, il y faisait chaud. Les garçons tout excités dirent à Kévin que son moment était venu de payer (pour quoi ?). Ils le firent mettre complètement nu et le fis s'allonger sur le ventre sur un matelas.

Ils discutèrent sur qui devrait débuter. Ce fut Raphaël, le plus entreprenant qui s'y décida. Il ôta tous ses vêtements et son sexe était déjà bien raide. Il prit de la vaseline et la passa dans les fesses de Kévin. C'était très humiliant pour Kévin de recevoir ainsi la main d’un garçon au travers de ses fesses puis, il se posa enfin sur lui.

Kevin sentit tout un corps moite contre le sien, c'était bizarre pour lui car personne ne s'était jamais collé ainsi nu contre lui. Sa peau était douce, les pieds chatouillaient ses plantes, les cuisses collaient aux siennes, le torse à son dos. Il fit des déplacements puis il sentit un sexe raide entrer dans ses fesses chercher l'anus puis y pénétrer. Ce n'était pas douloureux comme il l’avait imaginé. Le sexe était fin, il glissait tout seul, il le sentait mais c'était tout. 

C'était par contre très humiliant d'autant que les trois autres riaient et regardaient Raphaël le sodomiser avec admiration. Kévin sentit un liquide chaud couler dans ses fesses. Raphaël se retira et en souriant, demanda qui voulait être le prochain. Il fut ensuite sodomisé par Mathéo, son cousin Lucas, puis vint Nathan. Il avait un gros sexe et Kévin eut un peu plus mal. Cela fit rire les autres de le voir gémir un peu à chaque coup de rein.

Après avoir été sodomisé par les quatre, il y eut pour la première fois une attention pour Kévin, attention dont il se serait bien passé puisqu'ils poussèrent Nathan à le masturber. C'était là aussi assez humiliant de se retrouver allongé sur le dos, jambes écartées, pendant que le garçon lui tripotait le membre avec plus ou moins d'adresse. Cela dura d'ailleurs assez longtemps mais la sensation de ces petites mains étrangères sur son sexe, qui lui donnaient du plaisir, était très étrange.

La suite des vacances fut la même, comme Kévin refusait de se masturber aux urinoirs, d'aller aux sanitaires complètement nu ou encore de se masturber à la plage devant tout le monde (ah ... les idées perverses de Raphaël ... !), Il reçut beaucoup de punitions : sodomies, fellations, les deux en même temps parfois. On le fit aussi se masturber pendant qu'on lui chatouillait les pieds et ce, tant qu’il n'avait pas éjaculé. Epreuve difficile et fatigante, il dut lécher des pieds, embrasser les fesses des garçons et recevoir des fessées.

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Lucas et Mathéo se couchèrent car ils devaient repartir le lendemain. Kévin resta une semaine de plus au camping mais, toujours soumis et obligé de porter son petit slip maillot de bain blanc car Raphaël et Nathan avaient reçu les consignes.

Kévin s’endormit assez vite mais, comme à son habitude, il eut envie d'aller aux toilettes. Il enfila le T-shirt et se dirigea jusqu'aux sanitaires. Il alla aux urinoirs, laissant remonter un peu son T-shirt qui dévoilait ses fesses quand un bruit derrière lui le fit sursauter, il se retourna et aperçu Thomas qui rentrait aux toilettes.

Kévin fut surpris car Thomas portait juste un petit slip de bain et une serviette sur ses épaules. Kévin termina d’uriner mais, à sa grande surprise, Thomas se plaça à l’urinoir juste à côté alors que tous les autres étaient libre. Thomas lui fit un petit sourire puis sortit sa bite pour pisser sans trop se cacher.

Kévin jeta un coup d’œil discrètement en direction de la bite de Thomas puis, en relevant les yeux, s’aperçut que Thomas le regardait sans trop de gêne en train d’uriner. Kévin s’apprêta à sortir quand  Thomas l’interpela. Attends Kévin, mets ça lui dit Thomas en lui donnant sa serviette. Kévin eu un moment sans savoir quoi répondre mais Thomas lui mis sa serviette autour de ses fesses nus en lui faisant un petit clin d’œil.

Thomas expliqua à Kévin qu’il n’arrivait pas à dormir et lui proposa de venir boire un jus de fruits dans sa tente. Kévin accepta car il trouvait Thomas assez cool. Thomas et Kévin parlèrent de choses et d’autres puis la discussion arriva au sexe. Kévin s’aperçu que Thomas bandait dans son slip de bain. Thomas regarda Kévin et lui demanda : Tu veux voir ma queue ?

Kévin devint rouge et assez gêné mais, avant même d’avoir une réponse,  Thomas retira son slip de bain d’une façon naturelle et sans aucune gêne. Kévin n’y croyait pas ses yeux mais ne put s’empêcher de le mater avec insistance. Thomas dit alors à Kévin, tu peux te mettre à l’aise aussi si tu veux. Voyant qu’il ne répondait pas, Thomas s’approcha de Kévin, enleva doucement la serviette qu’il lui avait prêtée. Oh mais tu bandes aussi à ce que je vois. Voyant que Kévin se laissait faire, il lui retira aussi son T-shirt.

Thomas et Kévin se regardèrent mutuellement puis ont été pris d’un fou rire. Une certaine complicité s’était installée entre les deux sans aucune soumission pour Kévin.

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