Attention, ceci est une histoire trouvée sur Internet, les prénoms et
quelques passages ont été modifiés volontairement !
C'était l'été, j'avais un peu plus de 17 ans, j'étais en vacances à la campagne et je me baladais en forêt avec quatre copains.
Dans une clairière très reculée, Christopher sort de son sac à dos une paire de menottes qu'il avait récupérées. Pour s’amuser, il demande à ce que chacun les essaye.
Je suis le dernier mais, lorsque je leur demande de me détacher, je me heurte à un refus catégorique.
- Allez, faites pas les cons, détachez-moi !
- Non, tu es notre prisonnier me répond Christopher. Les trois autres copains regardent Christopher avec surprise puis, éclatent de rire.
- Non, mais ça ne va pas !
- Attends, j'ai une idée dit Christopher. On va l'attacher à un arbre. Aidez-moi !
Plusieurs mains me ceinturent et m'entraînent contre un arbre. Christopher enlève la ceinture de son bermuda et attache mes menottes à l’arbre, en serrant bien la ceinture pour l'empêcher de
glisser.
Je me retrouve debout, bras levés au-dessus de ma tête, attaché à une branche.
Comme je donne des coups de pied, Christopher, Olivier et Jérémy me maintiennent les jambes. Vincent détache ma ceinture, la récupère et, me la passe autour des jambes. Deux tours suffisent
pour me bloquer les jambes l’une contre l’autre.
Comme ça, tu as les chevilles entravées et tu vas rester tranquille me précise Christopher en souriant.
- Espèces de salauds, détachez-moi tout de suite bande de connards.
- Mais, c'est qu'il nous insulte ! On va lui donner une bonne leçon répond Christopher.
Vincent s’approche de moi, me baisse mon short jusqu’à sur mes chevilles puis remonte mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Je n'y vois plus rien. Je suis en caleçon, à leur merci.
Je sens des mains me caresser le dos, le ventre et les cuisses. Je ressens, malgré la situation embarrassante, l'excitation monter.
Mais, c'est qu'il bande le petit vicieux dit Vincent en me caressant la bite au travers de mon caleçon !
- A poil, hurle Christopher.
- Oui, on le fout à poil dit Olivier.
- Oui c'est ça, à poil répète Jérémy.
Non ! Pas ça ! Non....
- Ta gueule ! Tu es notre prisonnier, on a tous les droits me précise Christopher. En plus, tu aimes ça car tu bandes.
Deux mains s'emparent de mon caleçon et me le baisse.
Le caleçon baissé jusqu'aux chevilles je me retrouve complètement nu, avec simplement mon tee-shirt autour de la tête qui m'aveugle, et ma bite de dix-huit centimètres qui pointe fièrement devant
moi. Je suis mort de honte.
- Non ! Pitié ! Laissez-moi.
- Mais non, tu aimes ça, tu bandes. On va te soulager, tu vas voir, ça fait du bien.
Une main se ferme sur ma verge et commence lentement à me branler. Une autre me tripote les couilles, en les pressant et les faisant rouler sous les doigts. Une troisième me caresse les fesses.
Un doigt pénètre dans la fente à la recherche de mon trou.
- On va te faire découvrir de nouvelles sensations.
- Salauds, fumiers, bande de lâches....
- Mais il nous insulte encore, ce petit voyou. On va lui faire payer ça. On va lui donner une fessée.
Ainsi, chacun leur tour, ils m'ont fait rougir le cul. J'avais les fesses en feu mais je bandais encore plus.
Voilà, tu as eu ton compte ?
- Détachez-moi.
- Non, tu es très bien comme ça. Démerde-toi !
Et ils sont partis sans dire un mot, me laissant nu, attaché, les fesses brûlantes que j’aurai bien voulu pouvoir frotter pour atténuer la douleur. Ce qui était très étonnant, j’avais ma queue
étrangement bandée au maximum.
J'étais mort de honte, mais au fond de moi, j'étais persuadé qu'ils allaient vite revenir me détacher.
Au bout de dix minutes, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient. On parlait à voix haute, je reconnus des voix masculines et des rires aigus. Plus aucun doute, ce n'étais pas eux,
c'était bien un groupe de plusieurs mecs qui s'approchaient de moi. Par la faute de ces salauds, je risquais d'être découvert et subir une terrible humiliation devant des inconnus, s’ils me
découvraient ainsi.
Les pas stoppèrent presque en même temps, un silence inquiétant, puis, à l'unisson, de grands éclats de rires fusèrent devant moi, ils devaient être au moins deux.
- Magnifique, regarde ce que le hasard nous a mis sur notre route. Un véritable cadeau de la nature. Nous allons passer un moment que nous ne serons pas prêts d'oublier.
- Profitons-en s'écriât un autre jeune mec, ce n’est pas tous les jours que l'on a un garçon à disposition pour nous amuser.
- Regarde son zizi, il est encore tout dur s'esclaffa l'un d'eux.
- Rémy, pose ton vélo et amuse-toi avec ce couillon et fait moi voir comment tu vas faire jouir ton premier garçon.
Presque aussitôt, une main s'empara de mon pénis qui commençait à mollir sérieusement.
- Dépêche-toi, il est entrain de débander cria l’autre mec visiblement plus excitée que celui qui s'affairait maintenant sur mon sexe qui, rebandait malgré l'humiliation de me retrouver ainsi
exposé à deux jeunes mecs ravis d'une telle aubaine.
La main fraîche et ferme serraient ma verge et commençaient à entreprendre des allers- venues en me branlant maladroitement. Ayant tirée mon prépuce le plus en arrière possible avec ses doigts,
il pressait de temps en temps sur le bout de mon gland pour accélérer l'afflux sanguin.
- Regarde, il n’était pas sage, il a reçu une fessée. Ces fesses sont striées comme celles d'un jeune zèbre.
- Il a dû être très vilain ce grand garçon, renchérit l’autre.
Une main venait de s'aventurer sur mes fesses et, comme pour en tester la résistance, pinçait avec force ma peau déjà meurtrie. Puis soudain, en même temps que le jeune mec qui se prénommait Rémy
continuait de s'évertuer à me faire jouir, la main qui me pinçait depuis un moment, écarta avec ses doigts, la raie de mes fesses. Tenant bien écartés les deux globes, un doigt s'introduisit dans
mon sillon.
Sans même prendre le temps de tester mon anus, un doigt s'introduisit en moi en une seule poussée. Je ne pus retenir un cri de douleur tant la poussée avait soudaine et violente. Aucun doute, le
mec voulait me faire mal.
Le doigt continuait à me fouiller en tournant lentement comme pour essayer de me dilater un peu plus.
- Il contracte son anus cet imbécile, il pense sans tirer comme ça. Et il se remit à faire tourner son doigt en m'écartant le plus possible les sphincters. Un deuxième doigt s'introduisit pour
aider le premier à me dilater encore plus.
- On va le faire jouir des deux côtés, qu'est-ce que tu en penses Rémy ?
- Super ! Ok, bonne idée Morgan.
Ces deux jeunes mecs à la voix aigüe ne se prononçaient pas pour me libérer. Je n'aurais imaginé me retrouver dans cette situation.
Encouragé par Morgan, Rémy me masturbait de plus belle et voyant que je n'allais pas pouvoir me retenir bien longtemps, les deux doigts qui me violait l'anus continuaient leur va et vient.
- Pitié, assez, arrêtez s'il vous plaît. Mes supplications demeurèrent sans réponse.
- Regarde ce cochon il vient d’éjaculer.
Une violente éjaculation m'extirpa un râle de plaisir, en même temps que les garçons riaient.
- Continue, ne t'arrête pas, vide lui ses testicules, tu vas voir comme c'est insupportable si tu continues à le branler après qu'il ait éjaculé. Il va vite nous demander pitié.
Rémy continuait à me branler d'une main, pressant mes bourses de l'autre afin obtenir de ma part une deuxième et immédiate éjaculation. Il avait du mal à maintenir mon érection.
Mais l'épreuve était trop douloureuse à supporter, la honte, et ma verge trop sollicitée, eurent raison de moi. Je débandais malgré les efforts des garçons.
- Oh le con, on dirait qu'il a son compte.
- C'est comme ça que tu nous remercies ?
- Il m’a fait bander ce con. Ça te dirait Rémy qu’on se tape une queue et qu’on éjacule sur lui.
- Pourquoi pas Morgan, de tout façon, il ne peut pas nous voir avec son tee-shirt sur la tête.
J’entendis quelques bruits, me laissant imaginer que les deux jeunes commençaient à se palucher face à moi. Malgré la honte, je ne pus m’empêcher de rebander à nouveau.
- Regarde Rémy, ça lui fait de l’effet, sa bite s’est redressée. Attends un peu, je vais le branler à mon tour.
Une main empoigna ma queue et me branla énergiquement. Ce n’était pas Rémy mais, c’était Morgan qui m’astiquait la queue cette fois-ci avec plus de vigueur.
Je finis par éjaculer une deuxième fois devant ses deux jeunes inconnus.
Allez à notre tour, cette fois-ci. Les deux jeunes se branlaient de nouveaux face à moi et après quelques minutes, je sentis des jets de sperme sur ma bite et mon ventre.
J'entendis quelques "clic clac" de téléphones portables. On me prenait en photos.
Me laissant attacher à l'arbre, le sexe pendant et vaincu, les garçons s'éloignèrent en riant et en commentant leurs exploits.
Ce n'est qu'une bonne quinzaine de minutes plus tard que mes copains décidèrent de mettre fin à mon calvaire.
Ravis de m'avoir joué un vilain tour, ils revinrent tous ensemble pour voir dans quel état les deux jeunes mecs m'avaient laissé et, pour me libérer. J’appris que les deux jeunes mecs n’étaient
pas passés par hasard, ils avaient été prévenus de ma mise à poil.
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